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La Pedographie En France

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Par   •  3 Mai 2014  •  587 Mots (3 Pages)  •  922 Vues

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Grand auteur du XIXe siècle, Guy de Maupassant est un écrivain réaliste et naturaliste, très connu pour ses romans et nouvelles. Dans le recueil appelé La Maison Tellier, il écrit la nouvelle intitulée Au printemps. Nous allons tenter de répondre à la question suivante : En quoi le discours direct peut-il rendre le discours plus vivant ?

Dans une première partie nous allons parler de la femme de l’homme qui interpelle le narrateur qui se fait critiquer. Dans une deuxième partie nous aborderons le charme de la jeune fille sur le narrateur.

I – La femme

A – Le discours

Pendant tout un paragraphe, Maupassant parle d’une femme. Cette femme est celle de l’homme qui aborde le narrateur. Maupassant utilise le discours direct pendant toute cette scène. L’homme utilise des expressions péjoratives pour décrire ce que font les femmes, et pour dire au narrateur qu’il faut éviter l’amour. Le discours direct est utilisé pour reproduire les énoncés tels qu'ils ont été prononcés. Il y a une expression que l’on pourrait qualifier de familière pour l’époque qui est « Oh la chanson de Musette, quelle scie ! ». Cette expression signifie que la chanson a été trop entendue, que l’homme en a marre.

B - L’énumération

Durant tout le discours, l’homme fait une énumération sur les faits de la femme. On peut compter une suite de 14 expressions, toutes péjoratives. Elles sont écrites au présent de l’indicatif, avec un niveau de langue assez familier, étant donné que ce sont les paroles prononcées par l’homme au discours direct.

II – Le charme de la jeune fille

A – Le regard

A quelques reprises, le narrateur et la jeune femme se regardent « me jetant un coup d’œil », Il fait attention à chaque geste que la jeune fille produit en la regardant sans arrêt : « La petite femme qui m‘avait troublé se leva pour descendre », « un de ses sourire furtif qui vous affolent. »... Le narrateur est sous le charme de la jeune fille, mais ne peut la suivre à cause du « persécuteur » et donc les deux regards s’éloignent : « La petite femme, restée sur le ponton, me regardait m’éloigné d’un air désappointé »

B – Le voisin

C’est à cause de cet homme que le narrateur ne part pas avec la jeune femme. Tout d’abord, il aborde le narrateur et lui dit qu’il faut toujours éviter l’amour, il lui raconte son histoire avec sa femme dans tout le premier paragraphe. Ensuite il arrête le narrateur quand il veut suivre la jeune femme et lui dit : « Vous n’irez pas ! ». Une fois que la jeune femme est partie, il lui dit : « je vous ai rendu là un rude service, allez ! ». Il semble très fier de son acte, et pense avoir sauvez la vie du narrateur. Le narrateur utilise d’ailleurs un oxymore pour qualifier cet homme : « pauvre diable naïf ». Le mot pauvre inspire la pitié, le diable sous-entend le mal et l’adjectif naïf renvoie à la crédulité.

Conclusion :

Dans cet extrait de nouvelle, Maupassant utilise beaucoup le discours direct tout d’abord pour décrire

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