Notes - philosophie
Cours : Notes - philosophie. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar JSem04 • 27 Novembre 2015 • Cours • 3 859 Mots (16 Pages) • 1 108 Vues
Page 1 sur 16
Philosophie
Chapitre 1
- Raisonnement : Suite d‘affirmation comprenant une conclusion et des prémisses, qui sont énoncées dans l’intention de soutenir la conclusion.
- Inférence : raisonnement simple, raisonnement qui ne comporte qu’une seule conclusion.
- Affirmation : un énoncé que l’on avance comme vrai.
- « Vrai » et « faux » sont les deux valeurs de vérité possibles d’une affirmation.
- Il existe différente longueur de raisonnement
- Il peut avoir des raisonnements « mauvais ».
- Indicateurs d’inférences : Des expressions qui indiquent un lien logique entre différents énoncés.
- Il existe deux types d’indicateurs : les indicateurs de prémisse et les indicateurs de conclusion.
- Indicateurs de prémisse : une expression qui sert à annoncer une prémisse.
- Ex : car, puisque, parce que, étant donné que, comme.
- Indicateurs de conclusion : une expression qui sert à annoncer une conclusion.
- Ex : par conséquent, donc, ainsi, c’est pourquoi, il s’ensuit que.
- Forme standard : une forme qui consiste à énumérer les énoncés d’un raisonnement un à la suite de l’autre en terminant par la conclusion, que l’on signale par le symbole « ∴ ».
- Forme standard annotée : énumérer et numéroter chacun des énoncés, et ajouter, après une conclusion, le numéro des prémisses qui sont invoquées pour la soutenir. Une conclusion doit apparaitre en-dessous des prémisses qui l’appui.
- Inférence immédiat : contient une prémisse et une conclusion.
Les raisonnements complexes
- Inférence : un raisonnement simple, comporte qu’une seule conclusion mais peut avoir plusieurs prémisses.
- Raisonnement complexe : comporte plus d’une inférence et au moins une conclusion intermédiaire.
- Conclusion intermédiaire : un énoncé qui joue le double rôle de conclusion d’une inférence et de prémisses d’une autre inférence.
- Conclusion finale : Conclusion qui n’est pas utiliser comme prémisse. C’est le point finale d’un raisonnement complexe.
- Prémisse de base : prémisse qui n’est pas une conclusion.
- Énoncé implicite : énoncé d’un raisonnement qui n’est pas fourni explicitement, parce qu’il est jugé suffisamment évident dans le contexte ; il peut s’agir d’une prémisse ou d’une conclusion.
- Principe de charité : principe qui commande d’interpréter les affirmations d’un auteur de façon à rendre son point de vue aussi vraisemblable et raisonnable que possible, étant donné les circonstances.
- Doit être invoqué lors de la détermination des énoncés implicites d’un raisonnement.
- Explication : suite d’affirmation qui tente de rendre compte d’un certain état de choses.
- Simple explication : explication qui n’est pas aussi un raisonnement.
Comment distinguer si c’est un raisonnement out une simple explication ?
- Identifier l’énoncé qui serait la conclusion s’il s’agissait d’un raisonnement.
- En supposant que l’auteur tente de démontrer la vérité de cet énoncé. Son point de vue paraît :
- Bizarre et peu convaincant simple explication[pic 1]
- Vraisemblable et raisonnable raisonnement[pic 2]
Chapitre 2
La conclusion assume toujours les prémisses.
Les schémas en arbres :
- Souligner les indicateurs de prémisses
- Mettre les affirmations entre cochets et les numéroter.
- Lorsque deux ou plusieurs prémisses sont combinés pour mener à une conclusion, elles doivent être réunies par le signe « + » et être souligner.
Construire le schéma en arbre d’un raisonnement :
- Souligner les indicateurs d’inférence :
À surveiller :
- Les indicateurs d’inférences qui sont utilisés pour signaler une simple explication et non une inférence.
- Placer des crochets autours de chacune des affirmations :
À surveiller :
- Les énoncés complexes
- Les énoncés emboités
- Numéroter chacun des énoncés :
À surveiller :
- Les énoncés répétés.
- Réécrire les énoncés qui ne sont pas formulés adéquatement :
À surveiller :
- Les questions, les exclamations, les énoncés à l’impératif et les énoncés décrivant des états d’esprit.
- Construire des parties de schéma en se référant et en s’appuyant sur les indicateurs d’inférence.
- Construire le schéma complet :
À surveiller :
- Les prémisses impliqués dans plus d’une inférence
- Les prémisses indépendantes
- Les conclusions indépendantes
- Vérifier le schéma.
Vérification d’un schéma :
- On peut vérifier la justesse d’un schéma en remontant l’arbre à partir de la conclusion, et en se posant la question « pourquoi l’auteur du raisonnement admet-il cet énoncé ? » à propos de chacun des énoncés rencontres.
- La vérification se fait en deux temps :
- S’assurer que le schéma respecte les indicateurs d’inférence.
- Se poser la question mentionnée ci-dessus.
La reformulation d’énoncé :
- On prend la condition comme un énoncé.
- Quand l’auteur exprime une prémisse et une conclusion sous la forme d’une question, d’ordre ou d’exclamation, il faut les réécrire sous forme d’affirmation.
- Les énoncés qui ont été réécrit doivent être désignés par « ‘ ».
Les énoncés superflus :
- Énoncés superflus : des énoncés qui ne sont ni des prémisses ni des conclusions de ce raisonnement. (Inutile)
- Donc ils doivent être mis de coté.
Les énoncés répétés :
- Assigner le même numéro aux énoncés répétés.
Les énoncés complexes :
- C’est-à-dire que l’énoncé contient deux affirmation alors il faut les encadrer [………] et [……]. (Conditionnels : si x donc, y.)
Les énoncés emboîtés :
- Énoncés emboîtés : un énoncé qui se trouve à l’intérieur d’autres énoncés.
- Doit être traité comme tout autres énoncés.
Les prémisses impliquées dans plus d’une inférence :
...
Uniquement disponible sur LaDissertation.com