La Prise De Risque

Il est obligatoire que chacun de nous soit amené à prendre des risques au moins une fois dans sa vie. Mais pourquoi sommes-nous obligé de prendre des risques ? Qu’est ce que la prise de risque ? Pouvons-nous évoluer et grandir sans prendre de risque ?

Que ce soit conscient ou inconscient, la prise de risque sert à connaitre de nouveaux plaisirs, à donner un sens à la vie, à progresser et mais peut parfois mettre en danger.

Découvrir le monde pour connaitre une sensation de bien-être, de bonheur ou de réjouissance, c’est passer au-delà de nos craintes pour en ressentir un plaisir. L’homme doit connaitre l’angoisse ou la crainte pour séparer le bon sens et le mauvais sens de sa vie. D’après Isabelle MARTIN, le plaisir d’un bonheur simple après la prise de conscience d’une erreur est une caractéristique pendant la période de l’adolescence. Dès la naissance, un bébé est confronté à la prise de risque, de même pour la maman. L’auteur, Françoise DOLTO, explique qu’à la césure du cordon ombilical, le bébé perd une partie essentielle à sa vie pour ressentir un nouveau plaisir à l’ouverture de ses petits poumons. Le corps du bébé est mis à l’épreuve puisqu’il quitte son oxygénation passive et quitte donc une sécurité totale.

Ne pas faire comme tout le monde, sortir des meurs, peut être aussi une forme de prise de risque chez l’individu notamment à travers Octave Mouret, personnage de l’œuvre Au bonheur des dames d’Emile ZOLA, qui ne voulait pas devenir avocat ou médecin pour contenter sa famille mais qui est simplement devenu commerçant juste pour son plaisir. S’ouvrir à la vie par le plaisir peut aussi se caractériser comme ouvrir un sens à sa vie puisque la réflexion après une prise de risque amène à une prise de conscience.

La prise de risque ouvre à la connaissance de soi-même et donne un sens à la vie. Dans le document 1, l’auteur démontre que tester son courage et ses limites c’es mieux se connaitre et c’est ce que recherche l’adolescent pour passer d’une monde enfantin au monde de l’adulte. Pour briser cette barrière, l’adolescent joue avec son destin sans avoir l’intention de mourir mais en s’assurant de la valeur de son existence. Par ailleurs, la mort peut aussi être un frein à la prise de risque. Françoise DOLTO explique que garder une part d’enfant en sois aide à avancer dans la vie, sans avoir peur de découvrir, sans avoir peur de prendre des risques. Il est important d’avoir essayer, de s’être engagé même si cela n’a pas fonctionner, puisque l’on avancera plus sereinement et plus protéger d’après l’auteur du document 3 qui présente les personnes n’ayant pris aucun risque ou initiatives comme des dératés courants pieds nus. Mais la société voit la prise de risque comme un détachement des cultures, comme une anormalité.

La performance et le progrès se retrouvent dans des sociétés individualistes, la réflexion sur la prise de risque de chacun de soi est personnelle. Nous sommes confronter au refus total de l’échec et de l’aide notamment chez les adolescents, c’est un signe de recherche de progrès (d’après Isabelle MARTIN). Dans l’œuvre La Causes de enfants de DOLTO, les créateurs et les inventeurs ont une vision très individuelle de la vie, ils sont en quelque sorte détachés de la société et sont des isolés voir des fous car la différence

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