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Les bienfaits de manger santé

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Par   •  17 Février 2021  •  Étude de cas  •  1 370 Mots (6 Pages)  •  334 Vues

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DOSSIER DE PRESE

L’élection présidentielle au Brésil

Par

x

Travail remis à

x

Enseignant

Dans le cadre du cours x

La vie politique

Groupe x

Cégep x

Date x

TABLE DES MATIÈRES

La « formation militaire » de Bolsonaro 3

Question 2 6

MÉDIAGRAPHIE 9

MÉDIAGRAPHIE (SUITE) 10

La « formation militaire » de Bolsonaro

1. a) Quels segments de la population brésilienne appuient le candidat présidentiel Jair

Bolsonaro?

Il y a une grande diversité de segments de la population brésilienne qui appuient le candidat présidentiel Jair Bolsonaro. Les centristes vont fort probablement se ranger derrière Bolsonaro (LASALLE 12 OCTOBRE 2018). De plus, il est à 59% des intentions de vote et en tête chez les riches selon une enquête de BTG Pactual (DOS SANTOS 17 OCTOBRE 2018). Il y a aussi le segment des femmes, en particulier 32 % auprès de ces Brésiliennes issues d’un foyer à fort revenu (COURRIER INTERNATIONAL 5 OCTOBRE 2018). Aussi, selon un sondage récent, la moitié des jeunes de 16 à 24 ans déclarent qu’ils voteront pour Bolsonaro. Chez les 25-34 ans, ça irait même jusqu’à 55 %. (COURRIER INTERNATIONAL 18 OCTOBRE 2018) De plus, le milieu d’affaires brésilien est derrière Bolsonaro. (COURRIER INTERNATIONAL 18 OCTOBRE 2018), de même que les pasteurs évangéliques de haut rang, qui ont commencé à appeler ouvertement à voter pour Bolsonaro (BOURSIER 5 OCTOBRE 2018).

b) Pourquoi ces segments de la population brésilienne appuient-ils le candidat présidentiel Jair Bolsonaro?

Nous procéderons en expliquant, milieu par milieu, dans l’ordre ci-dessus pour éviter toute confusion, pourquoi ces segments de la population brésilienne appuient Bolsonaro.

Avec la manière dont nous avons interprété ce texte, il nous semble évident que les centristes sont dans l’impasse pour leur choix de candidat. « Je ne suis pas un partisan de Bolsonaro, mais Dilma et Lula ont conduit le pays à l’une des pires crises économiques et sociales de notre histoire », explique Cauê, qui se décrit comme un centriste. « Si ça devait se jouer entre Bolsonaro et Lula, je serais derrière Bolsonaro. » (…) Bolsonaro représente ironiquement « le changement », ou à tout le moins, une direction nouvelle, puisque diamétralement opposée à celle de ses prédécesseurs. (LASALLE 7 AOUT 2018) Nous pouvons clairement savoir ce que Cauê s’attend envers le prochain gouvernement, un changement de direction pour le Brésil, et à son avis, Bolsonaro offre ce changement. « Incapables d’appuyer Fernando Haddad et sa vice-présidente Manuela d’Ávila du Parti communiste, les centristes risquent fort bien de se ranger du côté de Bolsonaro, fermant les yeux sur les menaces que pose sa candidature. » (LASALLE 12 OCTOBRE 2018)

Ce n’est pas surprenant de constater que Bolsonaro soit en tête avec 59 % des intentions de vote chez les riches, et aussi chez les femmes, particulièrement le 32 % issus d’un foyer à fort revenu. Les investisseurs attendent avec angoisse et espoir de connaître le nom de l'élu qui sortira des urnes pour relancer leurs affaires. (GATINOIS 6 OCTOBRE 2018) 65 % des personnes interrogées estiment qu'il est le candidat qui représente le mieux "les riches, les entrepreneurs, les banques et les jeunes", rapporte O Globo (COURRIER INTERNATIONNAL 18 OCTOBRE 2018)

La jeunesse brésilienne est de toute évidence charmé par le candidat Jair Bolsonaro, qui est considéré comme le candidat le plus apte à s'occuper de la jeunesse. Selon un étude, la moitié des jeunes de 16 à 24 ans déclarent qu'ils voteront pour lui. Chez les 25-34 ans, ce score grimpe même à 55 %. (COURRIER INTERNATIONAL 18 OCTOBRE 2018) Selon un électeur de gauche, José Dias, « Ça serait une catastrophe si (Bolsonaro) passait » Beaucoup de jeunes votent pour lui, ils ne savent pas ce qu'a été la dictature » (RADIO-CANADA 7 OCTOBRE 2018) Par contre, ça ne semble pas être la raison des jeunes d’accorder leur confiance à Bolsonaro. Comme des millions de Brésiliens, Marcelo Gallo a perdu son emploi pendant la crise de 2015.

« L'entreprise a fait faillite. Les 28 employés ont tous été licenciés du jour au lendemain. Sans rien, sans aucune indemnité », raconte-t-il. « J'ai dû vendre ma voiture, ma moto, réduire mon abonnement Internet, demander de l'aide à mes parents... », Énumère-t-il. Le Brésil est sorti d'une récession historique en 2017, mais, pour M. Gallo, la crise est toujours là. « Cela ne s'arrangera que lorsque l'on aura un nouveau président. Ça fait plusieurs années que c'est le bazar. Il faut tout changer », assure-t-il. Sans hésiter, le trentenaire donnera, dimanche 7 octobre,

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