La contestation de l’absolutisme par la philosophie politique des Lumières

François Marie Arouet, dit Voltaire (1853 - 1855) perçoit une nouvelle conception de l'absolutisme, "Une seule chose surnageait au milieu de l'anarchie des notions politiques, l'absolutisme du pouvoir incarné dans le mot de patrie." qu'il a écrit dans l'Essai sur l'inégalité des races humaines.

La contestation est l'action de ne pas admettre quelque chose, la discutions.

L'absolutisme est système politique dans lequel le pouvoir est concentré entre les mains du souverain qui exercé tous les attributs.

La philosophie politique est une étude des diverse forme du pouvoir et d'organisation des société en vue d'établir leur valeur respective.

Les lumières, au 18è siècle est qualifié siècle des lumières, des philosophes bouscules les préjuger, combattent l’intolérance religieuse et remette en cause l'arbitraire monarchique. Les lumières font triomphé la nature et la raison fondant notre modernité intellectuel. Le fond commun des lumières résident dans le rejet de la métaphysique (idée selon laquelle dieu précède la réalité et le monde). Pour contré l’obscurantisme, les lumière s'inspire de la méthode scientifique. Ils cherchent dans l'étude empirique des choses les rapports, les lois qui régissent le monde.

L' absolutisme, est né en 1796 à la fin de la Révolution française pour nommer le régime politique antérieur à la Révolution, qui est qualifié d'«Ancien Régime». L'absolutisme désigne depuis lors le gouvernement monarchique qui s'est propager sur le continent européen à la fin du XVIIe siècle et a triomphé en France sous le règne de Louis XIV. L’entourage du Roi-Soleil et de ses successeurs ignoraient le mot mais qualifiaient déjà le pouvoir royal d'absolu. Ce terme désigne le gouvernement d'un seul (le souverain) mais il ne signifie pas pour autant que le pouvoir du souverain est sans limite. Au contraire, ce pouvoir est sévèrement encadré par les différentes lois fondamentales du royaume et les pouvoirs coutumiers (parlements, droit coutumier, droit civil,...). Le gouvernement absolu est conforme aux théories politiques exprimées par le juriste d'Angers Jean Bodin, dans Les six Livres de la République (1583). Il n'a rien à voir avec les régimes totalitaires qui se sont propager en Europe au XXe siècle, lesquels étaient sans limites.

A la sortie du Moyen Âge, la monarchie évolue vers un gouvernement absolu, conformément aux théories politiques exprimées par Jean Bodin, dans Les six Livres de la République (1583). Celui-ci fait valoir que la souveraineté ne se divise pas et conteste la multiplicité des pouvoirs hérités du Moyen Âge. Il en arrive à considérer que le souverain est au-dessus de la loi.

La monarchie absolue apparaît comme un gouvernement centralisé dans lequel tout le pouvoir réside dans le roi:

pouvoir législatif: le roi fait la loi,

pouvoir exécutif: le roi fait exécuter la loi par ses ministres et ses agents,

pouvoir judiciaire: le roi de France délègue ses pouvoirs à des magistrats indépendants, propriétaires de leur charge, qui siègent dans les parlements et exercent la justice d'appel. Le roi se réserve toutefois le droit d'interner toute personne de son choix par une «lettre de cachet».

Le pouvoir royal demeure jusqu'à la Révolution strictement encadré par les assemblées traditionnelles par les parlements, états provinciaux, assemblées paroissiales, assemblée du clergé et les coutumes locaux. Le roi fait rarement ce qui lui plaît. Ainsi, quand Louis XIV révoque l'édit de Nantes, en 1685, il répond à une demande de son entourage, de la Cour et des élites du royaume bien plus qu'à une impulsion personnelle. La monarchie absolue s'est effondrée en 1789, avec la Révolution.

Il est important de s'intéressée à l'absolutisme car elle a été très importante pour notre histoire. Elle a permis au roi d'avoir le complet pouvoir sur la France. L'absolutisme leur a permis de dirigé le pays sans paraître pour un roi dictateur. Durant cette période on découvre aussi un rôle important donné par les philosophes durant le siècle des lumières. Cette période a été toute aussi importante avec l'apparition de différente théorie qui n'était pas forcément en accord avec l'absolutisme monarchique.

Il est vrai que de nombreux philosophes ont posé de nombreuse théorie sur l'absolutisme. Certain personnage important comme Montesquieu, on voyager pour découvrir de nouveau pouvoir et surtout de nouvelle façon de dirigé un pays. On peut alors se poser la question, En quoi la philosophie politique des lumières conteste-t-elle l'absolutisme ?

L'absolutisme est de plus en plus contesté au fur et a mesure des années. Pour la population Française, il y a de nombreux défaut dans cette monarchie qui ne leur plaise pas. C'est alors que le siècle des lumières arrive avec de nombreux philosophes qui vont critiquer cet absolutisme politique (I), les philosophes vont d'ailleurs aborder le sujet du manque de liberté en France (II).

I. La critique de l'absolutisme par les philosophes

L'absolutisme est très critiqué par la population mais aussi par des personnes très intellectuelles tel que les philosophes des lumières, c'est un nouveau courant qui apparaît durant le siècle des lumières (A), les philosophes vont alors parler de nombreuse théorie pour améliorer ou faire disparaître l'absolutisme (B).

A) Le siècle des lumières : un nouveau courant apparaît

Le règne de Louis XIV avait marqué l’apogée de la monarchie française ; le XVIIIe siècle voit son déclin et sa chute. La Régence du duc d’Orléans se traduit par le relâchement des mœurs et aussi de l’autorité. Louis XV ne mérite plus d’être surnommé le « bien-aimé ». Les difficultés financières s’accroissent et précipitent le mouvement de contestation politique. Louis XVI tente de timides réformes, mais il se heurte à l’opposition des nobles, soucieux de leurs privilèges. L’agitation politique oblige le roi à réunir les États généraux. Le Tiers-État amorce la dynamique révolutionnaire avec la prise de la Bastille, le 14 juillet 1789. Ce qu'on appel philosophie des lumières, c'est un courant de pensé réformiste et non révolutionnaire qui se développe dans toute l'Europe a partir de 1740. Les philosophes des Lumières veulent "éclairer"

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