Se nourrir relève-t-il la nature ou la culture ?
Dissertation : Se nourrir relève-t-il la nature ou la culture ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar kakikoko • 5 Mars 2022 • Dissertation • 965 Mots (4 Pages) • 1 391 Vues
Se nourrir relève-t-il la nature ou la culture ?
Toute chose vivante a besoin de se nourrir pour pouvoir vivre peut importe sa façon, c’est un acte vital et naturel. Cependant avec le temps et l’évolution se nourrir est devenu petit à petit un plaisir culturel pour l’homme. “Se nourrir relève-t-il de la nature ou la culture ?”
Il est difficile de dire que se nourrir est simplement un plaisir quand on sait que certaines populations meurent de faim, mais pourrait-on se dire que se nourrir est devenu d'avantage une histoire culturelle quand elle est consommée de différentes manières organisé en plusieurs repas par exemple ?
En effet si l’art de se nourrir à évoluer avec le temps passant par une phase primaire à l'âge des premiers hommes, qui mangeaient ce qu'ils pouvaient, quand ils pouvaient, et comment ils pouvaient, jusqu’à l’heure actuel ou une gastronomie extrêmement développer, organiser autour de règles et traditions s’est installer, ou l’homme à le luxe d’avoir le choix de choisir avec quoi, quand et comment se nourrir. Nous pourrions nous demander sur quel principe d’évolution l’homme à transformer cet aspect naturel à culturel ?
Nous explorerons dans un premier temps pourquoi se nourrir est à la base un instit de survie à l’exemple des animaux sauvages aujourd’hui, puis découvrir sur quelle base de l’évolution cet acte est devenu un pratique culturel voir jusqu’à une habitude.
Depuis le début des temps l’homme à toujours chercher à se nourrir pour survivre. Manger est vital c’est ce qui permet de régénérer l’énergie perdu par toute chose vivante au cours de sa vie, sans énergie il est inévitable que l’épuisement aille s’en suivre jusqu'à la mort. Dans le passé à l'Age de l’homme qui n’avait pas conscience de lui-même, l’homme et l’animal avaient un pied d’égalité en effet ils étaient tous deux poussés par l’instinct de survie qui se fessait ressentir par un inconfort physique et une carence en énergie à trouver de la “nourriture”. Tous deux n’avaient pas conscience qu’ils se nourrissaient, ni qu’ils pouvaient mourir par manque de nourriture, c’est seulement un réflexe récompenser par un sentiment de forme physique et de bonheur. Il était donc question ici de pur réflexe de survie. Un acte purement naturel et brut comme ici est un besoin qui prend le dessus sur la raison à l’image de certaines mères animales qui sont prêtes à dévorés leurs progénitures pour pouvoir survivre tellement ce réflexe est “puissant” non raisonnable. On peut prendre l’exemple de n'importe quel animal sauvage outre peut être les plus évolués comme les singes, quand un animal n’a pas faim on n’a quasi rien à craindre de lui car son besoin de se nourrir est satisfait, il n’a donc aucun intérêt à attaquer une proie, on pourrait même donc en venir à nous demander pour pousser la réflexion si l’animal ne ressent pas de la tristesse en attaquant ses proies seulement poussé par un réflexe de survie et qu’une fois ce réflexe
...