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Eco 3004 tn2

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Par   •  23 Novembre 2015  •  Cours  •  1 652 Mots (7 Pages)  •  1 928 Vues

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La formation en entreprise au Québec

Mon travail porte sur la formation en entreprise au Québec. Suite à mes 9 semaine de lecture du livre et d’ouvrage, je tenterai de résumer selon ma compréhension, qu’elle place occupe la formation en entreprise au Québec. Le contenu de mon travail parlera de l’intensité de formation, son accessibilité, les types de formation ainsi que la rentabilité de la formation continue.

L’intensité de la formation au Québec

Peu d’études sur la formation ont été documentées au Québec à travers des années. Il y eu quelques recherches actives au début des années 1980 et une suite à celles-ci au début des années 1990. Les résultats de l’enquête sur la formation en entreprise au Canada (Betcherman, Leekie et McMullen, 1996) sont intéressants. Notons d’abord que parmi les 2 584 employeurs canadiens participant, 70.3% d’entre eux disent avoir fait de la formation au cours des 12 derniers mois. Mais, seulement 42% ont fait de la formation formelle ou structurée. L’enquête affirme également que le trois quart de la formation faite par ces entreprises est informelle.

Depuis plusieurs années on peut remarquer une baisse de formation au Québec. Dans les petites entreprises, les entreprises indépendantes, Les entreprise non-syndiqué et celle que la performance des GRH sont à la baisse sont les plus cibler. Plusieurs de ses entreprises refuse le changement à cause du cout que cela peut engendrer. On peut voir comme exemple le changement des technologies au fils des années, la mondialisation et la concurrence comme certain des principaux facteurs du ralentissement de la formation au Québec. Certain entreprise ou secteur activité peuvent avoir une baisse de profit sur leur produit qui vendent chaque mois (comme par exemple les secteur alimentaire). En investissement pas dans la formation pour leur employé il on de la misère à suivre leur conçurent. Mais la formation pourra être perçus comme un investissement à long terme, pour pouvoir réussir à rester compétitif au Québec mais aussi partout dans le monde. LE Québec évolué tellement vite que le contenu des formations devient dépassé âpre un certain temps, contre-men dit-il seront plus ne mesure de répondre au diffèrent besoin des salarier et des entreprises.

La formation continue

Tout d’abord quels que ses la formation continu. La formation continu est le développement de nouvelles connaissance ou rafraichissement des connaissances utilisées au travail. La formation a pour bue de faire évoluer cette personne tente individuellement tente que professionnellement.

Il y a plusieurs années, la prédominance du Taylorisme dans notre société influençai notre travail et le type de formation auquel les travailleurs étais exposer. Une formation sur le tas est une formation qui permettre à un employé d’accéder rapidement à son poste de travail et de faire ses taches sans supervision.  Mais selon moi, ce type de formation frêne les travailleur être proactif et être polyvalent dans leur entreprise.

La formation continue a été développée avec plusieurs bonne volonté et a plusieurs objectifs. En commencer l’entreprise offre de la formation d’elle-même, elle a pour but d’assurer l’effectivité économique, améliorer la productivité au travail et favorise un mobilité vertical et horizontal. En deuxième lieu, la formation vise surtout les employer ; intégration, favoriser la promotion social et professionnelle chez les individus. La formation peut devenir un facteur de motivation car il peut avoir des augmentations de salaire, évolution dans leur entreprise, etc.

La Formation est telle obligatoire ?

La formation est offerte sous différente forme. Je ferais ici un résume de ce qui a le plus influence le recours à la formation au Québec.

Premièrement, il a eu la création des comités sectoriels. Ce comité vise la collaboration de divers acteurs donc les entreprises, les ministères, les organismes gouvernementaux qui ont pour but de développer une concentration entre eux même pour affronter les changements systémiques, les facteurs de compétitivité pour aider au développement de la main-œuvre et de la formation dans des secteurs précis.

Au Québec on peut compter sur plus ou moins 26 comité sectoriel de main-ouvre. Mais seulement le plus gros (le tourisme) et le plus petit (ou il a le moins entreprise ou de main œuvre) on instaurer un système de formation. Les entreprises déterminent leur besoin et le communique à leur comité et le comité par la suite prépare un éventuelle formation dans le but de développer l’entreprise pour le mieux.

N’en moins, malgré l’exemple de l’implication du comité sectoriel du tourisme au niveaux de la formation, on peut pas dire qui offre une grande solution que les autres entreprises pourront s’appuyer. Il y a juste 2 comité qui vont ver la formation les autre est mitiger.

Un des autres moyens que notre gouvernement a mis en place au Québec est la loi 90, ou appeler par plusieurs la loi du 1%. Cette loi a été mis sur pied pour insister les entreprises à promouvoir la formation dans leur lieu de travail. Au départ, cette loi était pour toute les entreprises les petite comme les grosses. Quelque année plus tard le gouvernement décida de changer cela, seulement les entreprisse avec une masse salariale d’au moins un million de dollar devront suivre la loi du 1%. A mon avis cela est bien car les Pme avais de la misère à donner 1% de leur revenu chaque année a leur entreprise pour la formation. Les procédures rattacher à la formation et les cout administratif rendait non rentable la formation pour les Pme.

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