Exercice Sigmund Freud et Joseph Breuer, Etudes sur l’hystérie
Analyse sectorielle : Exercice Sigmund Freud et Joseph Breuer, Etudes sur l’hystérie. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar gassionchampion • 9 Novembre 2018 • Analyse sectorielle • 548 Mots (3 Pages) • 760 Vues
Sigmund Freud et Joseph Breuer, Etudes sur l’hystérie (1895)
Page 19-20
Q°1 : Sigmund Freud est un médecin autrichien spécialisé dans la psychanalyse, sa théorie est que l’anorexie est dû à un trouble psychique.
La patiente mentionnée par l’auteur serait devenu anorexique à cause d’un trouble psychique. Lors de son enfance, certains souvenirs écoeurants reste d’actualité au niveau affectif.
Est devenu anorexique en raison du dégoût qu’elle a pour la nourriture ainsi le lien entre le corps et l’esprit est formalisé par l’inconscient son corps ne mange pas car toute nourriture est lié à ses souvenirs d’enfance.
On peut voir le lien qu’il y a entre le corps et esprit « il apparait que la relation d'un patient est déterminée par son propre vécu »
Même si le plat en lui même est apprécié par la malade, son souvenir de dégout ne désamplifie pas. On peut voir que l’esprit est plus fort que le corps sur ce point
Q°2 : Par l’expression « obligée de la réprimer au lieu de s’en débarrasser par réaction » je comprends que la malade c’est renfermée sur elle même et n’osait pas exprimer ses sentiments (même avec ces frères), donc n’a pas pu dégager ses dégoûts de repas de famille qui fait qu’elle a grandit avec.
Le lien entre l’anorexie et la phobie, est la peur de prendre du poids, cependant en passant de la peur de prendre du poids au plaisir d'en perdre, on quitte le registre de la phobie pour rejoindre celui de l'addiction.
Danniel Pennac, Journal d’un corps
Pages 21-23
Q°1 : Le sentiment d’éloignement que le narrateur éprouve à l’égard de son corps est le fait qu’il s’exprime à la troisième personne du singulier, seulement pour parler de son corps comme s’il était deux personnes différentes et qu’il n’arrivait pas à s’associer avec son corps
Citations :
« JE ME SUIS REGARDÉ ! », « c’est comme si je me voyais pour la première fois », « ce n’était pas vraiment moi à l’intérieur », « c’était mon corps mais ce n’était pas moi », « Tu es moi ? C’est toi, moi ? Moi, c’est toi ? C’est nous? », « Je me demandais depuis combien de temps il était là »
« Papa disait : Tout objet est d’abord objet d’intérêt.donc mon corps est un objectif d’intérêt. »
Q°2 : Selon moi, à l’adolescence on se cherche un peu pour tout les domaines savoir ce qu’on ressens, essayer de comprendre comment on pense, qu’elle genre de personne on souhaite être ou faire paraître, on cherche également notre personnalité.
Le narrateur se compare à « l’Écorché » (une figure humaine dont la peau a été enlevé, afin de faire apparaitre les muscles, les veines et les articulations), et souhaite le prendre en tant que modèle car il se trouve être « un enfant mou, blanc, à la poitrine creuse », « nous avons pourtant un point commun : nous sommes transparents tout les deux. On voit nos veines, on peut compter nos os, mais aucuns de mes muscles à moi est visible ».
On peut voir qu’il a reprit confiance en lui lors de ce passage « Je vais te faire des muscles, je vais fortifier tes nerfs, je vais m’occuper de toi tous les jours, je vais m’intéresser à tout ce que tu ressens »
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