Synthèse de deux postes

                                                            RAPPORT DE STAGE

Présentation Personnelle

Pour bien débuter ce rapport de stage, il me semble important de commencer par une présentation personnelle, qui vous permettra de mieux cerner mes parcours aussi bien scolaires que professionnels.

Diplômé d’un bac a lauréat général (ES) en 2010, je décide comme tout bon passionné de sport d’intégrer l’université du sport, (STAPS) sur le campus de Luminy à Marseille, dans l’optique de me confronter au marché du sport. Un an après, et une expérience peu concluante (pas de réelle accroche avec les matières scientifiques), c’est le milieu militaire vers lequel je choisis de me tourner. Déterminé à intégrer un régiment bien spécifique «1er Régiment de Parachutiste d’Infanterie de Marine, 1er RPiMA »,  je passe plusieurs sélections, et suis tout de suite séduit par la rigueur et le côté ultra sportif proposé par ce métier. Malheureusement, et cela dû à des sélections très rigoureuses (350 dossiers, 18 sélectionnés), j’échoue pour un rien et ne suis finalement pas retenu.

La suite est beaucoup plus logique. Embauché par un surf shop à Marseille « Massilia Surf Shop, MSS », en tant que responsable des rayons : surf, snowboard et skate, je découvre l’univers de la vente alliée à l’ambiance du monde de la glisse. Fasciné par la vente en direct, le contact avec clientèle, la technicité des produits, et un merchandising quotidien, cette expérience sera la plus enrichissante de ma jeune carrière. Conseillé par un commercial travaillant pour « Ride » je décide de tenter l’expérience CNPC, et plus spécifiquement la formation de commercial promoteur des ventes. Le CNPC est une école qui permet à de jeunes passionnés d’étudier le sport, et en fonction des formations d’alterner des périodes d’entreprise et de cours.  Accepté aux sélections je me mets en quête d’un employeur, chose qui ne se révélera pas concluante. Dans le même temps le CNPC annulera sa formation pour l’édition 2013 faute de candidats, et de besoins des marques.

Décidé à mettre toutes les chances de mon côté pour l’année suivante, j’attaque dans les mois qui suivent une formation de « skiman » proposée également par le CNPC dans le cadre de l’obtention d’un Certificat de Qualification Professionnelle. C’est après une saison riche en expériences, ou j’ai pu valider mes connaissances du métier de skiman, mais aussi enrichir mes compétences de vendeur, que j’obtiens mon diplôme.

Toujours désireux d’intégrer la formation de commercial promoteur des ventes annulée l’année précédente,  je relance mon dossier auprès du CNPC.

 Je me présente à Grenoble en juillet 2014 pour un « job dating » avec de prestigieuses enseignes : Dynastar, Rossignol, et Sidas.

 L’ensemble des entretiens se passent très bien, mais dès le premier contact avec l’équipe Dynastar, venue en force (pas moins de quatre personnes), un sentiment se détache. Tout de suite très à l’aise, le projet professionnel attire toute mon attention et suscite en moi l’envie d’y prendre part. Je propose de mettre à leur disposition mes compétences de vendeur, mon attachement aux produits et mon contact clientèle, mais surtout ma volonté de travailler avec une marque que j’affectionne tout particulièrement. L’opportunité d’avoir travaillé avec ces produits au cours de la saison passée est un argument supplémentaire que je mets en avant. De plus c’est une enseigne historique du ski français à laquelle j’aimerai apporter ma contribution pour continuer son développement.

Heureusement pour moi et ce malgré d’autres entretiens, les membres de l’équipe Dynastar semblent avoir eu un ressenti identique au mien. C’est après notre deuxième rendez-vous qu’ils m’annoncent que mon profil les intéresse, et sont prêts à travailler avec moi, les deux prochaines années. C’est avec un plaisir non dissimulé que commence alors mon aventure avec Dynastar.

Ces trois années chez Dynastar ont été de loin les plus formatrices et les plus pertinentes de mes expériences professionnelles. De plus, j’ai eu la chance de pouvoir intégrer deux services différents en termes d’objectifs et de missions au sein de l’équipe Dynastar.

 La promotion des ventes m’a conduite à travers quantité de stations de skis. Cela avait pour but de permettre aux professionnels de la montagne, ainsi qu’aux anonymes de tester nos produits. J’ai également eu l’opportunité de travailler au centre test des Grands Montets (centre d’essai de skis) et donc pu découvrir les ficelles, les joies et les aléas du métier de promoteur des ventes.

Au cours de ma seconde année j’ai été intégrer au service commercial. Evoluant en tant que technicien représentant cela m’a permis de découvrir un autre métier que celui de promoteur.

Approche différente du travail mais doté d’une complémentarité certaine avec mon poste précédent, j’ai été le soutien permanent de deux commerciaux sur leur secteur durant l’année.

Enfin cette troisième année j’ai été affecté au poste de représentant junior sur  le secteur de l’Est de la France. Par un concourt de circonstances favorables, Olivier Travaillot (mon tuteur) représentant de l’Est et également devenu responsable des grands comptes « Keys Account ». Cette nouvelle charge de travail l’empêchant de remplir à 100% sont métier de représentant commercial, la tâche me fut en partie confiée, sous sa tutelle.

En rentrant chez Dynastar, mon objectif était de me rapprocher au maximum du métier de représentant commercial. Demande personnelle, mais validé en amont par ma hiérarchie, j’ai évolué chacune de ces années sur un poste à responsabilité accrues. Le point culminant de mon ascension dans l’entreprise restant cette troisième et ultime année, de loin la plus en accord avec mes attentes initiales.

Présentation d’entreprise[pic 1]

Rossignol est la marque à partir de laquelle tout a commencé. Fondée en 1907 par un menuisier, Abel Rossignol, elle est installée depuis toujours dans son fief qu’est l’Isère. Gardant le nom de son créateur la marque n’a jamais hésité à s’agrandir. En 1956 l’enseigne devient le « Groupe Rossignol » avec le rachat par Laurent Boix-Vives qui décide d’en faire une entreprise de niveau internationale

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