Rapport De Stage

1 er jour de stage j'ai remis des étiquettes dans les sac avec la référence et le prix j'ai aider le mec a sortir des valise devant le magasin j'ai nettoyer la poussière qui avais sur les valise les sac est après quand les gens achète quelque chose par exemple une valise j'allais dans la réserve chercher la même valise qui a étaient vendue est la remettre en place dans le magasin avec le prix et la référence est comme ya 2 magasins donc je fessais aller retour pour voir s'il-ont besoin de moi est ya des fois je conseiller des gens je leur montrer le produit de intérieure et des fois je fessais la caisse l femme qui fesais la caisse elle ma montrer comment faire la caisse utiliser la carte bleu et je remplissais la fiche avec le prix le nom du produit si 'est en éspéce ou en carte bancaire est quand ya plus de sac de cadeau j'allais dans l 'étage en faire

Des comparaisons entre le nazisme et le communisme ont été effectuées par plusieurs historiens, philosophes politiques et intellectuels, du fait des similitudes techniques de la logistique totalitaire entre nazisme et stalinisme (quadrillage policier de la société, hiérarchie étatique étouffant l'expression de la base populaire, propagande omniprésente embrigadant la population, système répressif hypertrophié allant jusqu'aux massacres de masse dans ses actions, réseau de camps de détention). Certains, comme l'allemand Ernst Nolte, y voient deux systèmes qui s'articulent en action-réactionL1 1. Dans son livre Le Passé d'une illusion, François Furet affirme que le nazisme et le communisme puisent leur idéologie dans une même opposition envers la démocratie libérale et ce qu'ils nomment la « bourgeoisie capitaliste »2,3,4. Les deux idéologies se réclament du socialisme et utilisent son image l'une comme l'autre5, les principaux pays communistes s'affichant socialistes et « nazisme » étant une abréviation de national-socialismeNa 1. Le Troisième Reich et l'URSS de Staline sont définis par la philosophe allemande Hannah Arendt comme des régimes « totalitaires », qualificatif également appliqué par les média aux régimes de Mao Zedong, de Pol Pot ou de Kim Il-sung. Alain Besançon, dans son discours « Mémoire et oubli du bolchevisme » prononcé à l’Institut de France lors de la séance publique annuelle des cinq académies, le 21 octobre 1997, et dans son livre Le malheur du siècle6 aborde également ce thème et, déplorant que l'on ne compare pas davantage nazisme et communisme, qualifie le traitement relatif des crimes staliniens et des crimes nazis d'« amnésie et hypermnésie historiques » (à cause de ce que Régis Debray a désigné par l'expression « concurrence des mémoires », thème également abordé par Stéphane Courtois dans la présentation du Livre noir du communisme).

Sommaire

[masquer] 1 Ancrage historique

2 Intellectuels

3 Ouvrages 3.1 Le Livre noir du communisme 3.1.1 Critiques

3.2 Le Passé d'une illusion

3.3 Fascisme et communisme 3.3.1 La pensée « infréquentable » d'Ernst Nolte

3.3.2 Points de raccord entre

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