Résumé de Kant sur les Lumières

Texte d’Emmanuel Kant intitulé « Qu’est-ce que les Lumières ? » et écrit en 1784 (s’inscrivant dans l’effort des intellectuels de l’époque qui réfléchissaient sur la signification des Lumières, l’« Aufklärung » - progrès des Lumières).

Paragraphe 1 (lignes 1-9):

Dans ce paragraphe, Emmanuel Kant nous propose de déjà se renseigner sur ce qu’est les Lumières. Il nous dit que c’est le moment où l’homme a commencé à penser par lui-même. Avant les Lumières les hommes pensaient grâce à autrui, le fait de penser demande beaucoup de courage et les Lumières prônent le fait de penser par soi-même et donc c’est ce qui marque le début des Lumières.

Paragraphe 2 (lignes 10-34):

Il y a deux sorte de personnes, il y a les mineurs, ceux qui font tout ce qu’on leur dit et les tuteur, ceux qui imposent. Ces deux catégories sont le fondement de la paresse et de la lâcheté. Les mineurs sont lâche car ils ne veulent pas penser, ils sont paresseux, ils se disent qu’ils ont juste besoin de faire le minimum et que quelqu’un d’autre se chargera du reste. Or, les tuteurs, eux sont plus entreprenant, c’est eux qui vont penser plus loin, ils pensent plus et décident plus, ce sont eux qui dirigent l’humanité. Dans l’exemple de Kant, il prend comme métaphore les animaux et leurs maîtres. Les maîtres dirigent les animaux, qui sont placé plus bas qu’eux, ils les contrôlent avec la peur, ils vont leur montrer le danger des actions, afin qu’ils restent à leur place. Ils leur font peur afin d’avoir une emprise sur eux, comme ça ils ne s’aventureront pas pas peur du danger. Dans le fond ce danger n’est pas si désastreux, il pourrait leur permettre d’apprendre pleins de choses, les dangers sont là pour qu’on se surpasse, pour qu’on réfléchisse afin de trouver une solution qui nous convienne mais la frayeur est constamment présent, on a peur de l’inconnu, car ce qu’on ne connaît pas, on ne l’a jamais ressentit, on aime pas ce qu’on ne connaît pas, on préfère être confortable et rester dans notre cocon de bonheur sans avoir à souffrir. Mais ces chutes, ces choses inconnues, ont peut les voir comme un obstacle qui va nous rendre plus fort, chaque obstacle est là afin que le prochain obstacle, on le surpasse avec plus de facilité jusqu’au jour où on arrive face à un obstacle de très grande taille, peu importe sa taille, même si il paraît impossible à surmonter, tout ce qu’on a vécu, traverser auparavant a rendu plus fort.

Paragraphe 3 (lignes 35-46):

Pour les individus qui sont mineurs, il leur est compliqué de sortir de leur vie confortable car cela est devenu normal pour eux. C’est surtout devenu normal pour eux car il leur est devenu impossible de raisonner autrement cela est devenu encré en eux et seuls sont rare ceux qui ont pu se détacher de cette vie, de cette façon de penser et on pu par la suite prendre le contrôle et changer.

Paragraphe 4 (lignes 67-81):

Pour les Lumières la notion de liberté est importante, la plus inoffensive est celle qui est réservée au public de sa raison. Il y a partout de la limitation à la liberté. Cette notion peut être contraire au mot liberté mais elle peut aussi être avantageuse. L’usage privé du mot liberté peut être très limité sans pour autant empêcher le progrès des Lumières.

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