E-TOURISME
Mémoire : E-TOURISME. Recherche parmi 301 000+ dissertationsPar Az-eddine Aallabouch • 23 Mars 2017 • Mémoire • 9 863 Mots (40 Pages) • 724 Vues
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Année universitaire 2011-2012
Partie théorique
Introduction 5
I- La définition du management :
- la définition du management directif 6
- la définition du management participatif 6
- la différence entre les deux 7
II- les principes du management participatif :
- la mobilisation du personnel 10
- la délégation du pouvoir 10
III-les facteurs clés de succès à la mise en place d’un management participatif :
- la détermination des problèmes à résoudre ainsi que des objectifs à atteindre 11
- la formation pour la participation 11
- l’établissement d’un climat de participation 14
IV-les outils du management participatif :
- les groupes d’amélioration 14
- le système de suggestion 16
- PDAC la roue de DEMING 17
- Le Diagramme d’ISHIKAWA (cause/effet) 19
V- le management participatif et la motivation :
- L’art de la communication 20
- L’écoute active 21
- La motivation selon MASLAW 22
- La motivation indirecte 24
VI-les avantages du management participatif :
- Les avantages pour les salaries 26
- Les avantages pour l’entreprise 26
VII- les limites du management participatif :
- Le problème de temps et de coût 27
- La résistance du personnel 27
- La remise en cause des structures formelles de l’entreprise 28
- L’incapacité d’adaptation à la situation de crise 28
VIII- le management participatif et l’Islam : 29
Conclusion 30
Partie pratique
I-La différence entre le management européen et asiatique selon MATSUSHITA :
- La déclaration de Matsushita en 1988 32
- La comparaison entre le management européen et asiatique 33
II-La situation managerielle de la résidence Ryad Mogador Menzeh :
- L’état statistique de la situation 34
- La problématique et les solutions proposées 36
Bibliographie 37
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Introduction :
La fin du XIXe siècle et le début du XXe siècle sont marqués par l’influence de la conception taylorienne de l’entreprise. On parle alors de l’Organisation scientifique du travail (OST). Face à l’importance, à l’ignorance des petits chefs, au phénomène du freinage provoqué par les ouvriers (la flânerie au travail), l’entreprise doit, dans son organisation, se reposer sur une approche scientifique et rationnelle. C'est le rôle des ingénieurs (dans leur Bureau d'Étude), de la hiérarchie, que de concevoir des systèmes de production efficaces. Le travailleur est alors considéré comme un outil de production. Face à cette vision étriquée de l'être humain, des recherches nord-américaines mettent en valeur les aspects psychoaffectifs du travail. K. Lewin mit ainsi en valeur le fait que les ouvriers développaient, au sein de leur atelier, des représentations sociales : l'usine n'est pas seulement un lieu de production, c'est aussi un lieu de significations pour les individus. À partir de cette période, se développe l'école des Relations Humaines qui dépasse une vision de l'homme comme outil et propose une vision de l'homme comme sujet psychoaffectif.
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