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Psychologie de la personnalité cas

Analyse sectorielle : Psychologie de la personnalité cas. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  24 Mai 2016  •  Analyse sectorielle  •  2 453 Mots (10 Pages)  •  1 435 Vues

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Travail noté 2

En psychologie de la personnalité, tout le monde a une opinion. Beaucoup de psychologues et de penseurs ont créés leurs propres théories ou approche scientifique pour répondre à des questions qu'il nous arrive parfois de nous poser. Certaines théorie et approches ont fait leurs marques plus que d'autre, et c'est de deux d'entre elle que je vais parler. Il s'agit de l'approche psychodynamique de Freud et de l'approche phénoménologique de Rogers.

L'approche psychodynamique de Freud se penche sur la façon dont l’individu construit sa réalité et sur les expériences qui l'on poussée à voir le monde comme il le voit. Les thérapeutes qui travail avec cette approche veulent comprendre et faire comprendre comment la vie des patients est telle qu'elle est, et comment leur personnalité a été construite de façon consciente et inconsciente.

L'approche phénoménologie de Rogers est bien différentes de celle de Freud. Son approche s'intéresse aux perception de l'individu par rapport à lui-même, le concept de soi, et du monde qui l'entoure. Selon Carl Rogers, chaque individu a sa propre perception des choses et ces perceptions peuvent être autant consciente qu'inconsciente, mais selon lui, les perceptions consciente seraient les plus importantes. Cette théorie est principalement fondé sur la personne.

J'ai choisi c'est deux approches théoriques parce qu'elle sont très différente l'une de l'autre. Avant même d'avoir entamé mes lectures, je savais que l'approche psychodynamique de Freud traitait de inconscient. C'est un élément de la psychologie que j'ai toujours trouvé intéressant. Je pense qu'effectivement beaucoup de nos actes, de nos sentiments et des autres éléments qui forme notre personnalité  sont influencé autant positivement que négativement par notre inconscient et par une perseption du monde extérieur. Je suis persuadé la psychanalyse m'aidera pour la continuité de ce cours car c'est une approche bien élaboré qui s'adapte bien à l'évaluation de tout type de personnalité. D'un autre coté, la second approche théorique que j'ai choisi est celle phénoménologique de Carl Rogers. Au départ je n'étais pas certaine de vouloir choisir cette approche, plusieurs autres m'intéressaient mais après leurs lecture j'ai décidé d'y aller avec celle ci. Je trouvais que le fait qu'elle soit si différentes de l'approche de Freud était un point important qui me permettrait de voir certaines situations sous un autre angle. L'approche phénoménologique est perçus de façon positive elle met l'accent sur l'aspect conscient des individus et sur les perceptions qu'il a de lui même. Elle permet aux personnes de ce fixer des but et de réfléchir à ce qu'elles souhaiteraient être. (le soi idéal).  Je trouvais donc pertinent de pouvoir parler de l'approche psychodynamique, qui ce rapporte à l'inconscient et qui cherche les causes de certains troubles dans des éléments du passé afin de régler les situation, et de l'approche phénoménologique qui ce concentre d'avantage sur l'aspect conscient de la personne et qui cherche des solutions dans les buts et les désirs de l'individu.

L'approche psychodynamique de Freud, appelé la psychanalyse, elle une théorie de la personnalité. Le concept des niveaux de conscience  est l'aspect le plus important de la théorie psychanalytique. L'inconscient serait le niveau de conscience qui a le plus grand impact dans la vie psychique. Il désigne    les pensées, les expériences et les émotions dont nous ne sommes pas conscient. La théorie inclut également le conscient, qui ce caractérise par nos pensées, nos expériences et nos sentiments dont on a conscience. Il y a également le préconscient, il s'agit des pensées, des expériences et des sentiments que nous avons oubliés, mais qui sont facilement remémorable. Le but premier de la psychanalyse est d’analyser ce qui motive le comportement des êtres humains. Effectivement, selon Freud, beaucoup de nos pensées et de nos actes peuvent être influencer par notre inconscient. On peut entre entre le constater lors de lapsus, d'actes manqués, de perception erronées ou d'accidents et de conduites inhabituelles. Les psychanalystes pensent que l’inconscient a un grand rôle à jouer dans ces actes.

Freud a par la suite élaboré un modèle structurel plus précis pour définir la psychanalyse. Il s'agit des concepts du ça, du moi et du surmoi. D'après cette théorie, le ça représenterait la sources de toute l'énergie  ainsi que les pulsions de vie et les pulsions de mort. En d'autres mots, elles sont décrites comme étant des pulsions sexuelle et des pulsions agressives. Le surmoi est pour sa part décrit comme étant la partie de la personnalité qui exprime les idéaux et les valeur morales. Selon cette structure psychique, nous nous comporterions selon les normes établies par la société. Finalement, il y a le moi, qui ce trouve à être la partie de la personnalité qui tente de satisfaire ses pulsions conformément à la réalité et aux valeurs morales de l'individu. Il agit selon le principe de réalité. Le but de ce principe est de satisfaire ses pulsion en attendant le moment propice pour que les conséquences négatives qui pourraient en découler soient le plus atténué possible.

Le processus, aussi appelé la dynamique, ce rapporte à la façon dont l'énergie est exprimé, bloqué et transformé. La source d'énergie est décrite comme étant les pulsions. Avec son approche, Freud  a dénombré plusieurs types de pulsion, on y retrouve les sexuelles, qui désigne les pulsions orientées sur la satisfaction ou le plaisir sexuels; les pulsions de vie, qui sont les sources d'énergie axées sur l’autoconservation et la satisfaction sexuelle; les pulsions de mort qui sont des pulsions orientées vers la mort ou le retour à un état inorganique; et il y a les pulsions agressives qui sont axées sur le désir de causer un dommage, d'infliger des blessures corporelles ou de détruire.

Quand un individu laisse aller ses pulsions ou les refoules, cela créer de l'angoisse. L’angoisse est un concept que Freud connaît bien. Il croit que comme l'angoisse est un sentiment les plus pénible à supporter, l'être humaines utilise donc des mécanisme de défense pour pouvoir s'en débarrasser et ce déculpabiliser. En premier lieu, il y a la projection, l'individu attribue alors aux autres ses propres pulsions ou désirs inacceptable. Ensuite, le déni. C'est un mécanisme par lequel on refuse de reconnaître une réalité interne ou externe pénible. L'isolation, un autre mécanisme de défense par lequel l'émotion est isolé d'un souvenir ou d'un désir, on peut donc pensé à l'élément angoissant sans pour autant en ressentir une émotion particulière. Il y a aussi l'annulation rétroactive, il s'agit d'annuler magiquement un acte ou un désir associé à l'angoisse et de le remplacé par un autre. Pour sa part, la formation réactionnelle est un mécanisme qui sert à exprimer le contraire d'un désir inacceptable. Le mécanisme de défense appelé la rationalisation est employé pour donner une justification acceptable à un motif ou un acte inacceptable. Le principale mécanisme de défense primaire est appelé le refoulement, il consiste à repousser une pensée, une idée, ou un désir hors du champ de la conscience. Pour finir, il y a la sublimation, il sert à remplacer la première expression de la pulsion à un objet culturel de plus haut niveau.

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