Dissertation sur "Nouveaux essais sur l'entendement humain" de Gottfried Wilhem

Les sens (touché, vue, odorat, ouïe, goût) nous apportent des connaissances. Mais nous les apportent-elles toutes ? Ou nous apportent-elles que des vérités particulières ou individuelles ? C’est ce que nous allons essayer de vous montrer dans ce texte philosophique « Nouveaux Essais sur l’entendement humain » de Gottfried Wilhelm Leibniz sortie en 1704.

Nous pouvons voir dans la première phrase du texte de l’auteur que pour lui les sens sont nécessaires pour nous apporter des connaissances mais ne sont malheureusement pas suffisantes. En effet, l’auteur nous explique que le sens ne donne que des exemples des images de nos vies. Ce ne sont pas des faits vrais en toutes circonstances. Le sens, ici, n’est qu’exemple et n’est donc pas, pour notre philosophe, des vérités globales mais bien que des vérités partielles. Entre autres, nos sens nous font voir qu’un cahier est vert et rond mais ce n’est qu’un exemple. En effet, TOUS les cahiers ne sont pas comme cela, certains peuvent être bleu et carré. Nous voyons bien ici que nos sens ne nous renvois qu’a des exemples dans nos vies. Mais pas seulement, rien ne me dit que moi je vois ce cahier vert mais que monsieur x à coté de moi le voit lui aussi vert. De son point de vue mais surtout ici ses sens feront que monsieur x verra peut-être ce cahier bleu. Nous confirmons donc que nos sens ne nous apportent que des représentations de nos vie, que des exemples.

Dans notre deuxième phrase, le philosophe utilise le mot or. Nous savons donc qu’il va développer sa pensée, aller plus loin dans son idée. Analysons maintenant la suite de ce texte. Que pourrait-il vouloir dire ? Il commence en disant que quoique soit l’exemple que l’on prendra RIEN ne pourra confirmer cette affirmation. Car rien ne pourra nous dire que notre hypothèse sera vraie aujourd’hui, demain ou dans un siècle. Prenons un exemple une affirmation pour synthétiser les choses. « Il est impossible qu’un Homme aille sur Mars ! » Cet exemple est certes vrai aujourd’hui mais qu’est ce qui nous dit qu’il sera aussi vrai demain ou bien dans 100 ans ou encore dans 5 siècles. Ce n’est pour l’instant qu’une vérité partielle. En effet, avec les nouvelles créations technologiques rien ne nous dit que dans quelques années nous n’aurons pas la capacité de pouvoir emmener des humains sur Mars voir même dans plusieurs siècles y vivre. Mars étant la planète la plusproche du fonctionnement de la nôtre et ayant tout ce dont nous avons besoin. Gottfried Wihelm Lebnz nous montre que les sens donnés par des exemples sont que des vérités partielles ou individuelles. Ils ne sont pas suffisants à eux seuls. Nous ne pouvons savoir s’ils seront vrai à vie.

A travers ce texte nous savons pour l’instant que nos sens certes peuvent nous apporter des connaissances mais que partielles ou encore individuelles. Elles ne pourront jamais prouver quelque chose. Donc nous ne pouvons pas savoir si elle est vrai à vie. Continuons maintenant d’étudier ce texte pour aller au plus loin des pensées de cet auteur.

Nous voyons dans cette troisième phrase que l’auteur sort de l’abstrait pour nous donner un exemple de ces pensées. Voulant montrer son exemple l’auteur nous laisse et nous autorise à penser comme lui pour que nous soyons dans le même « sens » que lui. Dans son exemple, il nous dit et nous explique que les Grecs et les Romains ainsi que la plupart de la Terre (ancienne) ont vu qu’avant le décours de 24h le jour devient nuit et la nuit devient jour. Mais cette idée n’est vraie que pour certains endroits de la Terre.

En effet dans notre quatrième phase nous pouvons partir sur l’exemple du Maroc pour arriver à celui du philosophe. Au Maroc le soleil ne se couche jamais complètement ou encore comme dans l’exemple de ce

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