Blaise Pascal, l'Homme est un roseau pensant
Cours : Blaise Pascal, l'Homme est un roseau pensant. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar hanaajribi • 3 Décembre 2017 • Cours • 1 031 Mots (5 Pages) • 3 364 Vues
L’HOMME EST UN ROSEAU PENSANT
Blaise Pascal : (mathématicien ; probabilité, a créé la calculatrice)
- On ne se sait pas grand-chose sur ses textes :
- Les pensées de Pascal
- Référence (gros pavé avec bcp d’info)
- Il n’a jamais eu de livre → écrivait sur des feuilletons
- Il les mettait sous son manteau
- Il a des réflexions sur plusieurs thème
- Ses réflexions constitueraient un portrait de l’homme, entre misère et grandeur.
XV. TRANSITION DE LA CONNAISSANCE DE L’HOMME A DIEU.
PENSEE 185 : La disproportion de l’homme
1) En quoi consiste la disproportion de l’homme ?
L’homme n’est pas proportionnel à la nature.
Une sphère infinie dont le centre est partout et la circonférence nulle part
En gros l’inf est imaginable et connaissances naturelles (la raison, la pensée, perception)
On découvre que nous sommes égarés.
2) Quel sentiment l’infini suite-t-il et pourquoi ?
Le sentiment d’effroi, de l’angoisse à cause de l’égarement dans l’infini de pas savoir et connaître la vérité.
3) Pourquoi selon Pascal la connaissance humaine est-elle limitée ?
Parce que l’homme n’est pas proportionné à la nature. Ses facultés :
- Perception : vs infini
- Imagination
- Cognition (pensée à l’infini)
- Tous lié à la nature
4) Pourquoi Pascal accorde-t-il autant d’importance à l’infiniment petit ?
On prétend qu’on est plus apte à comprendre l’infiniment petit. Car c’est quelque chose de plus petit que nous. Mais pour Pascal c’est plus compliquer.
Infiniment petit < l’Homme < l’infiniment grand
Ex : atome, araignée (fil) Ex : l’espace
Chenille (soie)
- L’homme n’a pas reproduire
3) quelle leçon tire-t-il du double infini ?
Ne rien savoir avec certitude → nous somme dans l’instabilité de la Nature. Nous flottons entre les deux extrémités.
VIII. DIVERTISSEMENT
Pensée 124 :
L’homme ne peut s’empêcher de vouloir être heureux ni ne pas le vouloir être.
Pensée 125 :
Contingence (Descartes)
Pensée 126 :
1) Pourquoi aime-t-on tant les jeux ?
Les jeux nous détournent (divertit) de penser à notre misère, notre condition de vie.
- Le sentiment de l’ennui nous est naturel (p72)
- On découvre la complexité, l’absurdité de notre condition naturelle → pas accidentelle.
VS Pascal (héritier du christianisme (pensée religieuse)) :
Vision grecque, la nature nous a créé en puissance homme et nous devions devenir en acte : développer son essence.
2) Montrer qu’il y a une critique du bonheur dans cette pensée ?
-il va falloir un contre argument du bonheur.
Les gens qui cherchent le bonheur
Cherchent une illusion, un masque p.79
Pour masquer son malheur
Le bonheur est une idée de l’imagination mais pas une idée de la raison = on est disproportionnés
Pour Pascal :
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