Platon - La République, La dialectique de la justice
Fiche de lecture : Platon - La République, La dialectique de la justice. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Graeme Cameron • 28 Octobre 2019 • Fiche de lecture • 432 Mots (2 Pages) • 942 Vues
Platon - La République
Objet : La justice
Thèse : Platon définit sa notion de la justice en correspondant l’influence des grands vertus cardinales sur la justice dans le cité et dans l’individu. Platon définit l’injustice, l’opposer de la justice, comme une désaccord entre les trois classes de la cité et les trois parties de l’âme qui empêche chacun de accomplir leur tache.
La justice dans la cité est une des quatre vertus cardinales de Platon, Platon propose les trois autre vertus de la cité parfaite qui sont aligner avec les trois classes de la cité : la sagesse, le courage et la tempérance. Selon Platon, la sagesse est une vertu suprême de l’État reserver aux dirigeants de la cité pour maintenir la prudence dans les délibérations. Le courage d’après Platon est un vertu des guerriers, et parmi cette défense la cité sera réputé courageux. Le courage constitue aussi une preservation du jugement du << fait de maintenir le jugement, aussi bien dans les épreuves difficiles que dans les situations agréables, dans les désires et dans les craintes, et de ne pas en déroger>>(231). Platon pense que la tempérance est une vertu partager par tous les citoyens, pour maitriser le production de l’inférieure sous la commande du classe supérieure de la cité. Pour Platon le cité devient juste quand chaque classe sociale arrive << à exercer ses propres activités dans la cité>>(239). L’injustice apparait quand on ne remplit pas sa fonction dans la cité , et que les taches au sein des trois classes de la cité sont renversait par une citoyen qui tente de s’élever au rang du guerrier.
Si la justice existe dans la cité lors que chaque classe remplisse la fonction qui est aligner a son position sociale, elle consistera dans l’individu quand chaque partie de l’âme assure sa fonction. Platon distingue que << les classes qui existent dans la cité sont bien les memes que celles qui existent dans l’âme de chacun pris individuellement, et qu’elles y sont présentes en nombres égal>>(251). L’individu sera sage lorsqu’il est conduit par sa propre raison et de l’element rationnel de son âme, l’individu sera courageux lorsqu’il est capable de raisonner avec certitude sans se faire influencer par les désires externes, l’individu sera finalement tempérant quand il arrive a soumettre ses désires pour rester au position sociale et accomplir les taches qu’ils sont mieux adaptée. L’individu est courageux, sage et tempérant de la meme manière que la cité, quand il arrive a harmoniser les trois principes de son âme pour effectivement se conduire, discipliner et remplir son tache au cité.
...