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Quelle est votre opinion sur la législation concernant les soins de fin de vie (loi 52) en lien avec la pratique infirmière ?

Étude de cas : Quelle est votre opinion sur la législation concernant les soins de fin de vie (loi 52) en lien avec la pratique infirmière ?. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  10 Juin 2018  •  Étude de cas  •  1 211 Mots (5 Pages)  •  687 Vues

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Quelle est votre opinion sur la législation concernant les soins de fin de vie (loi 52) en lien avec la pratique infirmière ?

Nous vivons dans une société qui nous protège grâce à ses lois. Celles-ci sont discutées, analysées et puis voté par les représentants concernés. En effet, toute loi crée des débats, des pour et des contres pour enfin arrivé à une conclusion clair, nette et précise. La loi 52 sur l’aide à mourir a fait réagir plus d’un que ça soit les patients, la population et les professionnels de la santé. La loi 52 vise à clarifier et encadré les soins en fin de vie. Cette loi comporte deux volets soit les droits, l’organisation et l’encadrement relatifs aux soins de fin de vie dont les soins palliatifs et l’aide à mourir et la reconnaissance de la primauté des volontés exprimées clairement et librement, par la mise en place du régime des directives médicales anticipées. Ce qui m’intéresse le plus c’est l’aide à mourir. La loi 52 est totalement bénéfique pour le patient, car ça lui donne une possibilité et un autre choix et pour les professionnels de la santé, soit le médecin, qui assiste des cas qui répondent au au critère exigé par la loi pour avoir droit à l’aide à mourir et qu’en plus ces patients le demandent, alors le médecin pourra commencer le processus. Il est clair que lorsqu’on associe cette loi à un crime c’est difficile de la comprendre. Selon une étude dans le journal de l’Association médicale canadienne (juin 2010), il est possible que plusieurs infirmiers et infirmière ai minimisé leur participation par peur de commettre une activité illégale. Cette étude a bien évidemment été faite avant la législation. Il y a de la peur non seulement venant de la population, mais aussi au seins des professionnels de la santé. Il y a aussi cette tendance à croire que tout le monde va pouvoir mettre fin à ses jours facilement. À ce moment il est important de prendre une minute pour y réfléchir. Il y a d’énorme restrictions mises en place pour donner le droit à un patient d’annoncer qu’il voudrait avoir recours aux soins d’aide à mourir. Notamment le fait d’être dans une situation de fin de vie, d’avoir une maladie grave et incurable, être dans une situation médicale dans laquelle il y a une atteinte grave et irréversible de ses capacités, etc. Aussi, ces patients là vont être entourés par les infirmières, médecins et leur famille. Ce qui est oublié très souvent dans la prise de position par rapport à cette loi, c’est l’avis du patient, ses sentiments et sa situation médical. Comme le programme de soins infirmiers nous l’a enseigné, il faut respecter le choix des patients, car ils ont le droit à avoir leur dignité, à être respecté et à être supporté peut importe leurs choix. Avec nos connaissances on peu comprendre ce qui se passe dans leur corps, on peut être capable de trouver le médicament qui leur faut, mais on ne sera jamais capable de ressentir ce qu’ils vivent. C’est là, que la loi 52 met les deux côtés en accord. Avant je trouvais cela inadmissible qu’on puisse aider quelqu’un à mourir, même si je sais pertinemment qu’on est tous destiné un jour ou l’autre à mourir ou que certaines personnes souffrent vraiment et qu’il n’y a aucune issue à leur situation. Je voyais cela comme une forme de meurtre. Maintenant, je trouve que c’est important d’écouter le patient, car c’est un droit qu’il lui revient, tout comme le droit de refuser un traitement après avoir reçu toute

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