Économie Et Marché Financier
Note de Recherches : Économie Et Marché Financier. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 9 Février 2014 • 5 335 Mots (22 Pages) • 740 Vues
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Économie et marché financier
Introduction :
L’ouvrage a pour but l’explication des conséquences de la crise afin de pouvoir anticiper les effets possible des troubles au niveau non seulement des marchés financiers et l’économie mais aussi de la société. D’ailleurs dans le cas d’une crise, c’est tous les agents qui se comportent d’une façon à agir l’organisation de la société, tenant en compte que cette crise a été passé d’un ensemble de symptômes faisant l’inciter, bien que le faite de vivre la crise et d’en apprendre quelques leçon fait que chaque crise n’est semblable La peur de l’incertitude est un facteur important dans l’accélération des phénomènes dans la société, peur et désire deux conceptions qui peuvent coexister mais la crise a fait revenir la peur après la guerre froide. En ce qui se suit on verra, les causes et les conséquences possibles de la crise les décisions prises, et enfin les prévisions faites sur des études et des analyses bien précises.
Les causes profondes de la crise :
Le déni, la résistance, la dépression puis l’acceptation et enfin l’intégration sont les fameuses cinq phases de l’acceptation du changement, se situant entre la troisième et la quatrième phase la crise doit impérativement converger vers la dernière, qui est l’intégration dans le changement. Premier chapitre : une nouvelle crise du capitalisme : Deux raisons se voient principales au déclenchement de la crise, la recherche aux profits à tout prix et la baisse continue des salaires à l’avantage des profits dans le partage de la valeur ajoutée 1° un capitalisme malade de la peste une soif de profits jamais assouvie : Problème de l’aléa moral : L’aléa moral est concept natif de la finance comportementale qui prend en considération l’existence d’une asymétrie d’information et de risque entre deux contractants Prendre plus de risques et savoir les domestiquer assurera plus de gains, des gains pouvant garantir un bien être éternel, cela a été irrésistible et a conduit à des comportements irresponsables notamment dans les secteurs financiers et technologiques, il faut noter que dés les années 1980, les dirigeants en en tirant avantages du système stock-options sans prise de risque, ont contribué au déclenchement de la crise, le système capitaliste s’est donc retranché due à son excédentaire de générosité . Aveuglement et court termisme : C’est en quelque sorte un conflit d’intérêts, ne plus vouloir tirer de profit qu’à court terme, ce fait dirige la politique et les décisions des entreprises à laisser la résolution des problèmes au plus tard, ce qui crée de nombreux obstacles sociaux financiers guidant à la crise dans l’horizon des années futures. 2° Le partage salaire/ profit :
En dépit de l’augmentation perçue au niveau des profits réalisés, une diminution remarquable a touché les salaires, cette inégalité a créé des écarts des classes moyennes et inférieures dans le partage des richesses, en revanche de cette baisse, la consommation des ménages a connu une augmentation ! Ce n’est pas de la magie,
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ce n’est que la politique des crédits qui a soutenu la consommation pour acheter la paix sociale. Des
déséquilibres financiers et sociaux majeurs ont été vécus, en conséquent de cette politique.
Deuxième chapitre : le marché immobilier américain et la crise des subprime : un simple déclencheur :
La crise subprime est la crise du marché immobilier, du à la spéculation, ce n’est qu’un déclencheur de la crise
1° le marché des mortgages :
La politique des marchés hypothécaire américain est d’une souplesse permettant de renégocier les annuités et
même la capacité d’emprunt lors du changement du prix au niveau du marché, l’immobilier américain a connu
ainsi une bulle spéculative, la véritable inquiétude été lorsque la valeur de la dette dépassait celle du bien après
la chute des immobiliers.
2° Les 1° conséquences économiques :
C’est l’accord des prêts immobiliers à la population américaine souffrant d’une situation instable et donc à la
population la plus risquée, cela nécessite normalement la prises en mesure d’une grande méfiance et des
contraintes, mais ce n’était pas le cas des banquiers en l’an 2000 lorsque la diminution du taux d’intérêt a attiré
de nombreux capitaux vers le marché immobilier, ainsi la bulle immobilière a entrainé l’explosion du secteur
subprime mais aussi un véritable désastre humain et financier tout ça est due à l’irresponsabilité et de la non
maitrise du risque
Troisième chapitre : une politique monétaire laxiste et endettement massif :
1° Une politique monétaire laxiste :
La bulle financière a été un résultat de la politique monétaire laxiste et libérale de la réserve fédérale parce que
c’est la banque centrale qui doit contrôler et empêcher les agents économiques à tirer de profits des écarts
excessifs.
2° Une économie et un système financier abusant de l’effet de levier :
Dans des conditions favorables, les banques n’hésitent pas à prendre plus de risque de façon à maintenir et à
augmenter leurs profits. Les banques et les intervenants financiers augmentaient constamment leur levier pour
conserver leurs profits, dans ces conditions l’effet de levier des banques d’investissement a régulièrement
explosé.
A ce niveau de risque le déclenchement d’une telle crise suite à la crise des subprimes peut se faire comprendre,
toute banque due à ses pertes, se méfie des autres banques concurrentes qui refusent même de se prêter entre
eux
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