Philosophie Politique
Mémoires Gratuits : Philosophie Politique. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 15 Novembre 2013 • 1 621 Mots (7 Pages) • 1 164 Vues
La philosophie politique c’est l’étude des problèmes –des incivilités- que pose la vie en société politique. Elle ouvre un champ extrêmement vaste.
Est-ce que la société a le droit de donner son avis sur le mariage pour tous ? Question de philosophie politique.
Ce cours ne consiste pas à respecter un programme ; question théologico-politique importante.
Quel sens prend l’expression philosophie politique ?
1. Qu’est-ce que la politique ?
L’origine étymologique de politique ‘polis’=la cité ; ‘tukein’=pratiquer donc c’est l’art de pratiquer la vie en cité. Première chose, il s’agit bien d’une technique, nous parlons de ‘pratiquer’ et non de ‘connaitre’. Deuxièmement, cette technique semble trouver son terrain d’élection dans la cité (= Etat, Nation, Empire, Royaume).
Ensuite, intéressons-nous au genre de la politique, c’est un mot ambigu car il s’emploie au féminin et au masculin. LA politique c’est l’ensemble des jeux politiques, nous sommes dans l’ordre d’une pratique ; il faut être malin pour faire de la politique. LE politique va désigner le partisan de la politique, l’Homme.
Quand est ce que quelqu’un fait DU politique ? Il faut se référer à la définition de Platon, La métaphore du pasteur (berger) ; dans leurs intérêts les animaux du berger filent droit, c’est le premier rôle du politique. Mais cette définition n’est pas complète, c’est le métier du tisserand ; de croiser un file avec un autre, c’est comparable à l’homme politique (qui tisse du lien social). Quand on pense LA politique on se hisse à la définition du mot politique au masculin.
Dans quel sens peut-on parler de science politique ? Pour aborder LA politique nous avons besoin de plusieurs disciplines et de plusieurs sens (droit, philosophie, géographie, économie…) ; c’est pour cela que nous appelons DES sciences politiques (création de l’école libre des sciences politiques). Au-dessus de ses sciences politiques existe-t-il UNE science politique ? C’est discutable.
Quel est la bonne méthode pour penser le politique ? Est-ce qu’il faut le penser à partir de l’expérience concrète ou à partir d’une idée ?
A quoi sert la politique ? A élever l’Homme ? Ou à conquérir et à garder le pouvoir ?
Est-ce qu’il y a en politique un ordre de la diversité ? Peut-on classer les régimes politiques entre eux ? Peut-on bâtir des systèmes ?
Quelle relation il peut y avoir entre la théorie et l’action ?
Quelle relation il y a entre l’histoire et la philosophie ? La religion et la politique ?
2. Qu’est-ce qu’est la philosophie ?
Philosophe est un ami de la sagesse, il aime savoir et comprendre. Fonctionnalisation de la fonction de philosophe. Un philosophe aujourd’hui n’est pas forcément un sage. La philosophie dans l’antiquité était une sagesse vécu, ce n’était pas un fonctionnaire. Derrière le mot philosophe on ne met pas la même chose entre l’antiquité et aujourd’hui.
Où est née la philosophie ? Dans plusieurs endroits, en même temps, en Inde, en Moyen-Orient, en Chine, dans la tradition Juive. Pour nous, Occident, la philosophie est née en Grèce, en Asie mineure à l’époque peuplée de Grecs, sur la côte méditerranéenne.
Quelles questions se sont posé les grecs ? Des questions très simples, l’observation de la nature (pourquoi est-ce que l’H a besoin de dormir chaque jour ?). Les premiers philosophes sont appelés physis, des physiciens. L’expression de physicien est due car les hommes ont pensées que les questions de la nature pouvaient se traiter scientifiquement et plus philosophiquement.
Très vite les Grecs ont fait un saut qualitatif, parmi les différentes questions de la nature, ils ont commencé au 6e siècle à privilégier une question ; la question de l’être.
Pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ? C’est le point de départ d’un secteur de la philosophie, la métaphysique. Comment trouver une unité dans la diversité ?
Des personnages intriguant apparaissent : les sophistes, difficile de dire qui étaient-ce car peu d’écrit, mais nous les connaissons bien au travers de leurs adversaire, du coup apriori négatif.
Si on essaye de mieux savoir qui étaient-ce, c’est une catégorie de philosophes inhérent, de ville en ville pour vendre leurs leçon ; on les classe dans les philosophes car la question de l’art politique rentre dans la question.
Avec le dvpt de la démocratie la nécessité et le besoin pour les gens qui font de la politique de bien parler car leur rôle est de convaincre les citoyens pour voter pour eux. Ils vont apprendre à bien parler leur discours. Il n’y a plus de vérité dans la discipline sophistite.
« L’Homme est la mesure de toute chose » est une formule qui dit qu’il n’y a plus de vérité.
L’Homme devient Homme lorsqu’il acquiert le discours.
Les socratiques ; Socrate est peu connu, il n’a jamais écrit. On ne le connait qu’au travers de ceux qui ont écrit pour lui. Le premier auteur est Aristophane ; dans une de ses pièces il met en scène un personnage ‘Socrate’ ; Socrate
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