Sophrologie le sommeil

Partie 2 – réflexion

Etudiez le cas de quelqu’un qui été confronté à des problèmes de sommeil (vous ou une personne de votre entourage).  

Introduction :

La chronicité du stress chez un individu peut entrainer des perturbations d’ordre physique, psychologique, physiologique.

C’est la cause initiale de nombreux maux et maladie dont les troubles du sommeil, en effets le stress est fréquemment à l’origine de la perturbation du cycle circadien mais il peut être causé par divers causes comme des évènements important de vie ou des repas copieux, alcool, et prise de médicament.

Des troubles du sommeil sont également observée dans des affections mentales et neurologique, l’une des caractéristiques principales de la dépression est la présence du trouble du rythme circadien avec des fluctuations de l’humeur au cours de la journée.

Exposition du problème :

Le sujet est une femme de 34 ans, mère de famille qui travaille dans le milieux périscolaire (animatrice) depuis 15 ans en région parisienne.

Le sujet c’est senti épuisé, anxieux en journée. Au moment du coucher elle n’arrivait pas à calmer son esprit et avait des pensées négatives et des ruminations sur des situations professionnelles ce qui l’empêcher de s’endormi. Elle se réveillait en pleine nuit et lors de ces réveils nocturnes, elle éprouvait une grande difficulté à se rendormir

Le réveil matinal était éprouvant car son cycle de sommeil n’était pas réparateur.

Les conséquences :

Les conséquences de son manque de sommeil réparateur se font ressentir dans son quotidien par une fatigue constante, une sensation de reculer lorsqu’elle marche. Elle se sent de plus en plus irritable et stressé ; à fleur de peau. Tout lui parait insurmontable et lui procure des angoisses. Elle ne se sent plus capable de fonctionner normalement et prend la décision d’aller voir son médecin généraliste qui lui diagnostiquera une dépression. Par la suite elle se trouvera en arrêt maladie pendant une année.

Moyen mis en place pour résoudre le problème :

Les actions mis en place ont été tout d’abord une prise en charge psychologique et un suivi médical avec prise d’anti-dépresseur et d’anxiolytique.

Les anti-dépresseurs ont empêché le sujet de dormir et la prise d’anxiolytique lui ont donné l’impression d’être dans le brouillard. Elle décida d’arrêter totalement les médicaments. Elle s’orienta vers une médecine douce tel que la sophrologie qu’elle pratiqua en séance deux fois par semaine et dans son quotidien. Elle instaura la respiration profonde, la détente musculaire, la méditation, la visualisation et la relaxation par la musique. Cela lui permet de retrouver la sérénité dans son quotidien avec des huiles essentiels de lavande vraie et d’ylang-ylang en diffusions lors d’angoisse ou de forte de déprime, puis des fleurs de Bach en élixir telle que :

• Ajonc : pour ne pas se résoudre à la fatalité.
• Châtaignier : pour sortir du tunnel et revoir la lumière.
• Dame-d’onze-heures : pour le réconfort et à la consolation.
• Églantine : pour aider à retrouver l'intérêt des choses simples.
• Gentiane : pour favoriser le retour de l'optimisme.
• Moutarde : pour ne pas sombrer dans de soudains et violents coups de cafard, de blues...
• Saule : pour faire passer l'amertume, l'aigreur, l'acidité qui rongent son être.

Après quelques mois ses angoisses avaient nettement diminué et la fatigue était moins présente mais l’idée de reprendre son travail était source d’anxiété.

Réflexion sur l’origine du problème :

Nous retrouvons le sujet une année après, le sujet a quitté son emploi qui était pour elle source d’angoisse et qui a déménagé en campagne. Le changement d’environnement et pour elle une bénédiction puisqu’elle retrouve un sommeil réparateur et ses angoisses ne font plus parti de son quotidien.

On constate que le sujet a bien évolué mais que l’environnement professionnel restait encore source d’angoisse. Il était nécessaire pour elle de changer d’environnement car les contraintes environnementales avaient un impact sur le sujet.

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