L'homme bénéficie t-il d'une liberté absolue?

Durant le 19ème , suite au capitalisme, les conditions de travail et la condition de vie de l’homme ne sont pas favorable. L’organisation sociale n’est pas équitable et encore moins respectée. Un écart se créer entre les riches qui dominent les pauvres. Ce mode de vie diminue grandement la liberté économique et intellectuelle. C’est pourquoi les philosophes Marx et Freud se posent des questions sur la condition humaine et plus précisément, si l’homme est vraiment libre. Par définition, la liberté est la possibilité d’agir selon notre propre volonté et de faire ses propres choix sans être entravé par le pouvoir d’autrui. Alors, si on se fit à cette définition, l’homme peut-il faire e qu’il vraiment faire ce qu’il veut? Demandons-nous cette question : l’homme bénéficie t-il d’une liberté absolue? Selon Sigmund Freud, l’homme ne bénéficie pas d’une liberté absolue. Cependant, je crois que notre côté rationnel est plus fort et que nous pouvons avoir le contrôle de nous-même.

Durant ce siècle, beaucoup de situation sont remisent en cause. Premièrement, il y a l’émergence du capitalisme avec les travailleurs qui se retrouvent exploités. Exemples, les conditions de travail sont épouvantables. Ils travaillent tous les jours de la semaine, ils n’ont pas de congés, les enfants commencent à travailler très jeunes et ils ont un mauvais salaire. Pendant ce temps, les riches en profitent avec joie. Ils se font du profit dans leurs poches et donc, ils ne se plaignent pas. Deuxièmement, il y a le développement scientifique. Ceci caractérise l’époque de Freud. Un des domaines scientifiques qui évolua est celui de la médecine dont une partie reste inexploré. À cette époque, celle-ci s’attarde seulement qu’aux symptômes de maladies trouvant une explication concrète et observable. Ainsi, c’est le cas pour des symptômes liés à l’hystérie. Freud s’intéressa et fit une étude plus subjective de l’homme en tenant compte d’une réalité ignorée, celle de l’inconscient. C’est alors qu’il sort le concept de la psychanalyse pour soigner les patients.

Selon Freud, la liberté n’est pas absolue pour l’homme et c’est dès l’enfance qu’il se créer une personnalité. Freud essai de nous faire comprendre que l’homme n’est pas maître de sa vie. Il ne contrôle pas toutes ses actions de façons intentionnelles. Il serait habité par des forces qu’on appelle les pulsions inconscientes. En d’autres mots, ses actions son entraînées par sont inconscient. L’inconscient est une place où se trouve les désirs et les pulsions. Ces deux aspects forcent l’individu à agir d’une certaine façon. Ils passent par trois composants. La première est le « ça ». Elle offre une réponse immédiate lorsque les deux aspects passent dans le corps. Elle est là pour combler et offrir une action directe au « moi ». Cette deuxième composante à pour rôle de trouver le juste-milieu des pulsions que l’être humain ressent. De plus, elle s’ajuste selon les circonstances extérieures. Finalement, le troisième et dernier élément s’agit du « surmoi ». Il a pour but de donner un principe de moralité pour empêcher le « moi » de faire des choses contre les normes et les valeurs de notre communauté. C’est celui-là qui domine sur les autres. En résumé, pour Freud, nous ne sommes pas en charge de tout sur notre corps et que nos actions sont grandement influencées par notre inconscient. Celui-ci est fait de trois segments qui nous gère et il nous aide à ne pas faire d’erreur qui pourrait nous mettre dans  le pétrin. C’est pourquoi Freud affirme que nous ne sommes pas libres puisque nous ne décidons pas par nous-même.

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