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Analyse de l'agence de notation financière Standard & Poor's (S&P)

Étude de cas : Analyse de l'agence de notation financière Standard & Poor's (S&P). Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  18 Juillet 2012  •  Étude de cas  •  6 036 Mots (25 Pages)  •  1 662 Vues

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S&P ne considère plus le système bancaire britannique comme l’un des plus stables et des moins risqués du monde, en raison d’un faisceau de facteurs négatifs.

L’agence de notation financière Standard & Poor’s (S&P) a annoncé jeudi qu’elle ne considérait plus le système bancaire britannique comme “l’un des plus stables et des moins risqués du monde”, en raison d’un faisceau de facteurs négatifs.

Cette décision reflète la “faiblesse” de l’économie britannique, ainsi que “les dégâts en terme de réputation” subis par le secteur bancaire britannique lors de la crise du crédit, et sa “forte dépendance” au soutien de l’Etat, a expliqué l’agence dans un communiqué. S&P a rappelé au passage avoir dégradé fin décembre la note de l’emsemble du secteur bancaire britannique de “groupe 2″ à “groupe 3″, sur une échelle allant de 1 (meilleure note possible) à 10.

“De notre point de vue, la faiblesse de l’économie britannique va continuer à affecter le profil de risque du secteur bancaire du Royaume-Uni”, en affectant la croissance et les résultats des établissements financiers, a expliqué dans le communiqué Nigel Greenwood, analyste de S&P. De plus, le secteur a vu sa réputation ternie par la crise financière, qui a entraîné “le quasi-effondrement” de plusieurs groupes, conduisant l’Etat à lancer des plans de sauvetage massifs, dont certaines banques (RBS, LBG….) dépendent toujours très largement.

L’analyste concède toutefois que ce soutien a été très inégalement réparti, certains groupes comme HSBC ou Barclays n’ayant eu besoin d’aucune aide directe. S&P conclut en avertissant qu’elle pourrait remonter à l’avenir la note du secteur, si des réformes permettaient de réduire ses risques et sa sensibilité aux crises économiques, mais qu’à l’inverse, elle pourrait encore l’abaisser si l’économie britannique ne parvenait pas à se redresser durablement.

l'expansion

Elle vraiment trop bonne celle la, ce sont des comiques à S & P, ils ont mis un an à se rendre compte que la City avait fait faillite !

Aujourd’hui en tout cas, ils annoncent la couleur ” De notre point de vue, la faiblesse de l’économie britannique va continuer à affecter le profil de risque du secteur bancaire du Royaume-Uni “. LOL, c’est le moins qu’on puisse dire…

Et c’est pareil aux USA…

S&P ne considère plus le système bancaire britannique comme l’un des plus stables et des moins risqués du monde, en raison d’un faisceau de facteurs négatifs.

L’agence de notation financière Standard & Poor’s (S&P) a annoncé jeudi qu’elle ne considérait plus le système bancaire britannique comme “l’un des plus stables et des moins risqués du monde”, en raison d’un faisceau de facteurs négatifs.

Cette décision reflète la “faiblesse” de l’économie britannique, ainsi que “les dégâts en terme de réputation” subis par le secteur bancaire britannique lors de la crise du crédit, et sa “forte dépendance” au soutien de l’Etat, a expliqué l’agence dans un communiqué. S&P a rappelé au passage avoir dégradé fin décembre la note de l’emsemble du secteur bancaire britannique de “groupe 2″ à “groupe 3″, sur une échelle allant de 1 (meilleure note possible) à 10.

“De notre point de vue, la faiblesse de l’économie britannique va continuer à affecter le profil de risque du secteur bancaire du Royaume-Uni”, en affectant la croissance et les résultats des établissements financiers, a expliqué dans le communiqué Nigel Greenwood, analyste de S&P. De plus, le secteur a vu sa réputation ternie par la crise financière, qui a entraîné “le quasi-effondrement” de plusieurs groupes, conduisant l’Etat à lancer des plans de sauvetage massifs, dont certaines banques (RBS, LBG….) dépendent toujours très largement.

L’analyste concède toutefois que ce soutien a été très inégalement réparti, certains groupes comme HSBC ou Barclays n’ayant eu besoin d’aucune aide directe. S&P conclut en avertissant qu’elle pourrait remonter à l’avenir la note du secteur, si des réformes permettaient de réduire ses risques et sa sensibilité aux crises économiques, mais qu’à l’inverse, elle pourrait encore l’abaisser si l’économie britannique ne parvenait pas à se redresser durablement.

l'expansion

Elle vraiment trop bonne celle la, ce sont des comiques à S & P, ils ont mis un an à se rendre compte que la City avait fait faillite !

Aujourd’hui en tout cas, ils annoncent la couleur ” De notre point de vue, la faiblesse de l’économie britannique va continuer à affecter le profil de risque du secteur bancaire du Royaume-Uni “. LOL, c’est le moins qu’on puisse dire…

Et c’est pareil aux USA…

S&P ne considère plus le système bancaire britannique comme l’un des plus stables et des moins risqués du monde, en raison d’un faisceau de facteurs négatifs.

L’agence de notation financière Standard & Poor’s (S&P) a annoncé jeudi qu’elle ne considérait plus le système bancaire britannique comme “l’un des plus stables et des moins risqués du monde”, en raison d’un faisceau de facteurs négatifs.

Cette décision reflète la “faiblesse” de l’économie britannique, ainsi que “les dégâts en terme de réputation” subis par le secteur bancaire britannique lors de la crise du crédit, et sa “forte dépendance” au soutien de l’Etat, a expliqué l’agence dans un communiqué. S&P a rappelé au passage avoir dégradé fin décembre la note de l’emsemble du secteur bancaire britannique de “groupe 2″ à “groupe 3″, sur une échelle allant de 1 (meilleure note possible) à 10.

“De notre point de vue, la faiblesse de l’économie britannique va continuer à affecter le profil de risque du secteur bancaire du Royaume-Uni”, en affectant la croissance et les résultats des établissements financiers, a expliqué dans le communiqué Nigel Greenwood, analyste de S&P. De plus, le secteur a vu sa réputation ternie par la crise financière, qui a entraîné “le quasi-effondrement” de plusieurs groupes, conduisant l’Etat à lancer des plans de sauvetage massifs, dont certaines banques (RBS, LBG….) dépendent toujours très largement.

L’analyste concède toutefois que ce soutien a été très inégalement réparti, certains groupes comme HSBC ou Barclays n’ayant eu besoin d’aucune aide directe.

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