L'existance du pouvoir

PREMIÈRE PARTIE : LE POUVOIR

Le pouvoir correspond à une nature sociale, c’est-à-dire, qu’il va exister dans toutes les sociétés mais il y a des limites à ses pouvoirs qui permettent de l’encadrer.

CHAPITRE 1 : L’EXISTENCE DU POUVOIR

1. LA PERMANENCE DU POUVOIR DANS LA SOCIÉTÉ

A/ LA PRÉSENCE DU POUVOIR DANS TOUT GROUPE HUMAIN

En premier lieu, il y a un constat, c’est le caractère permanent du pouvoir et est compris dans les sociétés. On peut relever ici qu’il y deux théories opposées pour certains. Le pouvoir c’est un phénomène naturel, dans la société, qui correspond à une pollution humaine de domination et, à théorie opposer, il y aurait en réalité un détournement de l’état de nature qui serait un état dans lequel les rapports serait harmonieux entre les individus et les groupes.

En deuxième lieu, il y a la question de l’origine du pouvoir. Les analyses historiques ou anthropologiques vont considérer progressivement qu’il y aurait une extension progressive du pouvoir dans les groupes en passant du groupe familial par une tribu à la cité et à l’État.

En troisième lieu, il y a la question de l’ambiguïté du pouvoir chez l’homme, c’est-à-dire, qu’il est à la fois appelé et rejeter. On a besoin du pouvoir en cas d’une difficulté et on rejette le pouvoir s’il porte atteinte à la moindre parcelle de liberté, dans le pouvoir est appelé « rejeter ».

B/ LES RAPPORTS ENTRE LE POUVOIR ET LA SOCIÉTE

Il y a dans les sociétés un pouvoir qui se manifeste et, en particulier, un pouvoir dans la société politique.

D’une part, quant au rapport entre sociétés et autorités, il y a obligatoirement une autorité qui apparait dans toute société et qui va entrainer une position de l’individu en tant que dominant ou dominé. Un individu peut être dans un groupe, dominant ou dominé, les groupes étant : la famille, le travail ou les loisirs. Une personne, généralement, dans un groupe humain dominante ou dominé, c’est-à-dire, qu’au-dessus d’elle va s’exercer un pouvoir et elle-même va dominer d’autres personnes et souvent le caractère d’un dominant ou du dominé et masquer à l’intérieur du groupe. On peut relever, enfin, l’existence de la dialectique du maitre et de l’esclave. Cela signifie que le maitre domine esclave mais qu’a certains moment, l’esclave va faire la leçon au maitre. C’est l’exemple de Cervitient dans certaines pièces de Molière, ainsi dans donjuant domine son vallé qui s’appelle Sgrarelle on peut parler aussi de jacques le pataniste ou autres pièces de Molière.

D’autre part, il faut relever l’existence d’un rapport entre société et pouvoir politique. Il y a ici une dissociation entre gouvernant et gouverné, et les gouvernants ont le monopole de la sécurité : on dit parfois qu’il possède la violence légitime. Il existe, entre la société et le pouvoir politique, des interactions réciproque. Cela signifie d’un côté, que la société agit de manière légale sur le pouvoir avec des élections et parfois de manière illégale avec des grèves interdites ou des manifestations interdites et d’un autre côté, le pouvoir agit sur la société,

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