Association de solidarité de lutte contre l'exclusion

Travail association de solidarité de lutte contre l’exclusion

Question 7 :

La place du secteur privé non lucratif dans la gestion des dispositifs de lutte contre l’exclusion est importante : la mise en œuvre des politiques sociale repose pour environ 70% sur les structures du secteur privé non lucratif (association, fondation). 1 millions de personnes sont salariées dans ce secteur. Ce secteur doit être considérer comme des coopérateurs et des co-constructeurs des politiques publiques.

Question 8 :

Le secteur associatif est caractérisé par deux types d’associations :

• Les réseaux nationaux : elles ont beaucoup de don et de bénévoles. Elles organisent des formations. Elles interviennent dans l’urgence et dans l’accompagnement des personnes (chantier d’insertion).
• Association locale : peut de bénévole mais très actif et très peut de formation. Elles sont dépendantes des subventions de l’état et ont des dons en nature pour l’aide alimentaire. Elles travaillent dans l’urgence.

Question 9 :

L’activité du secteur associatif est complémentaire de celle des collectivités publiques car ils travaillent à l’accueil d’urgence mais aussi à la réinsertion sociale. Par exemple, les chantiers de réinsertion accompagnent des personnes dans leur retour à l’emploi durable grâce à des contrats à durée déterminée d’insertion (collectivité publique). De plus, la FNARS regroupe près de 870 associations et 2800 structures qui accueillent 900000 personnes en difficulté chaque année.

2. Initiatives liées à créations d’une association de lutte contre les exclusions

A l’hiver 1985, Coluche, acteur comique français, lance un appel à la radio pour crée des cantines gratuites dans les principales grandes villes de France. En effet, en France il y a des personnes qui ne mangent pas à leur faim tous les jours comme les chômeurs, les SDF et les familles en difficultés. Il va crée l’association les Restos du Cœur. En 1985, 70000 personnes sont bénéficiaires de l’association. Aujourd’hui, cette association existe toujours et compte 1 millions de bénéficiaires.

L’hiver 1954 a été très rigoureux (-15°à Paris) ce qui cause la mort des personnes mal loger ou expulser et qui dorment dehors ou sous les tentes. Des hommes, des femmes et des enfants meurent de froid. L’Abbé Pierre, lance un appel à la radio pour ouvrir des centres d’hébergement d’urgence en fournissant a manger, de quoi dormir et de quoi se réchauffer pour les plus démunis quelque soit sa religion. L’Abbé Pierre crée l’association Emmaüs qui existe encore aujourd’hui et elle est présente dans 37 pays.

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