Quel est l’intérêt de l’identification de la règle de droit ?
TD : Quel est l’intérêt de l’identification de la règle de droit ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar marine.spn • 13 Octobre 2020 • TD • 1 948 Mots (8 Pages) • 1 699 Vues
Thème 1 : la règle de droit-identification |
Quel est l’intérêt de l’identification de la règle de droit ?
La règle de droit participe à l'organisation de la vie en société. C'est une règle coercitive, générale, abstraite et impersonnelle, assorti à une containte étatique. Son non respect est sanctionée par une puissance publique. C'est elle qui compose le droit, toutes les règles de droit sont ordonnées pour formés le système juridique. Sa finalité est l'épanouissement des individus et leur la sécurité. Il est difficile de reconnaître une règle de droit, des autres règles qui régissent la vie en société. Il faut donc l'identifier.
L'identification de la règle de droit est necessaire pour la différencier des règles morales, religieuses, de savoirs vivres... En effet la seule chose qui différencie la règle de droit, des autres règles, est son caractère obligatoire. La règle de droit à un caractères coercitif ce qui n'est pas le cas des autres.
Source : le cours,
http://www.toupie.org/Dictionnaire/Regle_droit.htm
Les critères d’identification de la règle de droit permettent-ils d’identifier réellement la règle de droit et donc sont-ils satisfaisants ?
La règle de droit peut être identifier selon plusieurs critères. Celle si est général car elle est impersonnel, abstraite, obligatoire et coercitive. En effet cette règle est impersonel car elle ne s'applique pas à un individu en particulier mais de façon uniforme à l'ensemble de la société. Deplus elle est abstraire car elle s'applique à une situation général et non à la situation de tel ou tel indvidu. Enfin la règle de droit à bien un caractère obligatoire puisque c'est l'essence même d'une règle. Cependant, celle-ci à un degrès plus fort d'obligation pusiqu'elle à un caractère coercitif. En effet il est vrai que si nous ne respectons pas une règle de droit nous nous confrontons à des sanctions de l'Etat. Malgré tous ces caractères il est encore difficile de distinguer une règle de droit d'une autre règle pouvant organiser la société. Beaucoup de règle morale se confonde avec des règles de droit , par exemple, l'article 372 du code civil dit que l'enfant doit respect à ses parents, nous pouvons nous dire que c'est juste une règle de savoir vivre et pourtant celle ci est une règle de droit. Autre exemple, une regle qui dit qu'il est interdit entre des frères et sœurs majeurs d'avoir des relations sexuelles. Cette règle n'est pas juridique. Il n'est pas interdit en droit français que deux personnes majeurs consententes aient des relations sexuelles, qu'ils soient de la même famille ou non. cela relève de la morale alors que nous aurions plutôt pensé l'inverse. De ce fait les critères d'identification de la règle de droit ne sont pas satisfaisants pour la reconnaître parmis d'autres.
(souce : le cours en amphitéâtre de Mme Lamarche)
Distinguez la force obligatoire de la coercition.
Quand nous posons une règle c'est l'essence même de la règle d'être obligatoire. Cependant, s'il y a non respect de la règle, la force de ce caractère obligatoire n'emmène pas forcément à une sanction de l'Etat. C'est le cas des règles religieuses, morales etc... Et c'est d'ailleurs là, toute la différence avec le terme de coercition. Derrière la coercission il y a la crainte de la sanction établie par le droit c'est pour cela que plus de personne respect les lois à caractère coercitif.
Source : le cours
SAVOIR SE SERVIR DU CODE CIVIL
l'article premier du code civil déclare : « Les lois et, lorsqu'ils sont publiés au journal officiel de la République française, les actes administratifs entrent en vigueur à la date qu'ils fixent ou, à défaut, le lendemain de leur publication. Toutefois, l'entrée en vigueur de celles de leurs dispositions dont l'exécution nécessite des mesures d'application est reportée à la date d'entrée en vigueur de ces mesures.
En cas d'urgences entrent en vigueur dès leur publication les lois dont le décret de promulgation le préscrit et les actes administratifs sur lesquels le Gouvernement l'ordonne par une disposition spéciale. »
Ensuite, plusieurs informations accompagnent cet article. Nous trouvons les différentes « sources du droit », « lois » et « propositions de réforme » qui ont conduis à celui-ci ou qui en découle. Nous y trouvons par la suite un plan présentant en partie et sous partie, dans un premier temps les « conditions d'application de la loi », et dans un second temps la « hierarchie des normes. ».
EXERCICE (objectif …. Apprendre à argumenter d’un point de vue juridique) – apprentissage de la dissertation.
Doit-on adopter des lois mémorielles ?
Adopter : au sens juridique c'est le fait d'approuvé au terme d'un vote une loi ou un projet par exemple
source : https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/adopter/1169
lois mémorielles : se sont des lois qui imposent le point de vu officiel d'un Etat sur des évènements historique. Elles peuvent aller jusqu'à interdir une quelconque contestation, sous peine d'être poursuivi en justice.
