L’intervention humanitaire de l’Unicef dans la crise des Rohingyas :

L’intervention humanitaire de l’Unicef dans la crise des Rohingyas :

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En septembre 2017, une crise humanitaire a touché la population Rohingyas, une minorité ethnique musulmane de l’Etat d’Arakan, dans le nord-ouest de la Birmanie. Victimes d’une ségrégation ethnique, cette haine tribale a su se convertir en une répression militaire. Les Rohingyas discriminés puis persécutés et discriminés, ont dû fuir pour trouver refuge au Bangladesh, afin d’échapper aux sévices infligés au sein de l’Etat d’Arakan. D’après un rapport de l’UNICEF1 publié en 2017, près de 600 000 Rohingyas ont fui pour rejoindre le Bangladesh. Parmi ses réfugiés, plus de 60% sont des enfants. Afin de venir en aide aux Jeunes réfugiés, UNICEF - pour United Nations International Children's Emergency Fund, soit Fonds des Nations unies pour l’enfance s’est engagé pour défendre les droits des enfant Rohingyas, et leur assurer une sécurité
alimentaire, sanitaire, éducatif et ainsi leur assurer un avenir meilleur. L’UNICEF, s’est engagé au sein des camps Rohingyas afin de porter secours a la population et particulièrement aux enfants.

1. Perspicacité de l’action :

   Concernant son intervention humanitaire, L’UNICEF entreprend une action de terrain afin de de disposer in outillage de première nécessité dans les camps pour réfugiées. Ils annoncent Par exemple sur leur rapport la crise des Rohingyas L’intervention d’urgence de l’UNICEF en faveur des enfants rohingyas réfugiés au Bangladesh, ils annoncent un plan d’action en concomitance avec le gouvernement afin de lancer un plan de vaccination touchant plus de 900 000 enfants et adultes contre le choléra et ont mené une campagne de dépistage de la malnutrition auprès de 263 000 enfants.

Il en a été de même pour la protection des droits de l’enfance, où l’UNICEF a misé sur la protection juridique de la jeunesse. Ainsi selon Manuel FONTAINE, directeur des programmes d’urgence de l’UNICEF, « Les réfugiés ne retourneront pas chez eux tant qu’ils n’auront pas la garantie d’être en sécurité, d’être des citoyens à part entière, de pouvoir envoyer leurs enfants à l’école et d’avoir un avenir ».

La question la plus centrale à mes yeux dans le génocide Rohingyas, est la situation des femmes et particulièrement des jeunes filles. Malheureusement, les meurtres, les incendies volontaires mais surtout les viols sont monnaie courante au sein de ce conflit. Heureusement l’UNICEF a su agir sur ce sujet. La question des violences et des traumas touche essentiellement la question des droits de l’homme. Cependant leur action semble limitée par le gouvernement Birman qui empêchent l’acquisition de preuves mais l’UNICEF y veille afin de porter un dossier construit.

Sur le plan infrastructurel, les réfugiés ont été installés au sein de camps au Bengladesh. UNICEF a participé activement au forage de puits, l’installation de tentes et l’installation de sanitaires. De plus, les airs de jeu et d’éducation pour les enfants ont été construits, mais l’UNICEF que ces infrastructures sont malheureusement insuffisantes pour assurer un accès à tous les jeunes. Ainsi, « Plus de 262 000 enfants sont actuellement privés d’éducation ».

1. Contraintes à la mise en œuvre :

 En dépit de l’acharnement constant des ONG tels que l’UNICEF pour la crise des Rohingyas, les obstacles sont constants.

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