Synthèse Sur Le Cannabis

Le chanvre indien plus connue sous le nom de cannabis est une plante psychotrope inscrit sur la liste des stupéfiants. Depuis un quart de siècle sa consommation a explosé aussi bien chez les adultes que chez les jeunes. Ce serai le produit illicite le plus consommé en France et surtout par les adolescents.

Les documents dont nous ferons la synthèse questionnent sur les conséquences sur la vie sociale et sur la santé de sa consommation chez les jeunes gens et mets en évidence les risquent encourue par les consommateurs régulier.

Nous verrons que le cannabis est plus présent que jamais chez les adolescents et que cela peut perturber leur quotidien voir modifier leur avenir.

Qualifié par certain de drogue douce (en comparaison avec la cocaïne ou l’héroïne) le cannabis selon Olivier Doubre du magazine Politis fait de plus en plus d’adepte en France. Il nous fait également remarquer dans son article tout comme Catherine Petitnicolas du Figaro la banalisation grandissante de ce produit dans notre pays. Un extrait de la direction de l’enseignement scolaire ainsi que de la prévention des conduites addictives de mars 2006 de l’Editions du CNDP nous indique que depuis une dizaine d’années la consommation de cannabis à fortement augmenté chez les jeunes. Une forte consommation de cannabis chez les jeunes depuis une dizaine d’années.

D’après Olivier Doubre de Politis la consommation de cannabis est devenue monnaie courante chez les jeunes. En effet Catherine Petitnicolas dans son article Informer le monde scolaire du 24 janvier 2006 pour le Figaro montre que la moitié des jeunes de moins de 18 ans ont déjà essayé et certain son consommateur régulier. Les informations apportées par le CNDP dans son extrait de mars 2006 confirment que le cannabis est la drogue préféré des adolescents.

Il faut dire qu’à un âge ou l’on se cherche encore, essaye de se faire des amis le cannabis peut sembler être une solution à l’ouverture sur les autres. Catherine Petitnicolas nous décrit cette plante comme favoriser la socialisation, à l’insertion dans un groupe facilité par l’effet désinhibiteur sur son consommateur. La journaliste déclare également que celui-ci peut être aussi un facteur d’isolement comme nous l’illustre très bien le dessin humoristique de l’association anti cannabis «Pétard le flémard » où l’on voit le personnage seul on imagine donc sa grande solitude car même son ombre le quitte, due certainement à une désocialisation, un renfermement sur soi. On remarque une dualité de cette plante tant les effets néfaste sur la santé son divers.

Les atteintes physiques comme le fait voir le dessin humoristique font parti du coté «négatif », le teint blafard, l’aspect négligé semblant à une personne en situation de grande précarité. Le cannabis trouble les capacités physique et psychologique selon la journaliste du Figaro. Elle nous alerte sur le risque de développer des troubles psychiques chez les jeunes telles que dépression, maladie mentale, schizophrénie. Au niveau scolaire la régression des capacités d’apprentissage est perturbé plus le fumeur est régulier, ce que confirme le document du CNDP en indiquant que ces consommateurs fréquent ont un parcours scolaire plus difficile.

D’après les différents documents présentés ci-dessous il semble que la consommation régulière de cannabis chez les jeunes ait un effet désastreux sur leur vie futur. Si le cannabis aide à l’intégration sociale elle isole également son consommateur entrainant parfois une grande solitude pouvant amener à de grave problème psychologique. Le développement de soi par l’apprentissage par exemple est altéré par la régression progressive des capacités intellectuels. Le jeune consommateur de cette drogue encore plus que les autres encours de gros risque à tous les niveaux.

Depuis des décennies le cannabis fait de nombreux adepte chaque jour. Jeune et moins jeune deviennent des consommateurs réguliers que la volonté seule ne suffit pas à freiner. La répression est-elle la meilleure solution pour mettre un frein à la consommation de drogues par les jeunes ?

Dans un premier temps nous étudierons les effets de la répression sur ces jeunes consommateurs, puis nous verrons s’il

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