Dignité humaine

L’être humain est une créature sensible à son environnement, il tient de nature à sa dignité et à son bien-être. L’homme est confronté à plusieurs harcèlement morale tant que physique qui le rend faible et impuissant à trouver son bien-être et à vivre heureux. Cela a poussé l’assemblée générale des nations unies en 1948 à créer une déclaration universelle des droits de l’homme qui reconnaît la dignité humaine, comme dans cet extrait de texte de Thomas De Koninck : « Considérant que la reconnaissance de la dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine et de leurs droits égaux et inaliénable constitue le fondement de la liberté, de la justice et de la paix dans le monde.» Depuis on a prêté plus attention et d’importance à la dignité et la valeur humaine qui sont les plus essentiels pour que l’humanité puissent continuer et à avancer dans le bon sens de développent de la civilisation, sinon c'est l'homme qui l'a bâti et c'est l'homme qui va la détruire. Quand on parle de l’égalité humaine, c’est l’égalité des droits entre l’homme est la femme qu’on veut qu’elle soit mise en application et surtout l’égalité entre les classes sociales.

le châtiment au nom d’une personne ou d’un état au pouvoir, est considéré dans la vrai notion des droit de l’homme comme une violation des droits humaines et manque de respect envers celui qui subit ce malheur, mais hélas, on ne peut même pas lui rendre hommage et on considère que l’abus de pouvoir et normal vu qu’on ne peut pas réagir ou transmettre notre désaccord que par quelques lignes dans le journal ou par quelques grèves qu’on laisse toujours la décision finale aux personnes du pouvoir ou d’un état, c’est comme on tourne dans un cercle vicieux. Comme Hannah Arendt a dit aussi que la maltraitance est la cause que l’homme a perdu ses qualités qui permettent aux autres de le traiter comme leur semblable, l’individu doit être libre de parler, de s’exprimer, de croire, et d’être à l’abri de peur et beaucoup de souffrances.

Pour essayer de corriger cela et surmonter tous les obstacles et situations, j’incite fortement à revenir à nos bases, à notre langage naturel et de faire appel à notre jugement moral, à la raison, à la conscience et à l’esprit de fraternité pour former une approche et une convention universelle de respect de l’humain. On doit éviter le manque de conscience que dans plusieurs cas est volontaire. Il ne faut pas qu’on apprend à respecter une religion ou une culture telle qu’une appartenance ethnique mais qu’on apprend à respecter l’humain, à nous respecter nous-même et par la suite respecter les autres, on doit se soutenir avec les gestes, l’amour, partager les peines et les joies, tout simplement avoir de l’empathie envers les personnes diminués et parfois et encore juste envers nous-même.

...