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KOSSO DUREL

Vian « le déserteur »
Dans le déserteur Boris Vian s’adresse au président de la république de l’époque pour lui faire qu’il n’ira pas faite la guerre.

Dans le déserteur de Boris Vian : C’est l’histoire d’un homme qui adresse une lettre à « Monsieur le Président » de la République pour lui faire part de son intention de ne pas aller faire la guerre. En effet cet homme avait reçu un ordre de mobilisation en raison d’un conflit armé. L’homme y explique qu’il ne souhaite pas partir à la guerre, et justifie sa décision par les décès survenus dans sa famille proche à cause de la guerre, et par le fait qu'il ne veut pas « tuer de pauvres gens ». Il révèle son intention de déserter pour vivre comme un mendiant et incite les gens qu’il croisera a faire comme lui.  Pour ma part je comprends et partage en partie le ressenti de cet homme (le déserteur) sur la guerre. Cependant quelques fois il faut outrepasser ses convictions et se sacrifier pour l’intérêt général.
Ainsi dans un premier temps je montrerai en quoi a eu raison de déserter, puis j’enchaînerai sur les conséquences négatives de déserter comme à fait cet homme.

Depuis sa naissance sa naissance, cet homme subit les conséquences de la guerre. En effet dès son jeune, ce dernier a d’abord perdu son père qui avait certainement été enrôlé pour la guerre. La mort de son père a eu plusieurs graves conséquences sur sa vie.
-Premièrement, une perte de repères et difficultés à se construire et devenir un homme adulte.
-Deuxièmement, la mort tragique de son père a précipité la mort prématurée de sa mère qui n’a pas su gérer la souffrance de perdre des êtres chers à savoir mari et enfants.
De plus à cause la guerre, cet homme a perdu ses enfants et s’est retrouvé prisonnier de guerre ce qui a malencontreusement occasionné le divorce d’avec sa femme. Ce passage nous apprend plusieurs choses : cet homme été peut soldat pour se retrouver prisonnier et qu’à cause de son engagement militaire la famille qu’il avait construite avec sa femme s’est disloquée. Au vu de tout ce qu’il a vécu, je comprends aisément qu’il n’ait plus envie d’aller la guerre. Surtout que les raisons de celle ne sont pas tjrs claire et que très souvent comme le dit cet homme, il n’est pas « sur terre pour tuer de pauvre gens ».

Cependant fait-on la guerre par gaité de cœur ? Je ne pense pas. Il est vrai que la guerre occasionne souvent de lourdes pertes humaines, mais il ne faut pas oublier que la plupart du temps les guerres sont menées pour défendre son territoire sa patrie. Par exemples pendant la seconde guerre mondiale, alors la France était sous occupation allemande, les troupes de l’armée coloniale communément appelé les « tirailleurs sénégalais » participèrent à l’effort de guerre au péril de leurs vies. Nombreux furent exécutés par l’armée allemande. Ce sont plusieurs centaines de d’hommes qui comme le « déserteur » avaient femmes, enfants et familles qui ont péris pour le bien de tous.  De même le débarquement de des troupes américaines en 1944 à Caen a permis de mettre fin à cette guerre. Là aussi ce sont des centaines de milliers de personnes qui n’ont pas pensé à déserter mais à aller au front pour l’intérêt commun.

Pour conclure, qu’il est souvent plus simple de prévenir les conflits que d’aller au front. L’idéal serait donc de chercher des solutions amiables dans la mesure du possible. Mais si cette hypothèse n’est plus envisageable et que notre famille ou notre pays est en guerre nous n’avons nul autre choix que de les défendre.

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