Ecriture personnelle - Le corps

DOCUMENT 1

Paragraphe 1-2-3

Ce texte d’Umberto d’écris son expérience avec les blue-jeans. En effet, après qu’il est suffisamment perdu du poids il a l’honneur de porter à nouveau des blue-jeans. D’après lui, celle-ci sont très confortable et pratique.

Ce fut un plaisir pour lui que celui-ci ne lui serre plus au niveau de la taille mais le maintiens par les hanches et compresse son bassin ainsi que tout le bas du corps.

Celle-ci agissait comme une armure sur ce dernier tellement elle fut élastique et il précise que sa manière de marcher était différentes quand on porte ces blue-jeans.

Paragraphe 4

Il prend conscient que les blues jeans lui impose une certaine contenance de comportement façonnant son corps, ce qui est paradoxale pour un vêtement qui est censé être informel et décontracté.

Il compare son expérience à celle des femmes qui utilisent depuis des siècles des accessoires destinés à structurer leur corps pour lui donner un aspect extérieur attractif et séducteur.

Paragraphe 5

Plus largement encore, l’histoire des civilisations montre que le vêtement est une armure sociale, culturelle et éducatif qui en modelant le corps influence le comportement de l’individu et extériorise les codes sociaux et principes moraux en usage dans un groupe humain donné, a l’exemple des habits ajusté du noble du 19e siècle qui traduisait une certaine volonté et rigueur et empêchais tout mouvement libéré.

Paragraphe 6 et 7

Inversement, on constate que les penseurs et les intellectuelles tout comme les moines ou les prêtres (qui ont respectivement des activités tournés vers l’intériorité) ont toujours mis leurs corps a l’aise et qui ont libéré leurs corps de « l’habit-armure » grâce a des vêtements amples comme la soutane des prêtres ou la robe de chambre des écrivains : ce dernier laisse son corps libre pour crée à son aise contrairement aux soldats qui portent des accéssoires rigides de protections car son activités est tourné vers de l’action extérieur.

Paragraphe 8

On peut donc en déduire que la mode vestimentaire impose a ceux qui la suivent de vivre pour le regard extérieur. C’est pourquoi la société a toujours éxigé ques les femmes portent des habits séduisants qui les rendais dépendantes de la mode pour les confiné à sa fonction d’objet désirables et les conditionner psychologiquement a ce rôle.

Umberto Eco salue le mérite et le courage des femmes qui ont su se libérer de ce conditionnement et donner leur nom à l'histoire en devenant femmes de lettres, intellectuelles, grandes savantes ou politiciennes.

De plus, les blue-jeans sont à cet égard un outil trompeur d'émancipation féminine car, s'ils sont un symbole d'égalité entre les hommes et les femmes, ils imposent d'autres restrictions et domination sur le corps.

Paragraphe 9

Le vetement est donc un outil de communication social, culturel et moral qui fait du corps un language.

Document 2 : David LE BRETON : « le corps, la limite : signes d’identité à l’adolescence », in Un corps pour soi, « pratiques physiques et société », 2005

David Le Breton donne son ressentis sur le piercing et le tatouage, d’après lui ce sont des formes d’embellissement du corps. La beauté de ces fameux piercings intensifie les visages ou bien les corps. Certains témoignage dans ce document suggèrent qu’ils ont énormément apprécies l’originalité de celui-ci.

Comme nous le démontre Sylvie, cette étudiante de 22 ans, qui exprime que le piercing a l’arcade, accentue son regard.  Cette marque est à la fois un détail privé et public, qui attirera l’œil des autres, même si c’est une choser assez intime, nous explique l’auteur.

Ce choix de piercing ou du tatouage dépendant de l’originalité et du besoin d’appartenance à une certaine tranche d’âge spécifique, la passion du piercing et du tatouage relie à l’originalité. Le second témoignage concerne Claire, qui s’exprime et selon elle, le piercing ce n’est qu’un moyen d’attirer l’attention tout en restant à la mode.

Et pour d’autre, comme Sandra qui témoigne qu’elle n’est pas comme les autres, et le piercing sa la différencie des autres. C’est donc un moyen d’être éloignée des habitude de tout le monde.

Ce texte démontre que selon la plupart des jeunes adultes (Fred,Thierry,Luc), c’est l’un des meilleurs moyen qu’il puisse exister pour se différencier des autres et d’être unique grâce aux différents piercing et tatouage.

En effet, Frank ce jeune étudiant de 18 ans,  pense que le piercing de l’oreille est assez banal et décide donc de le faire à l’arcade, ce qui selon lui « sa sort de l’ordinaire ».

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