Émile-Durkheim : représentations individuelles et représentations collectives

Émile-Durkheim : représentations individuelles et représentations collectives

Introduction

Si l'on avait commencé par déterminer , à l'aide de procédé sociologique ,certaines conditions de l'organisation sociale ,il lui était parfaitement légitime d'examiner ensuite si elle ne présentait pas de similitude partielle avec les conditions de l'organisme animal ,tel que le biologiste les déterminent de son côté. on peut même prévoir que toute organisation doit avoir des caractères communs qu'il n'est pas inutile de dégager

il est naturel de recherché : les analogies qui peuvent exister entre les lois sociologiques et le psychologique  

La vie collective comme la vie mentale de l'individu et faites de représentations il est prévu meuble que ces représentations individuelles et les représentations sociales sont en quelque sorte comparables 

objectif : montrer que les 2 soutiennent la même relation avec leur substrat respectif

CHAPITRE 1 :

La conscience est un simple reflet des processus cérébraux sous-jacents

plus cette faculté de connaître ce qui se passe en nous développer plus ainsi les mouvements du sujet perdre cet automatisme qui est la caractéristique de la vie psychique

L'excitation extérieure est soumise à une élaboration

la conscience n'a pas l'inertie qu'on lui prête

Toute chose elle est soumise au devenir : changer c'est produire des effets

Il est devenu presque classique de réduire la mémoire à n’être qu’u  fait  organique ,

Ce qui seule est le même dans les 2 expériences c'est l'état nerveux ,conditions de la 2nde représentation comme de la première

Notre conduite et tout entière placée sous la dépendance exclusive des causes , c'est proprement l'organisme qui mène l'homme

Il faudrait que là conscience ainsi sur ajouter une manière d'agir qui n'appartient qu’a elle ,quel fut susceptible de produire des effets qui sans elle n'auraient pas lieu

Si donc la mémoire exclusivement une propriété des tissus , la vie mentale n'est rien ,car elle n'est rien en dehors de la mémoire

Si donc les représentations de tout ordre meurent aussitôt qu'elles sont nées de quoi l'esprit peut-il être fait ? il faut choisir ou bien l’épiphénoménisme est le vrai ou bien il y a un mémoire proprement mental -->mémoire proprement mentale

CHAPITRE 2

Il n'y a pas de connexion organique connu qu'il puisse faire comprendre comment 2 idée semblable peuvent s’appeler l'une l'autre par le seul fait de leur ressemblance

C'est pourquoi toute psychologie qui voit dans la mémoire un fait purement biologique ne peut expliquer les associations par ressemblance quand les ramenant aux associations par continuité c'est à dire en  déniant toute réalité

Tout prouve que la vie psychique est un cours continue de représentations et qu'on ne peut jamais dire où l'une commence et où l'autre fini ,elles se pénètrent mutuellement

mais ces distinctions sont notre œuvre ; c'est nous qui les introduisons dans le continuum psychique bien loin de les y trouver = c'est l'abstraction

Pourquoi n'y a-t-il pas un mécanisme mental qui rendrait compte de ces associations sans faire intervenir aucune vertu occulte ni aucune entité scolastique

Il existe dès à présent un rapport de connexité entre l'image d'une maison tel que là conserve ma mémoire et certains mouvements et puisque ces mouvements sont les mêmes qui accompagnent la sensation actuelle de ce même objet par un lien se trouve établie entre ma perception présente et ma perception passé

suscité par la première il suscite à nouveau la 2nde la réveillant car c'est un fait connu qu'en imprimant encore une attitude déterminée on provoque les idées émotions correspondantes

Toute représentation au moment où elle se produit affectent outre les organes l'esprit lui-même c'est-à-dire les représentations présentes et passées qui le constituent ,C'est du moins on admet avec nous que les représentations passées subsiste en nous

que maintenant elle me soit présenté à nouveau elle agira de la même façon sur ces éléments qui dure toujours sauf les modifications que le temps peut leur avoir fait subir

La mémoire n’est pas un fait purement physique que les représentations comme telles sont susceptibles de conserver

Les principales découvertes de la science consistent précisément à apercevoir des analogies ignorées entre des idées connues de tout le monde : accorder que les représentations ne sont pas des phénomènes mais réels doués de propriétés spécifiques et qui se comportent de façon différentes les une des autres , suivant qu’ils ont ou non des propriétés communes  

Pas d’ impossibilité a ce que la ressemblance soit une cause d’association car souvent argué de cette impossibilité pour réduire la similarité a la contiguïté et la mémoire mentale à la mémoire physique , il importait de faire entrevoir que la difficulté n’a rien d’insoluble

CHAPITRE 3 :

Les représentations sont susceptibles de persister en qualité de représentations mais l’existence d’associations d’idées par ressemblance démontre directement cette persistance

De quel droit limite-t-on la vie psychique ?

Il nous est donné de constater que certains Phénomènes ne peuvent être causée que par des représentations c'est-à-dire s'ils constituent les signes extérieurs de la vie représentative et si d'autre part les représentations qui se révèlent ainsi sont ignorés du sujet en qui elles se produisent nous dirons qu'il peut y avoir des états psychiques sans conscience quelque peine que l'imagination puisse avoir à se les  figurer

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