Limites du Taylorisme

Limites du Taylorisme

« L’une des premières caractéristique d’un homme qu’est capable de faire le métier de manutentionnaire de Gueuses de fontes et qu’il est si peu intelligent qu’on peut le comparer en ce qui concerne son aptitude mentale plutôt à un bœuf qu’à autre chose » Taylor. « L’homme qui a l’esprit vif et intelligent est pour la même raison inapte à exercer ce métier  en raison de la terrible monotonie d’une tâche de ce genre. En conséquence, l’homme qui est le plus qualifié pour ce métier est incapable de comprendre la science réelle du mode d’exécution de ce genre de travail, il est si peu intelligent que par exemple, il ne comprend pas le mot « pourcentage » et en conséquence il doit être entrainer par un homme plus intelligent que lui-même pour qu’il acquiert l’habitude de travailler en concordance avec les lois de cette science avant de pouvoir accomplir son travail avec succès » La direction scientifique des entreprises, 1911. 

C’est la lucidité de Taylor pour comprendre que tous les hommes ne peuvent pas occuper n’importe quel poste. Cependant une limite forte du Taylorisme c’est la carence anthropologique : d’après le Taylorisme l’homme est réduit à une main doté d’une forte dextérité mais dépourvu d’intelligence. L’autre dimension crucial divisons horizontal du travail  c’est son apport à une vision nouvelle de l’entreprise.

Ce point de vue débouchera, avec Henri Ford (travail à la chaine) avec la partialisassions du travail on prend conscience que c’est non seulement la rationalisation des tâches qui est importante mais non seulement leur mise en cohérence : la question de la productivité doit être envisagé non par poste par poste mais à partir du fonctionnement global de l’atelier. La systemisation de ces principes prend corps avec la chaine de montage. De cette façon l’idée principale du fordisme est qu’au-delà des individus le management, dit surtout faire attention aux contrôles du système d’ensemble. Au passage il faut noter que l’attachement du travailleur aux bureaux des méthodes est total.

B) Fayol : La Fayolisme

L’essence du Fayolisme réside dans le fait d’avoir constaté de l’incapacité des chefs d’entreprise dans toutes les matières qui touche l’administration et la gestion des entreprises. Cette idée vise en particuliers la méconnaissance  des techniques de gestion humaines du personnel. Les chefs d’entreprise de l’époque était issu principalement des grandes écoles d’ingénieur et de ces faits se distinguer par leurs connaissances approfondi en mathématiques et tout ce qui touche aux sciences de l’ingénieur. Inversement qui se distinguer par l’ignorance totale des principes qui préside à la conduite des hommes. Fayol défendra l’idée de la nécessité d’introduire dans les écoles des programmes des formations aux managements humains. La 1ère tâche de Fayol consiste à définir les fonctions nécessaires à toutes entreprises. Les fonctions identifiées par FAYOL sont les suivantes :

• Fonction technique (production)
• Fonction commerciale (vente et achat)
• Fonction financière (recherche des capitaux)
• Fonction sécurité (protection de bien et des personnes)
• Fonction comptabilité (inventaire, bilan, statistique)
• Fonction administration/direction (cette fonction concerne le pole stratégique et il touche à la prévoyance à l’organisation aux commandements et à la coordination et aux contrôles)

Cette dernière fonction porte exclusivement sur la « Ressources Humaines ». Elle exige l’application des 14 principes Fayolien. [cf 14 principes de Fayol]

C) Weber : La pensée organisationnelle de Max Weber

Pouvoir et domination

La bureaucratie : La réflexion de Weber sur la bureaucratie a alimenté toutes les sociologies des organisations, attaché à montrer les limites de cette forme d’organisation. Le concept des bureaucraties désigne le mode d’organisation politique et économique propre aux sociétés modernes. (Après 1789) Le mode d’organisation bureaucratique repose sur une légitimé  de type rationnelle et légale (c’est-à-dire c’est où les principes d’autorité découle de la raison et de la loi du droit. Contrairement à la tradition et à la fois dans les sociétés dites traditionnelle.)

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