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Névroses et refoulement comme mécanismes

Résumé : Névroses et refoulement comme mécanismes. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  1 Mai 2022  •  Résumé  •  311 Mots (2 Pages)  •  360 Vues

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Suite à ses études sur l’hystérie, Freud repère les mécanismes présents dans les somatisations hystériques. Il découvre refoulement et retour du refoulé. Ainsi, s'intéresse dans un premier temps, au névrose Pour lui, la psychose est complexe, mais il s’intéresse tout de même au cas Schreber à partir des mémoires. Il pensait que la névrose était un indice pour la psychanalyse contrairement à la psychose. Ce n’est que plus tard qu’on appliquera la psychanalyse aussi à la psychose. Il vient en France suivre les leçons de Charcot, grand aliéniste qui met en scène les hystéries. Distinction des névroses hystériques, phobiques, obsessionnelles.

La définition de la psychose (ses caractéristiques) est souvent délaissée pour une définition en extension de tous les types de psychoses (sémiologies fines). Précisément, les repères classiques utilisés pour définir le psychotique, le fou, sont insuffisants : inadaptation, gravité, absence de conscience de l’état morbide, perturbation de la capacité de communication, perte de contact avec la réalité, altérations du moi... Aucune de ces catégories ne tiennent véritablement (ex : pour la gravité, les psychoses ne sont pas toujours plus grave que les névroses). Ces symptômes peuvent aiguiller, mais pas décisifs pour poser un diagnostic. C’est pourquoi la perspective psychanalytique recherche les processus en jeu (en dialogue avec la perspective psychiatrique).

Klein considère qu’il y a des positions (pas d’étanchéité clinique de l’une à l’autre) : on peut régresser d’une phase à une autre. C’est une théorie assez souple, selon laquelle il y aurait un noyau psychotique commun à tous. Elle va insister sur la phase schizo-paranoïde car elle étudie les schizophrènes.

Le modèle théorique de Lacan sera la paranoïa : il va tirer la théorie freudienne de la psychose vers le mécanisme de la forclusion qui s’oppose au mécanisme fondamental de la névrose et de la perversion. Les structures psychotiques, on ne passe pas à une structure perverse : les catégories sont étanches.

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