Science politique, fiche critique

                 UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL

« INTRODUCTION », DANS B. BADIE ET M.-C. SMOUTS, LE RETOURNEMENT DU MONDE, PARIS, PRESSES DE LA FONDATION NATIOANALE DES SCIENCES POLITIQUES, 1992

FICHE DE LECTURE

PRÉSENTÉ À L’UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL

COMME EXIGENCE DU COURS POL 1400-10 INTRODUCTION AU RELATION INTERNATIONAL

24/11/2016

« INTRODUCTION », DANS B. BADIE ET M.-C. SMOUTS, LE RETOURNEMENT DU MONDE, PARIS, PRESSES DE LA FONDATION NATIOANALE DES SCIENCES POLITIQUES, 1992

Le but des auteurs et de nous montrer que l’État-nation perd son statut dans le système international par l’entrée de nouveaux acteurs sur le milieu international qui chamboule tous l’environnement théorique définit au par avant, ce qui va engendrer que les deux auteurs vont remettre en doute la théorie réaliste et néo-réaliste des relations internationales.

La thèse soutenue par les deux acteurs est lié au faite que l’État-nation est en crise ce qui entraine également la remise en question du système international. On ne reconnait plus L’État-nation comme seule cause à la société internationale car l’espace international est relier à l’apparition d’un phénomène de nouveaux acteurs (organisations non gouvernementales, multinationales, flux de personnes ou de population, flux culturelle) qui viennent changer l’ordre des choses environnemental (du type ouverture des frontières, source de dynamisme qui apporte un accroissement des flux transnationaux).

Les principaux arguments :  

La première argumentation de l’auteur repose sur le phénomène majeur de la crise de l’État-nation les deux acteurs vont remette en cause ici le concept de l’État nation comme étant une unité de base du système international en démontrant en réalité que les relations entre États souverains n’ont jamais été une norme absolue dans l’histoire des relations internationales.la société n’est plus qu’une société inter-étatique car dans le passer l’ordre international était entièrement mener par l’intervention volontaire des États. Mais à présent l’état rencontre des difficultés à être qualifier comme une composante exclusive et souveraine du système international.la notion de souveraineté classique des États est également remisent en cause par la constitution de régimes internationaux.  Mais alors Le rôle et le statut de l’État serait de percevoir ce derniers comme Étant l’une des composantes du système international car malgré tous il demeure l’acteur élémentaire du mouvement international. Bien entendu l’apparition de nouveaux acteurs vient compléter la composante du système mondial. Les nouveaux acteurs sont essentiellement « les entreprises multinationales, les églises, des groupes de pressions transnationaux, des satellites de communications, étudiants d’Afriques ou d’Asie, des consommateurs de produits importer » (réf. livre p12). Les relations internationales vont se développer par la modernisation des moyens de communications et de l’information.              

La deuxième argumentation repose elle principalement comme nous l’avons démontré dans la première argumentation qui reconnait que c’est l’état le fondateur du système mondial. Pour comprendre les transformations du système internationale faut d’abord faut connaitre ces origines enfin de mieux pré-visualiser les modifications qui vont lui être apporté. Redéfinition nécessaires enfin de mieux intégrer les nouvelles données contemporaines et au contexte évolutionelle et environnemental « l’analyse de la genèse de l’État démontre que celle-ci n’est pas imputable au système international : l’ordre international moderne suit donc la construction de l’État au lieu de la précéder relève des conséquences et non des causes » (réf. Livre p13).le système international est devenu un système d’État-nation (Territorialité, souveraineté, sécurité). «Le modèle étatique renvoie-t-il à un processus d’individualisation des rapports sociaux »  on peut constater que les individus eux-mêmes passent de moins en moins par l’état pour accéder à la société international donc on peut dire que la société civile tend à se substituer à celle-ci. Individualisation des rapports sociaux qui crée des relations de citoyenneté, créant des situations d’allégeance directe et prioritaire du sujet à l’État. (Réf. livre p 14).la reconstruction communautaire s’effectue principalement en Afrique, en Asie, et même en Amérique latine elle entretient « des allégeances multiples et entravant le processus de construction d’un monopole par l’État et de la violence physique légitime» (Réf. livre p 14). On peut donc parler de l’universalisation de l’ordre mondial « car l’universalisation du modèle étatique se heurte-t-elle à des différences de culture » (Réf. livre p 15). Les régimes internationaux entraine une construction communautaire «la réaction de l’allégeance des individus à leur communauté naturelle d’appartenance qu’il s’agisse de la tribu, de la famille, du clan ou du village» (réf. livre p18) et mobilisation associative « tend quant à elle d’accroitre l’insertion de certaines catégories sociales dans la société civile et à démultiplier leurs engagements au sein des réseaux associatifs».    

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