Source :http://www.toupie.org/Dictionnaire/Loi_memorielle.htm
« doit-on » suppose que nous ne sommes pas obliger de le faire donc deux réponses sont possible soit oui soit non.
Arguments pour | Arguments contre |
Les lois mémorielles ont une fonction déclaratives, et peuvent empecher quelconque individu de promulguer des faits non véridiques. Seulement elles doivent être justifier, prouver( ex : loi Taubira qui est la reconnaissance en 2001 de la traite de l'esclavage contre crime de l'humanité ; En 2001 la reconnaissance officiel de la France du génocide arménien de 1915) source :https://www.vie-publique.fr/eclairage/18617-lois-memorielles-la-loi-le-politique-et-lhistoire Les lois mémorielles permettent de nouveaux droits ou de nouveau délits ( ex : loi Gaysso 1990 qui réprime le dénit du génocide juifs et tout acte raciste, antisémité ou xénophobes) en effet cette loi permet de diminué le nombre de délit racistes. Source :https://www.vie-publique.fr/eclairage/18617-lois-memorielles-la-loi-le-politique-et-lhistoire L’adoption des lois mémorielles est favorable aux victimes d'évènement tragique car, dans le passé,ces victimes n’étaient pas reconnus au yeux de l’Etat, à présent elles le sont aux yeux de tous. | (I-a)Les lois mémorielles impose une vision officiel qui peut être faussée. La Loi est voté et elue à la majorité donc ex : si la majorité ni le génocide juifs, alors la loi sera fondé sur un fait non véridique et sera non contestable. (I-a)Les lois mémorielles portent atteintes à la liberté d'expression puisque nous n'avons pas le droit de la contredire sous peine d'être poursuivie en justice ( ex : l'historien Olivier Pétré-Grenouilleau à été assigné en justice par le collectif DOM. Ce dernier déclarait, dans la presse, regréter que la loi Taubira ne mette pas l'accent sur la traite occidentale. Selon lui deux autres traites auraient existé. Cela n'a absolument pas plus au collectif) source:https://www.vie-publique.fr/eclairage/18617-lois-memorielles-la-loi-le-politique-et-lhistoire (I-b) l'adoption des loi mémorielles contreviendraient au principe d'égalité entre citoyen en reconnaissant certain génocide et en en ignorant d'autres ( ex :les Nations unies reconnaissent le génocide perpétré par les Khmers rouges au Cambodge de 1975 à 1979, et celui des Tutsi commis au Rwanda en 1994, ces deux génocides ne sont pas reconnus par la France ) source :https://www.vie-publique.fr/eclairage/18617-lois-memorielles-la-loi-le-politique-et-lhistoire (I-B)L'adoption des lois mémorielles provoque une concurrence des victimes, toutes veulent une loi mémorielle pour les horreurs qui leur sont arrivées et ce n'est pas forcément le cas. Françoise Chandernagor en atteste en disant que le parlement a ouvert "la boîte de Pandore : à partir de ce moment-là, chaque fraction de la population a voulu la loi "mémorielle" qui sacralisait son propre malheur". Source :https://www.vie-publique.fr/eclairage/18617-lois-memorielles-la-loi-le-politique-et-lhistoire (I-A/B) les lois mémorielles ne sont pas assez clairs pour les jusristes. Elles contiennent des termes larges et flous ( ex : loi Gaysso qui réprime tout actes racistes, atisémites ,xénophobes termes qui ne sont pas précisément définis dans les textes de lois) source :https://www.vie-publique.fr/eclairage/18617-lois-memorielles-la-loi-le-politique-et-lhistoire (II-a)une règle de droit est cencé être impersonnel dans les faits les lois mémorielles ne le sont pas puisque elles ne concernent un cas précis donc qu'une partie de la population. (ex:loi du 23février 2005 portant reconnaissant la nation et la contribution nationale en faveur des Français rapatrié. En effet cette loi ne concernent que les Français rapatrié) source :https://www.vie-publique.fr/eclairage/18617-lois-memorielles-la-loi-le-politique-et-lhistoire (II-b) les lois mémorielles porte atteinte au caractère abstrait de la règle de droit puiqu'elles déclare un fait précis du passé, or une règle de droit est cencé définir un cas général et non un cas précis. (II-b)une règle de droit est cencé avoir les capacité de s'adapter à plusieurs cas dans le temps elle n'est pas supposé s'appuyer sur un cas précis, deplus elle se doit de juger la société sur des élément qui peuvent intervenir dans le futur sans intervenir sur le passé. Or les lois mémorielles ne respectent pas ce principe pusiqu'elles sont basé sur des cas précis du passé. (II-a)les lois memorieles ont un impact sur l'aspect normatif de la règle de droit. En effet « la loi est fait pour prescrire, interdire, sanctionner... » or, leur coté déclaratif peut dénaturé la loi pusiqu'elle n'édicte pas forcément de norme. Source :https://www.vie-publique.fr/eclairage/18617-lois-memorielles-la-loi-le-politique-et-lhistoire |
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