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Nietzsche Est Un Philosophe Allemand Du XIXe Siècle

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Par   •  1 Avril 2013  •  500 Mots (2 Pages)  •  1 244 Vues

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Nietzsche est un philosophe allemand du XIXe siècle. Solitaire, il marque la pensée occidentale. Errant à travers les continents, il rédige au quotidien des maximes, qu'il réunit ensuite au sein d'ouvrages. En 1880, il publie Aurore (non pas le journal qui deviendra célèbre pour avoir divulgué la lettre J'accuse de Zola), sous-titré réflexion sur les préjugés moraux ; dans lequel figure Les apologistes du travail. Cet écrit est une critique car il montre que l'humanité individuelle (c'est-à-dire l'individualisme) est mise à l'écart par l'Etat, au profit du confort et de la sécurité, deux valeurs que chacun semble rechercher. On pourra donc se demander en quoi le travail est un moyen utilisé par la société pour maîtriser les individus ? Nous verrons d'abord que c'est à travers le travail que l'Homme perd son caractère humain, puis que le travail est le biais par lequel la sécurité est assurée.

Plan

I) Le travail serait un processus de déshumanisation pour l'Homme.

II) Mais le travail tente d'assurer la sécurité des individus.

Tags

philosophie, Nietzsche, travail, individualisme, loisir, police, liberté, sécurité, confort, argent, indépendant, ennui, explication de texte, Le gai savoir, travailleur, apologistes du travail, Etat

Quelques extraits (10% maximum) explication de texte : les apologistes du travavil

[...] Le sujet n’est ainsi plus humain. Le travail met en place un processus de déshumanisation car l’Homme ne réfléchit plus, ne rêve plus, et n’a plus de sentiment, comme l’indiquent les lignes 6 à 9 qu’il tient chacun en bride et s’entend à entraver puissamment le développement de la raison, des désirs, du goût de l’indépendance. Car il consume une extraordinaire quantité de force nerveuse et la soustrait à la réflexion, à la méditation, à la rêverie, aux soucis, à l’amour et à la haine Tout ceci parce toute sa force nerveuse est entièrement tournée vers le travail quotidien. [...]

[...] Nous verrons d’abord que c’est à travers le travail que l’Homme perd son caractère humain, puis que le travail est le biais par lequel la sécurité est assurée. I. Le travail serait un processus de déshumanisation pour l’Homme. Les apologistes font un hommage au travail mêlé d’admiration, tandis que d’autres louent ses bienfaits. Dans toutes les situations, il en ressort une idée évidente : la peur de la liberté individuelle car elle n’est pas toujours contrôlée. C’est pour cela que le travail a été mis en place. [...]

[...] Car il consume une extraordinaire quantité de force nerveuse et la soustrait à la réflexion, à la méditation, à la rêverie, aux soucis, à l’amour et à la haine, il présente constamment à la vue un but mesquin et assure des satisfactions faciles et régulières. Ainsi une société où l’on travaille dur en permanence aura davantage de sécurité : et l’on adore aujourd’hui la sécurité comme la divinité suprême. Et puis ! épouvante ! Le travailleur justement, est devenu dangereux ! Le monde fourmille d’ individus dangereux ! Et derrière eux, le danger des dangers l’individuum Nietzsche, Aurore Introduction Nietzsche est

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