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Dissertation de philosophie: Devons-nous Nous Cultiver ?

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Par   •  26 Mars 2014  •  1 530 Mots (7 Pages)  •  2 037 Vues

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Philosophie : devons-nous nous cultiver ?

Introduction : etre cultiver, c’est etre grace a l’aboutissement d’un travail d’instruction, d’education, de socialisation et d’humanisation, un individu qui nous montre un visage de l’humain que caricature au contraire le visage de l’inculte, du barbare ou du sauvage. Comme le dit Gusdorf, la culture est « la promotion de l’humanité dans le monde et dans l’homme ». c’est-à-dire que comment le les legume, les cereales, les fruit, … l’hommea besoin d’etre cultivé, ne serait-ce que pour devenir capable de moralité. Et la moralité est, si l’on en croit Kant, la realisation de son devoir. Le devoir est tout d’abord une obligation morale valant absolument et sans condition, susceptible d'être exigé de tout être raisonnable, et ensuite le devoir, est une obligation sociale, liées à une charge, une profession ou un statut, qui n'ont qu'une valeur conditionnelle et ne peuvent prétendre à l'universalité. Kant fait de l'impératif catégorique de la moralité l'énoncé de notre devoir en tant qu'êtres raisonnables.

Si etre cultiver est une devoir, alors l’homme devrait se sentir obliger de developper ses atout pour que par soneffort moral il perfectionne son etre. Mais la culture n’est elle pas quelque chose dans lequel on est bercé depuis notre naissance ? et que bon nombre de personne n’ont pas reçues ? l’expression « etre cultivé » ne semble pas compatible avec le principe d’exigence morale.

Pour autant, nous pouvons nous poser la question qui est de savoir si l’on doit ce cultivé alors, devons nous nous cultiver ? tout d’abord, nous montrerons que la culture n’estpas un devoir mais un destin poour l’homme et dans un deuxieme temps,que la culture est un devoir pour l’homme.

La culture n’est pas un devoir mais une destin : la nature de l’homme est d’etre un etre de culture.

On peut tout d’abord, ce demander ce que serait un homme privé de toute culture. Rousseau a analysé la question et est arrivé a la reponse que celui –ci serait «  un animal stupide et borné ». en effet l’homme a des caracteristique proprement humain comme la bipedie, l’usage de la parole, de la pensée, des mains,… qui ne s’aquiere quand presence d’un milieu social ajouter a une education et a un apprentissage qui se fait des la naissance. Comme Pieron le dit «  l’enfantest un candidat a l’humanité » et seulement un candidat. On peut prendre comme exemple, celui de victor l’enfant sauvage retrouvé en aveyron qui n’est ni un homme car il n’est pas cultivé ni un animal car il ne possede pas les instincts de celui. Cette enfant marche a quatre pattes , ne parle pas, ne pense pas, n’a pas de sensibilité, …

L’analyse des faits scientifique a travers victor l’enfant sauvage et des reflexions philosophique, nous perment de penser que l’on ne nait pas homme mais qu’on le devient. A sa naissance l’homme n’est pas homme, il ledevient grace a un apprentissage culturel qui se fait de celle-ci. La nature de l’homme n’est pas une nature donnée, c’est une nature acquise comme le dit K. Jaspers, « ce sont nos acquisitionss, nosimitations qui font de nous des hommes au point de vue psychique ». l’etat de nature est donc pour l’homme un etat de nullité et il faut etre cultivé pour devenirun homme. Mais meme si il estvrai que l’homme est ce qu’il devient, il est toutaussi vrai qu’il ne peutdevenir que ce qu’il est.Il faut une culture pour le developper.

La culture est donc essentielle a notre devenir d’homme. Etre cultivé est pour l’homme un destin comme le dit aristote d’une manière decisive. Si l’homme pouvait se passer d’une inscription dans un milieuhumain,il serait un dieu, si l’homme était privé d’un instruction et d’une education il serait une brute. Le fait d’etre un humain est le fait d’etre cultivé.

Un devoir d’etre cultivé

tout d’abords, nous allons voir les limites de la culture au sens ethnique ou sociologique. Il est vrai que celle-ci donne forme humaine a des etres mais il est vrai aussi qu’elle les conditionne plus qu’elle ne les cultives. On voit par la un apprentisssage de l’universel. C’est d’abord au sens ethnique avec certain agissement qui nous rendent universel . tant qu’on pense, qu’on sent, qu’on agit selon les norme,les regles d’un groupe, on tend a pensée que celle-ci sont les meilleurs et cela nous rends parfois ethnocentrique. On croit souvent que ces regles sont naturelles et

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