Terrorisme et anti-terrorisme
TD : Terrorisme et anti-terrorisme. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar cherry-pie • 28 Novembre 2017 • TD • 2 566 Mots (11 Pages) • 702 Vues
En quoi peut on dire que le terrorisme et l'anti-terrorisme évoluent ensembles par l'utilisations de violences multiples ?
Introduction :
Le 1er novembre 2017, la loi anti-terroriste est entré en vigueur en France, mettant fin à deux ans d'état d'urgence. Cette loi renforce la sécurité intérieur en invoquant la possibilité de fermer de slieux de culte, mais aussi le renforcement des perquisitions ainsi que l'installation de périmètre de protection sur des lieux ou des événements. Cette loi illustre les débats sur la manière de lutter contre le terrorisme. En effet, l'accélération de la mondialisation et le développement des technologies ont augmentés l’existence des groupuscules terroristes, devenus compliqué à combattre car le réseau se construit à travers les technologie comme internet. De plus, le terrrorisme s'internationalise et se joue des frontières alors qu'il avait tendance après la 2nd GM à rester dans les états et à être utiliser dans les guérillas. La Guerre Froide donne un nouveau sens au terrorisme. Pour les États-Unis, l'URSS est le fil rouge du terrorisme et entraîne les autre pays avec lui. Les années 80 et 90 vont elles développée l'idée d'un terrorisme venu des pays du Sud avec la capacité d'affaiblir les pays occidentaux. Ce terrorisme est le souvent le résultat de rapport conflictuelles entre anciens colonisés et anciens colonisateurs qui donne une haine envers les pays occidentaux. En illustre la création d'Al Qaida en ,,, Le point culminant de ce terrorisme est la tuerie de masse du 11 septembre mettant les Etats-Unis dans un contexte de faiblesse. Le terrorisme a plusieurs définitions car c'est un sujet débat.
I- Violence physique
a- Une violence physique imprévisible
force du terrorisme est de commettre des actes de barbarie en utilisant les codes de la barbarir à l'ancienne (égorgement et de savoir s'adapter aux technologies nouvelles (bombe) tout en laissant pensée que leurs actes peuvent frapper partout, toutes classes sociales à n'importe quelle moment. Ces violences instituent une peur au cœurs des populations en jouant sur l'utilisation de l'imaginaire barbare et des clichés que les populations ont en tête. L’autre but est idéologique : tuer au hasard signifie que, selon le mot d’un leader du groupe palestinien Septembre Noir, « personne n’est neutre, personne n’est innocent », chacun doit choisir son camp sur le mode : « pour ou contre nous ». Il s’agit en effet d’une violence froide, exercée sans passion, qui ne s’accompagne jamais, ou très rarement, d’atrocités ou de cruautés, notamment en raison de la distance physique qui sépare l’auteur de sa victime. C’est aussi une violence relativement économe en vies humaines (même si c’est terrible de dire cela) qui, le plus souvent, ne saurait être rangée parmi les massacres de masse, du moins jusqu’aux attentats du 11 septembre qui, de ce point de vue, marquent une véritable rupture. Bien que le plus grand flou entoure et la définition et la quantification du phénomène, on estime généralement que le terrorisme aurait fait environ 3 000 victimes de 1968 à 1984, soit en moyenne 200 victimes par an. Une douzaine d’attentats aurait fait plus de 100 victimes depuis les années 1970. La catégorie renvoie par conséquent aux attentats dits indiscriminés, le plus souvent très meurtriers car réalisés dans un lieu public dans l’objectif de faire le maximum de victimes possible : explosions d’avion en vol (attentat de Lockerbie en décembre 1988 qui tua 260 passagers, explosion d’un dc 10 d’uta en septembre 1989 qui fit 170 victimes, etc.) ; déflagrations dans les transports publics (84 morts dans l’attentat d’extrême droite à la gare de Bologne en 1980, série d’attentats à Paris en 1986 et 1995) ; voitures piégées dans les rues de Belfast, de Madrid ou au Liban. Cette violence physique n'est que l’œuvre final d'un réseau hiérarchisé et organisé. En témoigne l'attentat du 13 novembre ou il a été découvert l'existence d'une machinerie orchestré depuis pas loin de 4 mois avec un réseau qui part de syrie avec un éclaireur qui était de faire du repérage pour facilité l'accès du commando de Bruxelles à Paris. Ensuite, le seul survivant de commando Salah Abdelslam a quand à lui été un logistien clé car il tenait un bar à Moleenbeck ou tout s'est planifié. On découvre également un réseau de faussaires qui a crée plus d'une 20 de papiers d'identité pour louer des voitures, des logements. Cette mission de trouver des locations des munition fut attribué aux frères El Bakhroui Les financements eux, encore opaques montre l'intervention d'hommes situé en Angleterre qui furent condamné là bas. Il y encore une quantité de taches et d'hommes qui y ont participé mais tout cela révèle l’efficacité d'une machine bien huilé aux taches bien distincts.
b- L'adaptation des forces traditionnelles
1- Recours au hard power
On observe aujourd'hui une remise en cause de la légitimation des forces armées face au terrorisme. En effet, elle est remise en cause pour ces conséquences car les décision d'actions militaires sont faites sur l'urgence et ont des répercussions sur le peuple.
→ La coalition internationale compte au total une soixantaine de pays alliés aux rôles divers. Différents groupes de pays se répartissent des missions militaires, diplomatiques ou encore humanitaires. En deux ans, la coalition aurait mené 14 000 frappes grâce à la centaine d’avions mobilisés dans les différentes bases de la région, selon Brett McGurk, l'émissaire spécial du président américain Barack Obama auprès de la coalition. Ces bombardements et raids sont décidés en fonction des avancées sur le terrain d’alliés au sol, comme les forces irakiennes et kurdes.
Près de 80% des frappes sont opérées par les Etats-Unis. L’armée américaine dispose d’un porte-avion, de 3 500 soldats en Irak et 200 agents des forces spéciales. Le coût global de la mission «Inherent Resolve» (Détermination absolue) depuis 2014 est évalué à 6,5 milliards de dollars, soit 11,4 millions de dollars par jour.
Les autres principaux pays auteurs de frappes en Syrie et en Irak sont la France (environ 5%), la Grande-Bretagne, le Canada, l’Australie, la Belgique et la Jordanie. La France compte actuellement un millier de militaires dans la région de la Méditerrannée orientale. L'armée française a intensifié son action, baptisée «Opération Chammal», après les attentats qui ont tué 130 personnes à Paris le 13 novembre 2015. Elle a doublé sa force de frappe avec l’envoi du porte-avions Charles-de-Gaulle. La groupement aéro-naval «Arromanches2», composé de 2600 marins, a été engagé au large de la Syrie de novembre 2015 à mars 2016. Durant cette période, la France a réalisé «102 frappes aériennes contre Daech en Irak et en Syrie». L'opération Chammal a coûté au moins 235 millions d'euros en 2015, sur un total de 1,12 milliard consacré par l'Etat français aux opérations extérieures (opex). Plusieurs pays de la coalition participent aux opérations militaires en apportant leur moyens logistiques. L’Allemagne a prévu d’envoyer 1200 militaires et des avions de reconnaissance en Syrie à partir de 2016. L’Italie a déployé 450 hommes près de Mossoul et joue un rôle-clé dans la surveillance de la Libye.
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