Rapport écologie végétale
TD : Rapport écologie végétale. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Él Mahdii Mâamri • 10 Juin 2017 • TD • 1 441 Mots (6 Pages) • 594 Vues
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Remerciements…………………………………………………………………………………………………………......……………..........2
Introduction …………………………………………………………………………………………………………………….…………..…..…..3
Lieu de sortie……………………………………………………………………………………………………………………………………….…4
- Premier arrêt……………………………………………………………………………………………………..………..……….…….…….…5
2. Second arrêt……………………………………………………………………………………..………………………………..………….....6
3. Troisième arrêt…………………………………………………………………………………………………………………..……...….…..9
4. Quatrième arrêt……………………………………………….………………………………………………………………………….......11
5. Ecosystèmes du Maroc…………………………………………………………………………………………………………………..….13
Conclusion……………………………………………………………………………………………………………………………….…..……....14
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Afin de concrétiser le théorique acquis dans le cours d’écologie et de constater de près la
distribution des organismes, leur abondance dans un écosystème, les relations qu’ils ont
avec leur milieu ainsi que la conséquence de ces relations. Nos professeurs
Mme.ECHCHGADDA et M.BOUAMRI ont organisé une sortie dans les régions d’El Hajeb-
Ifrane. Les quatre stations dans lesquelles on s’est arrêtés pour étudier ces écosystèmes
étaient : La Causse d’El hajeb, Entre la Causse d’El hajeb et Ifrane, La causse d’Ifrane, en
plein cèdre.
Lieu de sortie :
Le Moyen Atlas est parmi les trois chaines du massif de l’atlas— les deux autres étant le Haut Atlas et l'Anti-Atlas ; il s’étend sur 350 km, du sud-ouest au nord-est du Maroc, située entre le Rif et le Haut Atlas, il couvre une superficie totale de 2,3 millions d'hectares.
Il intéresse principalement les provinces de Khénifra, Ifrane, Boulmane, Sefrou, El Hajeb et Midelt, ainsi qu'une partie des provinces de Taza et de Beni Mellal — que l'on désigne par ses deux portes.
Le Moyen Atlas est à biodiversité faunique et floristique faisant de lui une zone à vocation touristique, cependant, le pastoralisme reste la première ressource économique.
Le Moyen Atlas se situe dans une zone de pluviométrie très élevée et appartient à quatre grands bassins hydrographiques :
-Le bassin de Sebou : d'une superficie d'environ 40 000 km2 ;
-Le bassin de l'Oum Errabiaa : s'étend sur une superficie de 35 000 km2 ;
-Le bassin de Bouregreg : couvre une superficie de l'ordre de 10 000 km2.
Ces trois rivières prennent naissance dans le Moyen Atlas et se jettent dans l'océan l'Atlantique.
-Le bassin de la Moulouya : prend ses source à Almssid à la jonction du Moyen et le Haut Atlas s'étend sur 74 000 km2 et se jette dans la Méditerranée.
Les apports sont donc assez abondants et les débits relativement réguliers.
- Premier arrêt : La Causse d’El hajeb ; à 900-1000 m d’altitude.
Le climat ici est subhumide frais avec des précipitations avoisinant les 700 mm.La température moyenne annuelle est de 0° C.
La roche mère est une roche calcaire datant du tertiaire avec affleurements rocheux.
On y trouve comme végétation abondante, le Chêne vert (Quercus ilex). Caractéristique des forets méditerranéens.
On y trouve aussi du « doum » (Palmier nain) (Chamaerops humilis).
Non mise en défens, reboisée, protégée, ou encore proprement exploitée. On constate que le surpâturage et la transhumance ont dégradés l’état de cette forêt qui présente dorénavant une faible diversité floristique. C’est un paraclimlax en dégradation.
Aussi, le fait que les feuilles du chêne vert soient persistantes, il n’y a pas de renouvellement annuel de la litière qui protège le sol de l’érosion de l’évaporation et l’enrichis en matière organique.
- Second arrêt : Entre la Causse d’El hajeb et Ifrane ; à 1100 m d’altitude.
Les arbres sont d’une taille généralement supérieure à 10 m .On y trouve du Chêne zeen (Quercus canariensis), avec des feuilles caduques, ce chaine caractérise l’altitude à laquelle on est. Le Chêne vert (Quercus ilex) retrouvé dans la station précédente.
On retrouve aussi (Urginea maritima) plante monocotylédone à bulbe, de la famille des Liliacées.
Ici la roche mère est basaltique datant du quaternaire. Contrairement à la station d’arrêt précédente, la couche de litière est importante, donc il y’a une dégradation et minéralisation de la matière organique et de l’humus en abondance.
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