Tumeurs Cerebrales
Rapports de Stage : Tumeurs Cerebrales. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 3 Mai 2013 • 548 Mots (3 Pages) • 878 Vues
TUMEURS CEREBRALES
I. DEFINITION
On appelle tumeur cérébrale toute tumeur située à l’intérieur de la boite cranienne comme une tumeur du cervelet et même une tumeur hypophysaire .
La plupart de ces tumeur sont bénignes mais leur pronostic peut être défavorable quand la tumeur est inaccessible au traitement . Les tumeurs malignes sont rares à l’exception des métastases cérébrales.
Ces tumeurs déclenchent 3 types de manifestations :
Syndrome d’hypertension intracranienne
Signes déficitaires qui oriente vers la localisation de la tumeur
Signes irritatifs qui ont une valeur localisatrice
Au début de la pathologie, un seul type de symptôme apparaît, et en cours d’évolution les trois types de symptômes s’associent.
II. LES DIFFERENTES TUMEURS
On les classe selon deux critères :
origine histologique
localisation
Pour le critère histologique, on utilise la différenciation classique : Tumeur bénigne ; tumeur maligne
Il existe en plus des tumeurs mal situées : Tumeur semi bénigne ou semi maligne qui impose des stades numérotées pour apprécier le pronostic (glyoblastome, astrocytome).
Pour les localisations, on identifie les tumeurs :
extra-cérébrales (méningiome)
de la fosse postérieure
du tronc cérébral
hypophysaire
III. TABLEAU CLINIQUE
On distingue deux tableaux :
Forme débutante
Forme confirmée
A. FORME DEBUTANTE
Les circonstances de découverte sont très diverses :
Syndrome d’hypertension intra-cranienne à minima : céphalées sans vomissement qui sont intenses et répétés
Survenue de signes irritatifs : manifestations épileptiques souvent localisées
Episode déficitaires à type d’hémiplégie ou d’hémiparésie qui évoque en premier lieu un AVC
Troubles psychiques comme un défaut d’attention ou une tendance à la somnolence. A l’inverse, il peut s’agir de troubles caractériels avec aggressivité
Dans certains cas, les troubles ont même une valeur localisatrice : Syndrome frontal avec euphorie, tendance à la désinhibition avec délit sexuel . Tendance à la pitrerie et aux calembours (jeux de mots vaseux).
Troubles sensoriels en particulier la baisse de l’acuité visuelle, altération du champ visuel et diplopie. Il peut s’agir aussi d’anosmie (perte d’odorat) et de surdité (neurinome de l ‘accoustique)
Signes endocriniens témoignant d’une
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