Qu'attendons Nous Pour être Heureux
Compte Rendu : Qu'attendons Nous Pour être Heureux. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Lisaarche • 16 Mars 2014 • 1 047 Mots (5 Pages) • 8 407 Vues
Qu’attendons-nous pour être heureux ?
Plan détaillé :
Rapport de la conscience au bonheur : nous voir être heureux, dissociation de soi même nous empêche de coïncidé avec notre bonheur, qui empêche d’être heureux car on sait que ça va s’arrêter. Promesse de son terme donc je suis conscient. Attitude d’insouciance difficile à réaliser. ;
I. L’attente du bonheur
Prendre le bonheur comme horizon vers lequel on se projette; 1ere attitude qui consiste à prendre le bonheur comme objet. La question présuppose que l’on ne l’est pas
a. Le bonheur comme objet d'attente (Schopenhauer) douleur d’attendre
Notion d’attente : rapport du désir au temps. Attendre, c’est tjrs trop long, on aimerait rapprocher l’objet de l’attente. Impuissance à résumé le temps. Attente est longue avec un objet. NOTION DE DESIR
On peut comprendre que le bonheur peut devenir quelque chose d’irréalisable : je le désir, je ne l’ai pas, mais quand je le réalise, je peux aboutir à une déception ou à une forme de lassitude
Tension qui cède la place à la mélancolie. Schopenhauer le monde comme volonté : pour comprendre cette alternance entre un désir qui tend vers puis qui va céder la place à une lassitude de l’objet que l’on a désormais. Conception négative du bonheur : attente résolu. L’existence humaine est souffrance (pensée bouddhiste) cette souffrance, par moment, de manière éphémère peut s’alléger. Paradoxe : être heureux : délivrance de la volonté « de vivre »
Transition : n’y aurait-il pas une façon d’être heureux dans l’attente. Puisqu’on constate que la recherche objective du bonheur qui nous confronte à la réalité débouche à un nouveau tour dans un cycle indéfini, la solution ne serait pas de concevoir un bonheur dans l’attente, dans l’imagination.
b. Le bonheur dans l'attente
L’imagination à un pouvoir bien supérieur à ce que la réalité peut nous apporter car rien n’est aussi beau que comme on l’a imaginé. On serait face à une attitude qui consisterait à faire en sorte de faire des plans tellement inaccessibles que l’on peut continuer à rêver. On ne peut pas s’y tenir car on serait confronté à un bonheur purement subjectif (bulle illusoire ) qui serait confronté à un moment ou à un autre à une forme de réalité.
La recherche du temps perdu : il attend de rencontrer Bergone et tout, mais déception lorsqu’elles arrivent. Expérience déceptive du monde. : Le bonheur serait-il un deuil.
Transition : Le bonheur étant soit quelque chose objectivement irréalisable, soit purement subjectif et particulièrement fragile, on peut se demander s’il n’y a pas une autre approche du bonheur qui nous permettrait de passer de l’attente à l’attention et donc d’une projection indéfinie vers l’avenir à une attitude qui permettrait de goûter ce qui se présente à nous. Est-ce qu’il faudrait ne pas attendre (qui nous pousse vers l’avenir) et plutôt être attentif au moment présent pour être pleinement heureux. Il s’agirait de voir que dans notre existence il y a certains moments exceptionnels qui s’imposent à nous, inattendu, et dans lesquels on est forcé d’être présent, et donc serait des instants de bonheur précédé d’aucune attente.
II. Le
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