Psychopathologie : la clinique de la névrose hystérie
Cours : Psychopathologie : la clinique de la névrose hystérie. Recherche parmi 302 000+ dissertationsPar nini27. • 7 Avril 2025 • Cours • 937 Mots (4 Pages) • 16 Vues
CM1 : Psychopathologie
La clinique de la névrose hystérie
La névrose comme entité clinique a été très tôt mise en évidence par la psychiatrie clinique. AU départ la névrose n’était pas une structure en tant que tel, il a fallu des travaux pour définir que qu’est une névrose, ce qui la caractérise c’est le manque. La structure de la névrose témoigne de trois types de fonctionnement psychique. Dans la psychose c’est le manque du manque, il n’y a pas de manque, c’est la jouissance. La structure de la perversion, c’est le démentie à distinguer de la dénégation. Aujourd’hui se pose la question de la 4ème structure. L’approche en psychopatho n’est pas comportementale.
LA NEVROSE HYSTERIE :
L’hystérie a été considéré comme une maladie, des migrations interne des utérus. Il fallait passait par l’ablation de l’utérus, pour plusieurs femmes qui était considéré comme hystérique. A partir du 17 -18 eme siècle, bcp considéré que c’était une maladie hystérique, certains scientifiques. Il faut attendre Jean Martin Charcot, médecin psychiatre, à la fin du 19 ème siècle pour considéré l’hystérie comme une maladie psychique. Charcot, conçoit le trouble hystérique comme une lésion dynamique fonctionnel (C’est une idée qu’il y a une pensée qui s’isole dans le cortex cérébral, cette idée devient donc pathogène, et va produire une lésion dynamique dans le corps. Ce sont des sujet qui se sont autosuggéré qu’il se sont paralysé. L’hypothèse de Charcot c’est que le symptôme hystérique est une autosuggestion, c’est dut à deux causes, le sujet à rencontrer un traumatisme ou l’hypnose en est la cause. L’hystérie est traumatique. L’hypothèse de Charcot a été remise en cause. Les sujet hystérique ne souffre pas de maladie organique, il simule pas, ce sont pas que des femmes, l’hystérie se libère de l’hystérie qui était uniquement féminin. Il faut attendre Pierre Janette et Simon, pour que l’hystérie n’a pas de déterminisme, c’est une pathologie organique qui a ses propres voix. Janet va élaborer une théorie. Il faut attendre Freud, pour tenter d’expliquer ce que sait l’hystérie et le symptôme hystérique, c’est le refoulement, elle continue d’exercer son pouvoir en utilisant la création du symptôme.
Au champ d’hystérie on distingue la petite hystérie de la grande hystérie, ce sont symptome corporel sensoriel, psychique, petite hystérie, pas de symptome corporel
Petite hystérie : Les paralysie, les anestésye, et hypertésye, les contrature et les spams, les troubles des organes les sens, algies, les états dépressif, les causes asymptomatique,
Les paralysie : d’un mouvement ou d’un groupe de mouvement (marche, parole…), paralysie fonctionnel ou systématique, paralysie localisé qui consiste des paralysie d’un memebre ou d’un secteur de membre. Comme pour l’ensemble ds symtomes dans ‘lhytérie il n’y a pas de cause organique assez paralysant. Au fond dans l’hytérie se comporte comme ci l’anatomie n’existait, comme si il n’avait nul connsaissance, L’hytérie prend les organes dans le sens vulgaire, la jambe est la jambe jusqu’à l’insertion de la hanche. Il remarque, la représentation qu’à le sujet que l’organe. Dans l’hystérie
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