Sida prévention

Texte sur les préventions

En résumé, c'est dans les pays pauvres et spécialement en Afrique que le virus se propage le plus. Ces populations n'on pas assez d'argent pour se payer les moyens de préventions et thérapies contre le sida.

En conclusion mieux éduquer les habitants des pays qui considèrent encore qu'avoir la grippe ou le Sida est pareil et que les pays riches aident financièrement les plus pauvres à mettre en place les moyens de préventions ou thérapies, sinon le nombre de personnes atteintes du Sida continuera à progresser.

conclusion:

le sida ne touche pas de la même manière les régions du monde. La transmission de la maladie va avec le manque d’information, le niveau d’instruction et l’isolement de certains coins de la planète par rapport au reste du monde. C’est pour cela que sur le continent africain, par exemple, la maladie avance à grands pas. Comme les familles sont nombreuses, qu'ils manquent de connaissance et de moyens de contraception, c’est la même chose pour la lutte contre les maladies liées au sexe (MST).

On voit d’ailleurs qu’il y a un lien entre pauvreté des populations et manque de moyens pour lutter contre le sida. L’accès aux médicaments est difficile, car les structures mises en place concernent peu de personnes puisque la plupart n’ont pas les moyens. D’une façon générale, on voit que plus les populations sont dans l’ignorance, plus elles sont fragiles vis-à-vis d’une politique décousue et ne donnant aucun moyen d’enrayer des épidémies. La culture d’un pays fait aussi qu’on ne parle pas forcément de certaines choses et que les partenaires ne savent même pas s’ils sont contaminés ou non et ne se protègent pas lors d'un rapport.

Pour les pays qu’on dit développés, on assiste à l’inverse à une confiance trop importante vis-à-vis de la trithérapie qui laisse penser qu’on peut à nouveau tout se permettre. Les comportements à risques refont donc surface et la protection la plus élémentaire disparaît. Les paradoxes s’accumulent donc même au niveau des personnes séropositives qui ne pensent plus à une fin inéductable et font moins attention.

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