Ethique, le refus de soins ou de traitements de la part des patients (étude d'un texte)
Dissertation : Ethique, le refus de soins ou de traitements de la part des patients (étude d'un texte). Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 6 Février 2013 • Dissertation • 399 Mots (2 Pages) • 2 332 Vues
je pense aux concepts /mots clé : soins, relation, bienfaisance , autonomie , communication verbale et non verbale, continuité de soin , non observance, relation soignant -soigné.projet de soin...
TEXTES: la loi 2002- 303 du 04 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé. //la charte de la personne hospitalisée (circulaire n° DHOS/E1/DGS/SD1B/SD1C/SD4A/2006/90 du 2 mars 2006),//Les soins infirmiers recouvrent plusieurs facettes, nous pouvons dire qu’elle est une multitude « de petites choses » (WALTER HESBEEN « La qualité du soin infirmier, penser et agir dans une perspective soignante », 2ème Edition, MASSON, Paris, 1998, 2002, page 40) // Gilles DEVERS " Droit , responsabilité et pratique du soins 2ème edition Lamarre"// Rapport d'étape COMPAQH. Vous pouvez aussi explorer le code déontologie médical DE 1995, la loi LEONETTI, article L 1111-4 du code de santé publique,Catherine TOURETTE-TURGIS, Le Counseling, PUF , coll. « que sais –je », n°3133). //Les sept stades de l' agonieWALTER Béatrice, Soigner en gériatrie, un Art, une Passion, édition Lamarre, Moulins-lès-Metz ou voir Kubbler- ross ELISABETH)// Voir aussi les écrits du CCNE.je reste à votre disposition si je peux vous aider dans vos recherche .ALLEZ COURAGE
Écrit par : TELEGONE | mardi, 22 septembre 2009
Le texte extrait du quotidien du " Quotidien du Médecin " est plus qu'intéressant, il est instructif. Il montre la difficulté, pour un soignant d'accepter le refus de soins ou de traitement manifesté par un patient et qui peut avoir diverses origines alant jusqu'au refus de la vie.
Si je comprend très bien le mal être des médecins et des soignants devant une telle attitude qui leur parait être un échec, je comprend tout aussi bien l'attitude et la volonté du patient pour qui la liberté de décider de son sort est légitime.
Comment alors, sortir de l'impasse ? Une fois de plus il faut parler de communication et de compréhension :
- Communication : Le médecin doit s'assurer que l'information est bien passée au malade sur les risques et inconvénients découlant de ce refus.
- Compréhension : en admettant qu'un patient conscient et bien informé garde son droit de de ne pas accepter le traitement proposé. Il faut alors l'accompagner au mieux au long du chemin restant à parcourir.
Personnellement ( mes propos n'engagent que moi) je considère qu'administrer presque de force un traitement non désiré ressemble à un viol de la liberté personnelle d'un malade conscient et informé.....
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