Kant, la philosophie utilitariste
Dissertation : Kant, la philosophie utilitariste. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Cam Ching • 2 Octobre 2017 • Dissertation • 1 601 Mots (7 Pages) • 1 238 Vues
La philosophie utilitarisme permet à l’homme de philosopher sur l’action et l’expérience qui fait par rapport à des situations de sa vie. Cette philosophie nous permet de voir un autre côté de l’action posé par l’homme. On se pose la question suivante : Est-ce que l’utilitarisme est-il meilleur que la théorie déontologique pour trouver une solution face à un problème éthique ? Pour pouvoir répondre à cette question, nous devons d’abord bien comprendre la théorie de l’utilitarisme et comprendre le déontologique, mettre en application l’utilitarisme à l’aide d’une situation éthique et faire une critique qu’un ancien pourrait faire sur l’utilitarisme.
Premièrement, nous devons définir ce que c’est l’utilitariste. La théorie l’utilitariste est utilisé par plusieurs philosophes, dont John Stuart Mill (1806-1873). C’est une théorie téléologique. C’est-à-dire qu’elle signifie une éthique qui vise une fin, soit vers le bonheur et non le respect du devoir en lui-même. Donc elle se base sur le bonheur et sur le conséquentialisme de l’action posé par l’être humain. Alors toute action nous amène vers le bonheur ou vers le malheur. Le but de l’utilitarisme c’est de comprendre la différence entre le bonheur et la satisfaction que l’homme ressent dans des situations de sa vie. Pour pouvoir mieux le but de l’utilitarisme, on doit comprendre la distinction entre le bonheur et la satisfaction. La distinction entre les deux, c’est que le bonheur apporte des plaisirs durables et supérieurs tandis que la satisfaction apporte des plaisirs inférieurs. Cela veut dire que le bonheur est quelque chose qu’on veut garder à long terme et la satisfaction c’est un petit bonheur à court terme. Chaque action est distinguée par le bonheur ou par la satisfaction. Les actions qu’on pose pour atteindre notre bonheur nous amènent aussi aux fondements empiriques. Car les fondements empiriques c’est nos connaissances qui sont issues de l’expérience de notre vie. C’est grâce à nos sens qu’on appréhendons le monde extérieur. C’est-à-dire que grâce à nos sens, soit le toucher, l’ouï, le goût, l’odorat et la vue nous pouvons expérimenter des actions posées qui nous permet de nous découvrir certains bonheurs de la vie. Ses fondements sont liés avec le rationaliste. C’est notre raison qui produit des principes après apriori. Les principes amènent l’homme à découvrir ses 2 sentiments que l’homme agit. C’est-à-dire que « L’utilitarisme peut se ramener aux principes voulant que, dans toute action, nous cherchions : l’excédent maximal des plaisirs sur les souffrances, ou le plus grand bonheur du plus grand nombre. » Cela veut dire que l’homme régi sur 2 sentiments soit le plaisir et la douleur. Pour que l’homme soit capable de comprendre une décision face à une situation, l’homme doit prendre en considération l’utilitarisme de l’acte et utilitarisme de la règle. L’acte et la règle ont une distinction bien définie. Soit, l’utilitarisme de la règle c’est quand le respect de la règle assure plus de bonheur au plus grand nombre, soit de manière générale. Pour ce qui est de l’utilitarisme de l’acte, c’est que l’acte ne respecte pas une règle dans la mesure où les circonstances particulières conduisent à un plus grand malheur sinon il respecterait la règle. C’est à dire que dans « certaines situations commandent de passer outre à des règles morales fondamentales. » Il y a aussi l’intention de l’agent et valeur morale de l’action. Il existe aussi une distinction entre les deux. Soit que l’action peut être morale même si les intentions de l’argent sont intéressées. Cela veut dire que « l’intention de l’acte n’est pas bonne, l’acte en lui-même peut être considéré comme bon, s’il a des conséquences avantageuses. »
Deuxièmement, pour mettre en application la théorie téléologique il faut d’abord trouver les positifs et négatifs des solutions qu’on pose sur des évènements. Par exemple dans ma situation de travail. Je dois mettre les pour et les contre de l’action que je vais poser.
Si on décide d’aller voir la patronne pour dire que l’éducation spécialisée à poser un diagnostic sur un enfant pendant une sortie.
Pour : On mettre notre jugement face à la situation.
On applique les règles de notre travail, cela démontre notre fidélité du travail.
On peut recevoir quelque chose de positif en parlant de la situation.
Etc…
Contre : Il peut avoir de la chicane entre 2 collègues.
Il peut avoir une suspension de la part de l’éducatrice.
On connaît les risques des sanctions pour l’éducatrice.
On crée une atmosphère négative.
Etc…
Puis on doit se poser ses 2 questions suivantes : s’agit-il d’une satisfaction ou d’un bonheur ?
Si on décide d’aller parler avec la patronne, on peut ressentir de la satisfaction d’avoir parlé contre l’autre éducatrice. Par contre, cette sensation ne dure pas. Cette sensation est à court terme et se vit par le moment présent.
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