Gottfried Leibniz est un philosophe et savant, née, 1646 à Leipzig en Allemagne.
Commentaire de texte : Gottfried Leibniz est un philosophe et savant, née, 1646 à Leipzig en Allemagne.. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar marcololi • 13 Octobre 2016 • Commentaire de texte • 998 Mots (4 Pages) • 920 Vues
Gottfried Leibniz est un philosophe et savant, née, 1646 à Leipzig en Allemagne.
Dans l’extrait de la préface « aux Nouveaux essais sur l’entendement humain » Leibniz explique que les sciences ne peuvent être basées sur l’expérience de la sensibilité des cinq sens et donc être la fonction de notre perception du monde et de nos connaissances.
Cette préface est composée de trois parties, les « sens », les « connaissances » et le « raisonnement ». Quand Leibniz écrit « Les sens, quoique nécessaires pour toutes nos connaissances actuelles, ne sont point suffisants pour nous les donner toutes, puisque les sens ne donnent jamais que des exemples, c’est-à-dire des vérités particulières ou individuelles. », il démontre que nos sens nous donnent accès à des vérités, qui en fonction de chacun, peuvent être ou non, individuelle ou globale mais uniquement sur une partie de nos sens puisqu’ils ne sont pas tous développés dans leur totalité. Cette notion permet d’établir ce qui fait de chacun un être à part entière.
« Les sens, quoique nécessaires pour toutes nos connaissances actuelles » représente ici la nécessité sensorielle que Leibniz constate comme une évidence. Ces sens permettent une information ponctuelle et donc une pertinence actuelle. « et ne sont point suffisants pour nous les donner toutes puisque les sens ne donnent jamais que des exemples, c’est-à-dire des vérités particulières ou individuelles. » et montre la limite de notre activité sensorielle puisqu’elle sont une interaction de notre corps et donc perceptible en fonction de chacun avec plus ou moins d’intensité et en fonction de notre sensibilité au monde extérieur. Ils ne sont donc pas établis sur des règles universelles mais sur une constante individuelle en lien avec chaque situation et retour d’information que nous en faisons. Il n’y a donc pas de notion de généralités concernant cette vérité, c’est-à-dire que l’information sensorielle à pour tout à chacun une particularité et que nous pouvons en faire une vérité universelle s’appliquant à un ensemble puisqu’il nous est impossible de reproduire et d’appliquer cette vérité à une généralité mais uniquement au cas particulier concerné. Cette généralisation si elle est faite ne peut être produite que par une autre capacité de connaissance d’où la nécessité d’une vérité telle que nous pouvons les trouver dans les mathématiques pures.
« Or tous les exemples qui confirment une vérité générale, de quelque nombre qu’ils soient, ne suffisent pas pour établir la nécessité universelle de cette même vérité, car il ne suit point que ce qui est arrivé arrivera de même». Nous pouvons donc confirmer que les sens nous fournissent des exemples que nous retranscrivons en fonction d’une vérité, mais que cela ne suffit pas à en faire une vérité universelle puisque tout à chacun développe ses sens individuellement et en fonction de ses vérités individuelles, elles peuvent donc comme les nombres être infinies et non établis. Chaque individu en fonction de sa sensibilité de la vue, de l’ouïe, de l’odorat ou du touché, appliquera une notion propre à lui de ce sens et l’associera en parallèle à un sens commun. Il n’est pas donc pas possible d’appliquer une réalité à un ensemble, comme par exemple, le fait que l’univers
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