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Les Determinants Genetiques De La Personnalite-cas Des Jumeaux

Mémoire : Les Determinants Genetiques De La Personnalite-cas Des Jumeaux. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  7 Mai 2013  •  1 020 Mots (5 Pages)  •  1 149 Vues

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2. Les déterminants génétiques.

L’idée que les caractéristiques physiques et mentales puissent être sujettes a une transmission héréditaires n’est pas nouvelle on la trouve implicitement dans de très vieilles pratiquent d’élevages des animaux et des plantes. Les travaux qu’à mené Mendel ont permis a ces déterminants d’avoir une connotation scientifique car il a découvert deux lois fondamentales en génétique. La première, la loi de la ségrégation, signifie que les caractères unis dans l’organisme se disjoignent dans les éléments reproducteurs et réapparaissent dans la descendance. La seconde, la loi de dominance signifie que si deux caractères opposés en même temps l’un des deux éclipse totalement l’autre et son influence est seule à s’exercer.

Les termes de Chromosomes, de génotype et de phénotype ont déjà fait leur apparition dans les recherches qui ont été effectué la fin du XIXe et au début du XXe Siècle. Cependant, la structure interne des gènes : acide désoxyribonucléique (ADN) ont été découverts par Watson et Crick (1953). Cette molécule est notre code génétique, l’alphabet de l’organisme et elle est constitué de deux brins distincts liés entre eux par des paires de quatre bases : adénine (A), thymine (T), guanine (G) et cytosine (C). Par suite des propriétés structurelles de ces bases, l’adénine s’apparie toujours avec la thymine et la guanine avec la cytosine. L’immense diversité des caractéristiques physiques et comportementales prend naissance a partir de cet alphabet très élémentaire.

La génétique a de nombreuses implications dans le monde scientifique. La génétique comportementale étudie l’impact de l’hérédité sur la personnalité ainsi que sur le reste du comportement, elle a tenté d’identifier les gènes c’est-à-dire les localisations des chromosomes responsables des comportements ainsi que de comprendre le cheminement physiologique entre l’effet primaire d’un gène et sa manifestation comportementale (Roubertoux et al., 1990). A partir de cette discipline nous allons passer en revue des méthodes spécifiques.

2.1 La méthode des jumeaux.

La méthode qui a été de loin la plus utilisée en génétique comportementale est celle dite des jumeaux. Elle tire profit de deux accidents de reproduction qui donne naissance a deux types de jumeaux. Le premier accident survient peu après la conception. On les appelle les jumeaux identiques, vrais jumeaux ou jumeaux monozygote (MZ). Ils peuvent présenter des différences génétiques a des mutations survenant après la division de l’œuf fécondé a un stade très précoce du développement ils présentent des différences phénotypes. Le second accident survient pendant la conception elle même, c’est le cas des jumeaux fraternels, des faux jumeaux ou jumeaux dizygote (DZ). Comme tous les descendants de même parents ils partagent en moyenne 50% de leurs gènes.

Notons que les jumeaux MZ sont une providence pour la génétique comportementale car ils ont même génome et cela permet de dire que toute différence est due à l’effet du milieu. Ils offrent une occasion identique.

Une autre méthode classique tirant profit de la particularité unique des jumeaux MZ est d’étudier l’impact de l’environnement sur l’hérédité. Il ne faut pas oublier que la valeur des résultats obtenus son sévèrement critiqués car ils ne peuvent pas être généralisés et les faux jumeaux ne sont pas tout a fait comparables aux enfants de la population générale. Nous allons relatés

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