À quand l’extinction de la religion?
Dissertation : À quand l’extinction de la religion?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Antony Lemire-Gagnon • 3 Mars 2016 • Dissertation • 1 430 Mots (6 Pages) • 1 434 Vues
Texte argumentatif final :
À quand l’extinction de la religion?
Travail de philosophie
présenté à
Christine Coallier
Par
Antony Lemire-Gagnon
Groupe 01
Cégep de Drummondville
Le dimanche 4 décembre 2011
Introduction :
— Pourquoi le progrès scientifique n’a-t-il pas fait disparaître les religions?
— 1) la religion et la science sont-elles interdépendantes?
2) Pourquoi ferait-on plus confiance à l’une qu’à l’autre?
3) Que deviendrait notre société sans l’une de ces deux sphères explicatives de nos origines?
4) Science et religion cohabitent dans nos esprits, mais a-t-on réellement besoin des deux à la fois?
— 1) Science; progrès, « vérité », connaissance.
2) Religion; foi, éthique, valeur.
— La religion comble les manques de la science faute de progrès.
— L’être humain a besoin de la religion pour imposer des limites d’ordre éthique à la science.
— Trois parties : deux positions opposées et ensuite ma prise de position.
Développement :
A) Première hypothèse :
— La religion comble les manques de la science faute de progrès.
— Lorsque l’homme n’a plus d’explications rationnelles à un phénomène, il se repose sur la religion pour interpréter les faits.
— Certains scientifiques recourent à des approches comme la métaphysique et la théologie pour expliquer certains problèmes.
— C’est un jugement de fait.
— Il s’agit d’un jugement de réalité parce que ces scientifiques peuvent s’intéresser à des problèmes tels les trois noirs dans l’univers ou l’origine de la vie.
B) Deuxième hypothèse :
— L’être humain a besoin de la religion pour imposer des limites d’ordre éthique à la science.
— Lorsque les percées du progrès scientifique menacent la symbiose morale de notre société, les fondements éthiques de la religion nous renvoient des questions à savoir s’il faut modérer ces avancés scientifiques.
— La liberté que l’humain possède face à la science à ses limites lorsqu’il s’agit de technologie qui favorise l’inégalité entre individus sur le plan des valeurs humaines.
— C’est un jugement de fait.
— Il s’agit d’un jugement de fait parce que certain progrès scientifique dans les domaines humains et sociaux sont souvent source de débats entre l’éthique religieuse et le point de vue de la science, on parler ici du monde du sport avec des membres bioniques.
c) Prise de position :
— Pour ma part, la religion est toujours présente parce que la science a quelquefois besoin d’être contrôlée par des normes éthiques et morales.
— Le progrès quant à lui est toujours en évolution ainsi il y a des chances qu’il puisse expliquer scientifiquement les problèmes qui sont aujourd’hui raisonnés par la religion.
— Avec certains progrès, la science commence à banaliser des droits de l'homme fondamentaux que les valeurs de la religion avaient déjà inculqués comme étant acquis dans notre société.
— C’est un jugement de fait.
— Il s’agit d’un jugement de fait parce qu’il est vrai que certain aspect de la religion critique les progrès scientifiques quand ils remettent question les « pouvoirs » divins comme la création et la destruction.
Conclusion :
— Je suis d’avis que la religion avec ses normes éthiques et ses valeurs est toujours présente dans notre société pour nous protéger de certains progrès de la science.
— Mais l’homme n’aura pas toujours à contenir la science par des critiques morales de la religion, la science avec ses progrès nous modèle déjà de façon à nous faire voir les avancements technologiques comme nécessaires voir indispensable.
Pourquoi le progrès scientifique n’a-t-il pas fait disparaître les religions?
De nos jours, la science prône sur la mentalité religieuse, mais ce n’est qu’avec le temps que la popularité de la science est née. Les progrès n’ont donc pas cessé d’émerger depuis plusieurs années. Cependant, la pensée religieuse n’en a pas été affectée voire qu’elle n’en est pas « démodée » pour autant. Il y a encore beaucoup d’adepte d’une pensée plus spirituelle ou morale. Mais quand est-il réellement de cette situation : pourquoi le progrès scientifique n’a-t-il pas fait disparaître les religions? Ainsi, on vient qu’à se demander s’il faut priorisé l’une de ces deux sphères de la société et si oui pourquoi en valorisé une plus que l’autre. Certains spécialistes se sont penchés sur la question et affirment d’une part que la religion comble les manques de la science faute de progrès. Puis d’autre part que l’être humain a besoin de la religion pour imposer des limites d’ordre éthique à la science. Ce texte, divisé en trois parties, contient deux positions divergentes et ma prise de position.
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