Présentation d’un article et critique personnelle
Analyse sectorielle : Présentation d’un article et critique personnelle. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Jakob723 • 10 Septembre 2016 • Analyse sectorielle • 1 182 Mots (5 Pages) • 961 Vues
Présentation d’un article et critique personnelle
TABLE DES MATIERES
INTRODUCTION…………………………………………………………………………………………page 3
RÉSUMÉ DES ARTICLES ……………………………………………………………………………..page 4
CRITIQUE…………………………………………………………………………………………………..page 5
CONCLUSION…………………………………………………………………………………………….page 6
MÉDIAGRAPHIE………………………………………………………………………………………..page 7
ANNEXE
1 er article : « Obésité et surpoids » de l’OMS
2e article : « Obésité : un peu de sens critique, SVP! » du site Le Québécois libre.
INTRODUCTION
Le sujet de ce travail de sociologie porte sur problème de santé qui est devenu un phénomène mondiale, l’obésité. Pourtant si on le situe dans le temps, l’obésité a déjà été un symbole de prestige dans le Moyen Âge et même qu’à la Renaissance, la rondeur était un trait de l’érotisme. Ce n’est qu’au XVIIIe siècle que l’obésité est considérée comme une pathologie. Maintenant ce phénomène est devenue une épidémie mondiale et considéré, par le manque de savoir bien se nourrir, une menace pour la société. On le mesure, le catégorise, on le calcule, on le médicamente, on l’opère…. Ce phénomène de société est devenu un fléau qui touche tous les continents, tous les classes sociales et bientôt tous les groupe d’âge.
Ce travail sera divisé en plusieurs parties qui suivent cette introduction. La section suivante résumera les deux articles choisit qui traitent sur ce phénomène. Ensuite la troisième partie comportera une critique qui inclue ma position par rapport à ce sujet. Et pour terminer, la quatrième partie conclura ce travail de session du cours de sociologie de la santé. Les 2 articles sur lequel est basé ce travail se trouveront en annexe.
Résumé des articles
Le premier article est une publication du mois de janvier 2015 de l’Organisation Mondiale de la Santé. Obésité et surpoids est le titre de ce document. Il définit le surpoids ainsi que l’obésité avec les valeurs de l’IMC (indice de masse corporelle), il présente des pourcentages des maladies attribuables au surpoids et à l’obésité, des estimations de la distribution au niveau mondiale des personnes en surpoids ou obèses ainsi que leurs conséquences les plus fréquentes. Une information intéressante dans l’article mentionne qu’ « À l’échelle mondiale, le surpoids et l’obésité sont lié à davantage de décès que l’insuffisance pondérale »1. D’après l’OMS, «(…) les causes de l’obésité et du surpoids sont l’augmentation des consommations caloriques riches en graisses lié à l’augmentation du manque d’activité physique en raison de la nature de plus en plus sédentaire de nombreuses formes de travail, de l’évolution des modes de transport et de l’urbanisation »2. Plus loin, l’OMS mentionne qu’au niveau de l’individu, on doit limiter nos apports énergétiques provenant de nos choix de consommations, qu’on doit augmenter nos apports de fruits et de légumes ainsi que les activités physiques. Au niveau de la société, il est important d’aider les individus avec les précautions mentionnées plus haut, ainsi que d’augmenter l’accessibilité aux plus pauvres et d’une manière abordable, de pouvoir pratiquer des activités physiques. Et pour terminer, le document mentionne que l’Assemblé Générale des Nations Unis reconnaît qu’il importe au plus haut point de réduire le degré d’exposition de l’individu et des populations à une alimentation malsaine et au manque d’exercice physique. Approuvé en septembre 2011, l’OMS a élaboré un plan d’action mondial pour une lutte dans cet engagement qui, d’ici 2025, contribuerait à l’arrêt de la progression des taux mondiaux d’obésité à leur niveau de 2010.
Le deuxième article provient du site Le Québécois Libre nommé : L’obésité : un peu de sens critique, SVP! Cet article a été écrit par Gilles Guénet, éditeur du Québécois Libre. Son article traite des différents articles publiés sur l’obésité d’une manière très subjective par ses opinions arrêtés sur les stratégies de l’État ainsi que différentes entités comme Santé Canada ou encore l’Union des consommateurs.
D’après Guénet : « L'État doit-il intervenir pour mettre fin à l'obésité? Non. Il ne le pourra pas de toute façon. L’obésité est un problème de comportements, non un problème de nourriture grasse. »3. Il mentionne que le pouvoir d’achat est le meilleur outil de persuasion. Aussi, d’après lui, l’étiquetage ne changerait pas les comportements. Donc, résumé : responsabiliser et l’éduquer à manger, l’obèse sans lui priver des aliments riches en calories et pauvres en micronutriments seraient les meilleures méthodes pour améliorer la situation actuelle de ce phénomène.
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