Le suicide est-il la solution à l'absurdité de l'existence ?

Le suicide est-il une solution à l’absurdité de l’existence ?

Intro Selon plusieurs personnes, la mort est préférable à la vie. Mais le suicide est-il réellement la solution pour aboutir à la fin de nos problèmes ? Les avis sont partagés, pour certaines personnes, la vie ne vaut pas la peine d’être vécue, ils ne donnent aucun sens à leur vie et préfèrent donc mettre fin à leurs jours tandis que d’autres, profitent un maximum de leur vie sans se poser de question à propos de leur existence. En essayant de ne pas avoir de préjugés à propos de ce sujet existentiel , je vais éclaircir ce thème assez perplexe. Face à l’absurdité de l’existence, deux solutions s’ébauchent dès l’abord : se suicider ou se réfugier dans l’inconscience. Tout compte fait, à quoi bon mener sa vie ? Qu’est ce qui nous retiens ? Ce sont souvent les personnes dans les piteux états, qui sont atteintes de maladie grave ou qui ont déjà frôler la mort qui trouvent un sens à leur vie mais faut-il souffrir pour croquer la vie à pleine dents ? D’autres individus se posent trop de questions et se demandent quelles sont leurs raisons de vivre et surtout pourquoi ils existent, pourquoi eux ? A quoi leur sert la vie ? Les dépressions, les déceptions, peuvent nous mener à avoir des idées noires mais pour ma part, si le problème est rapidement cerné et pris en charge à temps, il est possible de s’en sortir, de quitter cette situation. Mais malheureusement, le suicide touche souvent des personnes qui sont sensibles, à fleur de peau et celles-ci ne veulent pas toujours en parler. Il est donc difficile d’aider ces personnes qui pourtant elles, ont besoin de notre aide. Tout le monde mérite la vie, d’être heureux et épanoui. De plus, la perte d’un proche qui se suicide est difficile d’accepter car en général les proches n’ont pas le même état d’esprit que celui qui vient de mettre fin à sa vie. Ce comportement n’est pas toujours compréhensible et souvent complexe. Effectivement, il fait croire à notre entourage que personne ne pouvait nous sortir de la tourmente dans laquelle nous étions empêtré. Un suicide est toujours, pour ceux qui restent, le début d’un parcours long et douloureux, au cours duquel toutes les étapes du deuil, déjà si difficiles à vivre, s’alourdissent de sensations complexes, provoquées par cette disparition « pas comme les autres »

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