Synthèse travail et technique
Synthèse : Synthèse travail et technique. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Luka307 • 9 Février 2023 • Synthèse • 3 701 Mots (15 Pages) • 301 Vues
Le travail et la technique
- travail :
- moyen de libération vis-à-vis de la nature
- met en œuvre la ruse technique (fin de la dépendance à la nature)
- on travaille pour ne plus travailler (semaine 🡪 w-e…)
- permet la liberté + contribue à augmenter une liberté qui se présente tjrs comme future
- + je travaille – je suis libre (la réduc du tps de travail correspond à l’augmentation du tps libre)
- contradiction qui apparait : je suis apparemment prisonnier de ce qui est en mm tps mon moyen de libéra° : cmt conquérir sa liberté en la perdant ?
le travail est-il ce qui me libère ou ce qui m’emprisonne ?
- technique :
- ensemble de moyens (la technique est – une classe d’objs qu’une disposi° et une conduite)
- instrumentalisa° de moyens en vue de fins décider par ns
- tant que ns décidons des fins, la technique est libératrice et ns restons libres
- relation à l’obj réversible
restons-ns libres devant la technique, ou a-t-elle tendance à quitter son statut de moyen pour devenir une fin en soi ?
pourquoi travailler ? :
- il faut bien vivre et pour être libre après
- certains loisirs se présentent cô des travaux (violon, abdos) 🡪 alors la notion de travail ne se restreint pas à la sphère de l’échange éco, mais devient un mode de toute activité humaine le travail ne serait plus qu’un simple moyen, mais pourrait devenir une fin en soi, un mode d’être et de comportement
le travail est-il un moyen ou une fin en soi ?
- les ambiguïtés de la technique
Relation travail-technique : la technique (entendue comme savoir-faire productif) exploite la connaissance scientifique du monde pour réaliser les objs de l’esp humaine 🡪 procure aux soc contemporaines de nvlles modalités de mise à disposition du réel et de ses ress qui ont fait apparaitre de nvlles manières de travailler.
Ces nvx visages du travail se sont caractérisés par une démultiplication des forces de travail (notamment à la faveur de la mécanisa° des opéra° de prod).
🡺 Ns ne pouvons plus envisager que la réalité est le devenir du travail sans considérer en mm tps un autre élément : le savoir-faire en renouvellement constant auxquelles donne lieu l’appli technique du savoir.
mais, cette relation travail-technique fait question :
Le travail n’est pas engagé dans ce process de transforma° techno de l’action humaine sur le monde 🡪 le travail de la pensée, de l’artiste, de l’artisan… peuvent ê affecté par l’apparition de certaines technos (mais ces types de travaux demeurent irréductibles à tout s-f de type techno).
La ? est de savoir si dans cette irréductibilité, ne se dissimulent pas, toute une série de difficultés
ces difficultés ns invitent à chercher une conceptualisa° + forte de ce que signifie propret. « travailler » 🡪 ns pouvons ns demander si ns devons penser toute technique sur le modèle de cette « technoscience » (l’exploitation techno des découvertes scientifiques) OU existe-il (comme les Grecs avec la « technê ») une autre manière de se rapporter au monde, une autre représenta° du travail.
Il faudrait déterminer si la technologisa° moderne du travail (la nvlle configura° prise par le travail à l’âge de la technoscience) a réellement accompli l’essence mm du travail.
Peut-ê a-t-elle mis en péril ce qui faisait du travail une activité spécifiquement humaine.
dossier des ambiguïtés de la technique :
- par la maitrise que le travail procure sur la nature, le travail lié à la techno, a produit une libéra° + grande 🡪 émancipa° + vaste de l’H vis-à-vis d’un certain nb de sujétions qui pesaient sur son existence individuelle et collective
- progrès (médical…) issus de formes de travail (où les prouesses de la technique jouent un rôle important) qui rendent l’humanité – dépendante des contraintes naturelles
Une telle maitrise apparait comme ce à quoi quotidiennement le travailleur apporte sa contribution.
- certaines dérives contemporaines de la maitrise techno du monde ns ont appris à ns méfier d’un travail tjrs + technicisé 🡪 cette méfiance s’exerce ajd à l’égard des effets de la maitrise techno de la nature sur tel ou tel secteur du monde naturel (disparition de certaines esp, pollution répetées…) ET cette méfiance s’applique aussi sur le travailleur lui-même (que devient le travail à l’âge de sa technologisa°, le travailleur peut-il perdre ce qu’il y a de + humains chez lui)
- le travail entre humanisation et déshumanisation
Ns présentons le travail comme l’activité par laquelle les H satisfont leurs besoins 🡪 le travail correspond à une triple prod :
- le travail produit les richesses (biens et services) qui, grâce à l’échange que les H en font, permettent la satisfaction des besoins
- à la faveur de la prod, puis l’échange des richesses, le travail produit la relation, l’interaction et la communication (donc il produit la soc)
- produisant la vie sociale (en produisant de quoi satisfaire les besoins), le travail produit la vie humaine
🡺 Le travail apparait comme la condition de l’H : en travaillant et en exploitant la nature, ns la Transformons pour satisfaire nos besoins mais ns ns transformons aussi nous-même.
le travail implique, pour ns, le choix de différer une satisfaction immédiate qui fait disparaitre l’obj qd ns le consommons.
Hegel, Phénoménologie de l’Esprit : le travail est « désir à réfréner et « disparition retardée » de son obj » 🡪 le travail est la média° entre l’H et les choses puisqu’il est la condition sans laquelle ces choses ne ns permettraient pas de satisfaire durablement nos besoins MAIS il est aussi la média° entre l’H et lui-même puisqu’il fait surgir l’humain en l’H qui met le monde à dist de ses désirs les + immédiats et se met ainsi à dist de l’animalité.
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